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Votre avis sur Rebel Moon: Partie 2 - L'Entailleuse ?
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Complètement vide de divertissement...une jolie coquille vide. Histoire, jeu d'acteurs, mise en scene tout est nul wow qui laisse faire ça ?
Après le film d'exposition: l'affrontement final, rated 13 donc.
Belle imagerie, excellente bande sonore, chorégraphies de combat bien maitrisées, un peu long par moments au début, pour le reste, le director's cut promettra quelque chose de plus mature, ce qui manque le plus à cette version du film.
Belle imagerie, excellente bande sonore, chorégraphies de combat bien maitrisées, un peu long par moments au début, pour le reste, le director's cut promettra quelque chose de plus mature, ce qui manque le plus à cette version du film.
Je ne me souvenais plus du tout de Rebel Moon, mais j'en ai gardé un souvenir pas trop désagréable, sans pour autant me rappeler du scénario. Alors j'me suis lancé dans cette deuxième partie en espérant me rappeler le premier volet.
Mais alors la, je tombe sur quoi ? La petite maison dans la prairie en mode SF !!! Sérieusement ?! 40 min de blé, de blé et de bla bla,ba, çà donne quoi : Rebel Navet, un ersatz vraiment bas de gamme de Dune
Mais alors la, je tombe sur quoi ? La petite maison dans la prairie en mode SF !!! Sérieusement ?! 40 min de blé, de blé et de bla bla,ba, çà donne quoi : Rebel Navet, un ersatz vraiment bas de gamme de Dune
J'avais bien apprécié le premier opus... Le second est dans la même lignée... Cependant une première moitié de film laborieuse dans laquelle on assiste à un remake de la petite maison dans la prairie avec des violons et du mélodrama... Mais après cela, la deuxième moitié du film est rempli d action épique non stop et ce jusqu'à la fin... Ce genre d action qui manque cruellement par ex à la dernière bataille dans Dune 2 expédié en 10 min... Ici on a 1h d action qui fait plaisir même si tout n est pas parfait...
Allez résumons … le méchant contre la gentille ! Des combats stylisés au maximum ralentit de chez ralentit , mais qui font rire à un moment les méchant soldats sont en plus pas très rapides ni intelligents ni impressionnant donc ça tourne au ridicule. Les fermiers se jettent dans la mêlés en criant … au milieu de tir lasers a foisons … les combats sont tellement mauvais alors que c’est le thème centrale du film la bagarre !! Le méchant il est vraiment méchant du coup ça en devient une caricature …
C’est stylé tout ça, les armes, les vaisseaux, la photographie dans son ensemble… Les scènes d’action participent à ce spectacle XXL. C’est épique et si on aime les Space opéra, la SF et l’action, le moment est bien agréable. Malheureusement on ne peut pas faire plus cliché niveau scénario, un empire galactique avec un antagoniste principal empli de haine et d’égoïsme ressemblant à un Capitaine Nazi. Des civils qui doivent défendre leur liberté en prenant les armes, le tout formé par nos héros. Et pour équilibrer le débat, des petites astuces de stratégie guerrière.
On ne peut pas dire que le premier volet du fameux film de science-fiction vendu par Zack Snyder et Netflix comme une œuvre révolutionnaire nous ait réellement convaincus. Cela restait sympathique et divertissant mais certainement pas transcendant et il y avait pas mal de scories et de ratés à tel point qu’on attendait la seconde partie pour juger de ce diptyque de manière plus objective. Un peu déçu par « L’Enfant de feu » on voulait donc laisser à Snyder le bénéfice du doute en attendant la suite, « L’Entailleuse ». Et bien on n’aurait pas dû, car celle-ci est pire et véritablement mauvaise, proche du nanar à gros budget. On voit vraiment là les limites du style Snyder, une ambition démesurée pour finalement très peu de résultats et un projet naïf et qui nous apparaît has been et kitsch sur bien des aspects. « Rebel Moon » dans son ensemble n’est donc pas pas terrible, ce second volet étant vraiment mauvais et on y voit encore plus les défauts qui pointaient leur nez dans le premier.
