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Alex P
13 abonnés
20 critiques
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1,0
Publiée le 1 octobre 2024
Un bon navet. Les dialogues sont tellement prévisibles et peu riches. On rentre dans l’ultra cliché. Je met une étoile pour la beauté de Paris. Sinon j’ai vraiment perdu mon temps …
Les critiques sont sévères : ce film s’en sort mieux que beaucoup de films de requin récents. Déjà le scénario est original même si le réalisme peut être critiqué, la tension palpable et la fin surprenante. L’image est très belle aussi pour vendre Paris ?! Dépaysant !
C'est le film français le plus visionné dans le monde, malgré le fait que cela soit impossible d'avoir des requins dans la seine. Ce long métrage est bien rythmé et bien mené par Bérénice Béjo Mention spéciale pour l'actrice qui joue le maire de la ville de Paris qui est un mélange d'Anne Hidalgo et Valérie Pécresse. Oui c'est un peu gros, mais cela reste du divertissement, ma note 11.5/20
Un film qui ne se prend pas au sérieux et assume son côté « série B aux JO », et en 1h30, pas le temps de s’ennuyer. Bref j'ai bien rigolé et passé un bon moment !
Très bon film qui se regarde facilement. Je recommande !! Je ne comprends pas la mauvaise critique. Ce n’est certes pas le film de l’année mais il très divertissant et sympa à regarder. Le reportage ensuite sur la réalisation du film est aussi très intéressant!
Un film qui a fait un carton sur Netflix qui pourrait faire pensé à un succès commercial. Ce film aider par une grosse com juste avant les JO déçoit. L’histoire ne tient pas debout avec toujours plus de requin
Ni oeuvre-culte (en matière de films de requins, le “culte” s’arrête au premier ‘Jaws’) ni navet impénitent (là, ça commence à ‘Jaws 2’ et reprend à peu près tout ce qui a suivi), ‘Sous la Seine’ s’avère au contraire un divertissement d’un niveau plutôt correct, ce que son concept farfelu n’aurait jamais laissé supposer. Déjà parce que l’idée de requins qui barbotent sous le Pont-Neuf est envisagée au premier degré, l’improbable se coulant alors dans la suspension d’incrédulité. Mélange d’images numériques, de prothèses et de robots commandés à distance, tourné réellement en milieu aquatique, il n’y a aucune comparaison possible entre ‘Sous la Seine’ et les catastrophes techniques et visuelles que sont la plupart des films de squales fauchés. Les spectateurs français pourront savourer les piques implicites envoyées à la mairie de Paris et à l’organisation des J.O., les autres apprécieront que des militants yaka-fokon se fassent manger tout crû. Finalement, ‘Sous la Seine’ se plaît dans cet entre-deux : il s’avère techniquement réussi et efficacement mis en scène, en tout cas suffisamment pour filer leur dose de frissons d’horreur aux irréductibles squalophobes. D’un autre côté, dans ses prémices (Paris est exotique pour les étrangers mais des requins à Paris, c’est exotique pour tout le monde) et dans le choix de certaines séquences (les catacombes, le triathlon dans la Seine,...) il parvient à s’extraire de la banalité mais sans aller trop loin et en restant cohérent (on n’est pas dans un délire à la ‘Sharknado’), ce qui lui permet d’entrer de plein droit dans la catégorie des “plaisirs coupables”.
Un nanard de bonne facture. Garni de clichés et d'incohérences, cette production de série Z nous propose tout de même du rythme, des protagonistes tout à fait conforme au genre, et une photographie sympathique. Bérénice Béjo reste attachante, et la direction d'acteur n'est pas moins unidimensionnelle que dans n'importe quel film de Villeneuve, la prétention en moins. Evidemment on y verra tout et n'importe quoi, comme une complicité lunaire entre une police romantisée et les SDF qu'ils s'apprêtent à virer pour faire place à un évènement sportif, ou encore la scène finale qui est un modèle de surenchère débile. Bref on passe un bon moment.
