Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On se permet de sourire devant l’un des mini-enjeux du film (vivement qu’on se baigne dans la Seine) et on apprécie un épilogue complètement improbable mais relativement inattendu. À boire et à manger donc. De préférence cru.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Un navet qui a ce petit quelque chose de plaisir coupable dès lors qu'il se met à flirter avec le nanar.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Libération
par Guillaume Tion
Dans le sillage de sa veulerie, Sous la Seine révèle sa nature : non pas un énième Sharknado mais un film catastrophe délirant, qui tient lieu d’exorcisme pour le Parisien moyen, pressuré depuis des années par ces olympiades qu’on lui promet extraordinaires.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Parisien
par Pauline Conradsson
Mais qu’est-ce que Bérénice Bejo est venue faire dans cette galère ? L’actrice césarisée de « The Artist » semble perdue dans ce nanar. Son personnage, comme les autres, est bourré de clichés. La jeune militante écologiste, forcément lesbienne, et ses camarades sont lookés piercings, cheveux teints en bleu et bonnets péruviens. Forcément.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Léa Colombo
Navet qui touche le fond, « Sous la Seine », la nouvelle sortie de Netflix mettant en scène un requin mutant dans les eaux de la Seine, multiplie les clichés et offre un film de genre aux nombreuses failles qui ne peut briller que par un visionnage au second, voire troisième degré.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Sylvestre Picard
On navigue entre Sharknado -pour la vision de cinéma- et Notre-Dame, la part du feu, pour l’écriture. Mais si, souvenez-vous, l’invraisemblable série Netflix qui prenait l’incendie de la cathédrale comme support d’une intrigue castagneuse à la Taken. Sous la Seine a le mérite d’être plus court.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Point
par Yaël Djender
Trop écrits, les dialogues, quand ils ont un sens (mention spéciale à cet homme « jamais retrouvé » disparu seulement la veille), se noient dans une surenchère de répliques bidon qui n'ont même pas le bon goût d'être drôles. Le tout au service d'une intrigue volontiers foutraque aussi claire que les eaux saumâtres de ladite Seine.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Sud Ouest
par Jean-Michel Selva
Un film catastrophe très attendu mais sans aucune saveur.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Michel Bezbakh
Cohérence du scénario, effets spéciaux : ça touche tellement le fond qu’on en redemanderait presque…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
On se permet de sourire devant l’un des mini-enjeux du film (vivement qu’on se baigne dans la Seine) et on apprécie un épilogue complètement improbable mais relativement inattendu. À boire et à manger donc. De préférence cru.
Le Journal du Geek
Un navet qui a ce petit quelque chose de plaisir coupable dès lors qu'il se met à flirter avec le nanar.
Libération
Dans le sillage de sa veulerie, Sous la Seine révèle sa nature : non pas un énième Sharknado mais un film catastrophe délirant, qui tient lieu d’exorcisme pour le Parisien moyen, pressuré depuis des années par ces olympiades qu’on lui promet extraordinaires.
Le Parisien
Mais qu’est-ce que Bérénice Bejo est venue faire dans cette galère ? L’actrice césarisée de « The Artist » semble perdue dans ce nanar. Son personnage, comme les autres, est bourré de clichés. La jeune militante écologiste, forcément lesbienne, et ses camarades sont lookés piercings, cheveux teints en bleu et bonnets péruviens. Forcément.
Les Echos
Navet qui touche le fond, « Sous la Seine », la nouvelle sortie de Netflix mettant en scène un requin mutant dans les eaux de la Seine, multiplie les clichés et offre un film de genre aux nombreuses failles qui ne peut briller que par un visionnage au second, voire troisième degré.
Première
On navigue entre Sharknado -pour la vision de cinéma- et Notre-Dame, la part du feu, pour l’écriture. Mais si, souvenez-vous, l’invraisemblable série Netflix qui prenait l’incendie de la cathédrale comme support d’une intrigue castagneuse à la Taken. Sous la Seine a le mérite d’être plus court.
Le Point
Trop écrits, les dialogues, quand ils ont un sens (mention spéciale à cet homme « jamais retrouvé » disparu seulement la veille), se noient dans une surenchère de répliques bidon qui n'ont même pas le bon goût d'être drôles. Le tout au service d'une intrigue volontiers foutraque aussi claire que les eaux saumâtres de ladite Seine.
Sud Ouest
Un film catastrophe très attendu mais sans aucune saveur.
Télérama
Cohérence du scénario, effets spéciaux : ça touche tellement le fond qu’on en redemanderait presque…