Et lorsqu’on vient de sortir du monument de science-fiction, en deux parties également, « Dune » adapté par Denis Villeneuve, la vision de Snyder nous apparaît au mieux naïve et rebattue, au pire ridicule et caricaturale. C’est simple quasiment rien ne va dans ce second opus. Si on peut tout de même admirer quelques plans stylisés parsemés de-ci, de-là et des effets visuels indéniablement réussis (en tout cas plus que dans certains Marvel ou films issus du DCEU), pas grand-chose d’autre ne fonctionne. Sofia Boutella semble la seule qui a envie d’y croire et joue premier degré comme jamais à tel point qu’on a pitié pour elle dans cet océan de vide en mode série B bébête gonflée au budget exorbitant. Les autres personnages ne sont de toute manière que des silhouettes sans vie dont on essaie de densifier le profil psychologique par un minuscule arc narratif en flashback. Même à ce niveau c’est raté tant on sent le passage forcé, les seconds rôles racontant leur petite histoire de manière mécanique à la suite pour tenter de masquer la minceur de leur personnage. Quant aux décors, costumes et tutti quanti, ils font vieillots également ou, en tout cas, semblant sortir d’un film de science-fiction du siècle précédent.
On est clairement face au pire opus de son cinéaste, un film qui semble avoir dix ans de retard, comme si Snyder était resté arc-bouté sur les effets qu’il avait mis en place pour « 300 », « Sucker Punch » ou son Snyderverse chez DC. Abus de ralentis fatigants et qui ne font même plus l’effet escompté, excès de plans censés être iconiques dont seuls un quart fonctionne et récit d’une simplicité confondante. Quand on y pense, ce « Rebel Moon » ose même circonscrire son soi-disant immense conflit à trois fermes qui se battent en duel contre un cuirassé... Tout ça pour ça. En plus d’être peu crédible, le script de Snyder recycle tout un pan du cinéma de science-fiction avec « Star Wars » en ligne de mire. Un plagiat presque éhonté d’une saga mythique ou un patchwork à la limite du parodique de son propre cinéma. On se retient de ne pas rire devant certains passages foireux (et ils sont nombreux) et on est à deux doigts de s’ennuyer. Le film aurait peut-être été moins raté en une seule partie de deux heures et trente minutes, on aurait moins eu le temps de s’attarder sur ces défauts et on l’aurait pris juste comme une grosse série B décérébrée. Mais à nous vendre cette superproduction comme un must, on se sent floué et on se demande où est passé le talent et l’inventivité d’un cinéaste qui doit absolument se remettre en question.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Et lorsqu’on vient de sortir du monument de science-fiction, en deux parties également, « Dune » adapté par Denis Villeneuve, la vision de Snyder nous apparaît au mieux naïve et rebattue, au pire ridicule et caricaturale. C’est simple quasiment rien ne va dans ce second opus. Si on peut tout de même admirer quelques plans stylisés parsemés de-ci, de-là et des effets visuels indéniablement réussis (en tout cas plus que dans certains Marvel ou films issus du DCEU), pas grand-chose d’autre ne fonctionne. Sofia Boutella semble la seule qui a envie d’y croire et joue premier degré comme jamais à tel point qu’on a pitié pour elle dans cet océan de vide en mode série B bébête gonflée au budget exorbitant. Les autres personnages ne sont de toute manière que des silhouettes sans vie dont on essaie de densifier le profil psychologique par un minuscule arc narratif en flashback. Même à ce niveau c’est raté tant on sent le passage forcé, les seconds rôles racontant leur petite histoire de manière mécanique à la suite pour tenter de masquer la minceur de leur personnage. Quant aux décors, costumes et tutti quanti, ils font vieillots également ou, en tout cas, semblant sortir d’un film de science-fiction du siècle précédent.