Franchement lorsque l'on lance ce genre de film, on sait très bien à quoi s'attendre, on n'est pas là pour faire du fact-checking sur le monde marin, ni pour envisager un golden globe, pour ma part j'ai été agréablement surpris. Certes tous les clichés des films de série B sont réunis mais ça marche et pour une fois avec une réalisation française ! Les effets spéciaux sont convaincants, les scènes d'attaques également et le timing de la sortie du film était parfait juste avant les JO de Paris. En somme, un bon moment en perspective pour les amateurs du style.
« spoiler: Les espèces qui survivent ne sont pas les plus fortes, ni les plus intelligentes, mais plutôt celles qui s'adaptent le mieux au changement. » – Charles Darwin
Un film catastrophe d'action et d’horreur français, coécrit et réalisé par Xavier Gens, parfaitement compris par les professionnels et le public anglo-saxons – l'un des meilleurs films de requins depuis "Les Dents de la Mer" – mais qui a été majoritairement rejeté dans son pays d'origine.
C'est dommage, car les spécialistes de requins euryhalins saluent justement la crédibilité du récit, ainsi que la volonté de développer une conscience environnementale face aux niveaux de pollution, au changement climatique et aux mutations que ces bouleversements entraînent.
Xavier Gens a réalisé avec ingéniosité ce message écologique et commentaire sur les jeux politiques qui coûtent des vies. Avec un casting comprenant Bérénice Bejo dans le rôle de Sophia, Nassim Lyes dans celui d'Adil, Léa Léviant dans celui de Mika, Sandra Parfait dans celui de Caro, Aksel Ustun dans celui de Nils, Aurélia Petit dans celui d'Angèle, Marvin Dubart dans celui de Markus, Daouda Keita dans celui de Léopold, Ibrahima Ba dans celui d'Adama et Anne Marivin (géniale) dans celui de la Maire de Paris, qui excellent tous dans leurs rôles respectifs.
Il fut un temps où la créativité et la satire étaient appréciées au pays de Molière. Mais depuis quelque temps déjà, tout cinéaste qui fait preuve d'imagination dans la conception et de diversité dans les idées est condamné à immigrer là où les horizons sont plus larges.
Je ne serais donc pas surpris de voir Xavier Gens suivre le chemin de Luc Besson, Jean-Pierre Jeunet ou Alexandre Aja. Peut-être avec la suite de son immense succès public – 41 millions de vues dans les cinq premiers jours de diffusion sur Netflix – et critique : « spoiler: Je pensais que UNDER PARIS serait un film humoristique, comme SHARKNADO, mais Twitter m'a convaincu de le regarder, et il est vraiment très bon. Les 25 dernières minutes sont incroyables. » – Stephen King
Ce film aura au moins, eu la prétention de me faire (beaucoup) rire, bien que cela ne soit pas une comédie... Limite classement 'Nanar'... Malgré tout, force respect d'avoir osé nous fourguer cette bouse qui reprend tout les clichés des merdouses américaines analogues... Fallait oser, bravo !
Mais pourquoi ce bashing ? Je suis plutôt ciné d'auteur (pas seulement ) mais j'ai eu du plaisir à voir ce film. Et pas mal le bouquet final.... Vivement le 2!
Les critiques particulièrement mauvaises sur AlloCiné m’avaient dissuadé de visionner ce nanar annoncé . 2/5 pour les professionnels, 1,7/5 pour le public, le massacre. Et puis je me suis dit qu’un film français qui était le plus streamé de tous les films disponibles sur Netflix - hors films américains - devait bien avoir quelque chose à sauver, et j’ai tenté le coup. Et finalement , j’ai bien fait. Rien que pour la fin tellement too much qu’elle en devient jubilatoire, ça vaut vraiment le coup de visionner ce « Sous la Seine » qui présente des situations franchement improbables mais qui valent le coup d’œil. Alors, faites comme moi : déposez pendant deux heures votre cerveau sur le quai, comme vous le faites si souvent, pour regarder beaucoup de films américains, beaucoup moins jouissifs que celui-là, et lancez-vous à l’eau !