On est clairement face au pire opus de son cinéaste, un film qui semble avoir dix ans de retard, comme si Snyder était resté arc-bouté sur les effets qu’il avait mis en place pour « 300 », « Sucker Punch » ou son Snyderverse chez DC. Abus de ralentis fatigants et qui ne font même plus l’effet escompté, excès de plans censés être iconiques dont seuls un quart fonctionne et récit d’une simplicité confondante. Quand on y pense, ce « Rebel Moon » ose même circonscrire son soi-disant immense conflit à trois fermes qui se battent en duel contre un cuirassé... Tout ça pour ça. En plus d’être peu crédible, le script de Snyder recycle tout un pan du cinéma de science-fiction avec « Star Wars » en ligne de mire. Un plagiat presque éhonté d’une saga mythique ou un patchwork à la limite du parodique de son propre cinéma. On se retient de ne pas rire devant certains passages foireux (et ils sont nombreux) et on est à deux doigts de s’ennuyer. Le film aurait peut-être été moins raté en une seule partie de deux heures et trente minutes, on aurait moins eu le temps de s’attarder sur ces défauts et on l’aurait pris juste comme une grosse série B décérébrée. Mais à nous vendre cette superproduction comme un must, on se sent floué et on se demande où est passé le talent et l’inventivité d’un cinéaste qui doit absolument se remettre en question.
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Vraiment mauvais surtout après avoir vu le magnifique et envoutant Dune 2. Zack Snyder devrait retourner à la réalisation de clip vidéo. Faire des films c'est pas son truc. Comment Netflix a-t-il pu se laisser berner à ce point, incompréhensible. Même les scènes d'action sont médiocres. Directory cut ou pas, on est soulagé quand cela se termine.
Même si j'en attendais quelque chose, la première partie m'avait beaucoup déçu. C'était long, assez ennuyeux et on avait le sentiment d'un film qui n'avait même pas été fini au vu de certains visuels. J'avais donc assez peu d'espoir pour ce "Rebel Moon: Partie 2 - L'Entailleuse". Pourtant, contrairement à beaucoup d'autres spectateurs qui ont globalement le même avis, j'ai passé un bien meilleur moment face à cette seconde partie ! Malgré tout, il faut poser certaines bases, et il faut dire que le long-métrage est loin d'être exempt de tout reproche. Le principal souci de cet univers reste principalement le même que la première partie, à savoir que les personnages sont complètement oubliables. On essaye encore de leur donner une personnalité et de les développer dans cette suite, mais cela ne fonctionne jamais. L'histoire les porte, mais il ne porte jamais l'histoire. C'est donc assez compliqué de se sentir réellement plongé dans ce que propose le projet en matière de scénario au vu de cette grosse lacune. Encore une fois, l'histoire n'est clairement pas la chose la plus réussie du long-métrage. Le film n'est qu'une immense montée en tension, avant une grosse scène d'action, mais rien de plus. Au moins, comme il est divisé en deux parties, le film n'a pas trop de temps à perdre au sein de ce second volet, on rentre directement dans le vif du sujet. Cela ne va pas empêcher l'introduction d'être un peu trop longue à mon goût, mais une fois que nous sommes dedans, je trouve que le film se débrouille vraiment bien. Visuellement, il est déjà bien plus consistant que son prédécesseur, les fonds verts et les effets spéciaux semblent bizarrement mieux finis au sein de cette seconde partie. Quant à son côté purement tourné vers le divertissement, toute la séquence finale est assez prenante. L'esthétique de Zack Snyder fonctionne et réussit à offrir quelques très bonnes idées visuelles. Je pense à ce combat penché dans le vaisseau, au combat de Nemesis dans la grange qui enchaîne les plans-séquences et les travellings rotatifs très stylisés, ou à ces scènes de laser au ralenti. Ce dernier point sera peut-être le plus contesté, car les ralentis sont très nombreux dans ce projet, et cela pourrait en gêner certains. Personnellement, même si je trouve que c'est assez exagéré dans la première partie du film, je ne trouve pas que ce soit dérangeant pour cette grande bataille. Chaque ralenti semble pensé visuellement, avec cette obsession du réalisateur qui ressort, à vouloir transformer ses plans en tableaux. Je peux comprendre que cela peut déranger des gens, c'est un parti-pris artistique particulier, mais ce n'est pas pour cela que c'est un mauvais choix. Et si on ajoute une musique plutôt épique à cet ensemble, cela finit de me faire passer un moment plutôt agréable. Maintenant, je ne serai pas trop optimiste. Le final semble clairement vouloir nous promettre une suite et je ne pense pas que ce soit forcément la meilleure chose à faire. L'univers est bien trop vide pour espérer intriguer davantage, et je pense qu'il était plus judicieux de s'arrêter ici. Nous verrons bien ce que cet univers pourra proposer par la suite, mais même en ayant aimé cette deuxième partie, je ne suis pas très serein. Malgré tout, je vous recommande de prendre du recul sur cette deuxième partie. Certes, ce n'est toujours pas le film parfait que nous avait vendu Zack Snyder, mais si on le prend uniquement comme un divertissement, il est clairement possible de trouver du plaisir au visionnage de cette partie. Pour conclure, une deuxième partie bien plus intéressante.
Comme je le disais précédemment, et contrairement à Skywalker, "l'amiral" est intact, après sa destruction (vive la médecine du futur) se souvient de tout et ordonne immédiatement de mettre le cap sur Veldt (en gros "ça part fort" !) . La suite étant contenue dans l'épisode 1, convenue également, je ne m'y attarderai pas mais pour faire bref, c'est beaucoup les sept samouraïs
spoiler:
(sauf qu'ils ne meurent pas tous)
et un peu John Wayne quand la cavalerie débarque à la fin. spoiler: La princesse qui a le don de redonner la vie est en vie, sans surprise
, Grâce à un fait sans surprise (voir spolier), il y aura donc "saga". Sans dec !
Edit (désolé): J'ai oublié "Je s'appelle James", le robot qui avait du Groot en lui !
et un peu John Wayne quand la cavalerie débarque à la fin. spoiler: La princesse qui a le don de redonner la vie est en vie, sans surprise
, Grâce à un fait sans surprise (voir spolier), il y aura donc "saga". Sans dec !
Edit (désolé): J'ai oublié "Je s'appelle James", le robot qui avait du Groot en lui !
Deuxième partie enfin terminée...je dis enfin car difficile de tenir devant un telle indigence, pas croyable quand on connaît le réalisateur. Scénario, dialogues, personnages, jeu, tout est insipide. De l'action, même pas bonne, et c'est tout. Même les scènes sensées être dramatiques sont pathétiques de niaiserie. Rien n'est crédible, on a qu'une hâte, que ça se termine...mais à qui peut s'adresser une telle production et quelle mouche a piqué Z. Snyder pour pondre un pareil navet ?
Bon, allons marcher, j'ai vraiment besoin de me dégourdir les jambes.
Bon, allons marcher, j'ai vraiment besoin de me dégourdir les jambes.
Purée, j'ai adoré. Toutes les bonnes recettes que j'adore dans l'action, les rebondissements, l'émotion. Quel dommage que ce film arrive aujourd'hui, a une époque ou les gens sont blasés de tout. J'adore Star wars, mais Rebel moon est d'un niveau supérieur au risque de choquer. Et il reste tant a découvrir. J'espère qu'on va lui laisser sa chance.
Déjà que le 1 m’a laissé sur ma faim, ce deuxième volet peut ne même pas être regardé et passer à l’épisode 3 direct … car il n’y a que de la bataille et des genre ( on va rendre les personnages profonds et plus fort que jamais . De plus rien n’est vraiment exploité tout se concentre sur l’héroïne avec un air de victime ( je ne suis pas celle que vous croyez … bref ennuyeux
Je ne m’attendais pas à ça : j’ai trouvé la partie 1 très moyenne, mais cette partie 2 m’a fait plus apprécier ces films. Cependant, cette partie a le même problème que son aînée : l’histoire est un remake caché, cette fois-ci des "7 Mercenaires". Il y a pas que ça qui dérange, des personnages apparaissent au dernier moment comme des Deus-Exmachina. Et puis le film est prévisible.
Je trouve les personnages mieux développés et plus complexes. Les acteurs jouent d’ailleurs vraiment bien : entre Sofia Boutella en femme forte et Ed Skrein en antagoniste mémorable, Djimon Hounsou casse encore une fois la baraque. Même le droïde du premier film se démarque bien. Ce que je regrette est plus personnel, c’est Sofia Boutella qui ne se double pas elle-même en VF ; ça apportait plus de naturel pour moi.
J’adore la mise en scène de Zack Snyder : même si c’est rempli de ralentis, ça rend les combats plus esthétiques et agréables à regarder. Les effets spéciaux sont de très bonne qualité et les décors sont un mélange entre le moderne et la SF, montrant une bonne démarcation. Le musique de Junkie XL est encore une fois géniale ; ça m’a parfois fait penser à celle de "Justice League".
"Rebel Moon 2" représente mieux le "Star Wars" de Netflix. Même si le scénario n’est pas le plus subtil et est loin d’être originale, c’est juste pour se divertir. Après une première partie qui introduit les personnages, on est cette fois plongés dans la bataille spoiler: dont une suite se fait attendre
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Je trouve les personnages mieux développés et plus complexes. Les acteurs jouent d’ailleurs vraiment bien : entre Sofia Boutella en femme forte et Ed Skrein en antagoniste mémorable, Djimon Hounsou casse encore une fois la baraque. Même le droïde du premier film se démarque bien. Ce que je regrette est plus personnel, c’est Sofia Boutella qui ne se double pas elle-même en VF ; ça apportait plus de naturel pour moi.
J’adore la mise en scène de Zack Snyder : même si c’est rempli de ralentis, ça rend les combats plus esthétiques et agréables à regarder. Les effets spéciaux sont de très bonne qualité et les décors sont un mélange entre le moderne et la SF, montrant une bonne démarcation. Le musique de Junkie XL est encore une fois géniale ; ça m’a parfois fait penser à celle de "Justice League".
"Rebel Moon 2" représente mieux le "Star Wars" de Netflix. Même si le scénario n’est pas le plus subtil et est loin d’être originale, c’est juste pour se divertir. Après une première partie qui introduit les personnages, on est cette fois plongés dans la bataille spoiler: dont une suite se fait attendre
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Les attributs des combattants de Rebel Moon 2 sont :
1. Titus : Connu sous le nom de "Montagne", son attribut est la force et l'immuabilité, symbolisant quelqu'un d'inébranlable et résilient face à l'adversité.
2. Tarak : Désigné comme l'"Élan des neiges", les attributs de Tarak sont un esprit indomptable et une noblesse indéniable, représentant une nature sauvage mais royale.
3. Milius : Décrit comme brillant tel le soleil, les attributs de Milius sont la chaleur et le confort, semblables aux qualités nourricières et vitales du soleil.
4. Nemesis : Comme la tempête, Nemesis incarne la nature féroce et imprévisible d'un orage, capable de déchaîner des coups puissants et rapides contre ses adversaires.
5. Gunnar : Le cœur du groupe, Gunnar représente le noyau émotionnel et la boussole morale, souvent moteur de l'esprit et de la détermination de l'équipe.
6. Kora : Le loup gardien, Kora est un protecteur avec un fort sens de la loyauté et du leadership, guidant la meute avec sagesse et courage.
7 : Jimmy : son port de bois de cerf suggère son animal symbolique. Dans de nombreuses cultures, le cerf est vu comme un symbole de régénération, de pureté et d'autorité spirituelle. Il représente souvent la forêt dans sa prime jeunesse et est associé à des qualités telles que la majesté, l'intuition et la fierté. Les bois, qui sont perdus et repoussent chaque année, peuvent aussi symboliser la renaissance et la croissance, reflétant le voyage de découverte de soi et l'évolution de Jimmy dans Rebel Moon 2.
L’élan et le cerf sont proches, mais leur symbolique, ainsi que leur taille et leur endurance, sont différentes.
La véritable question est : quel animal ou être ou puissance symbolise ces sept à la fois ?
En effet, la recherche d'un animal, être ou puissance qui symboliserait conjointement les sept attributs des combattants de "Rebel Moon 2" est une tâche complexe, car elle implique de trouver une entité qui incarne la force, l'indomptabilité, la noblesse, la chaleur, la fureur, l'émotion, la loyauté et la régénération.
Cependant, si l'on devait choisir un symbole qui pourrait englober tous ces traits, on pourrait penser à une créature mythique ou légendaire, car elles sont souvent dotées de multiples attributs et pouvoirs. Par exemple, le phénix est un oiseau mythique connu pour sa capacité à renaître de ses cendres, symbolisant ainsi la régénération et la résilience. Il est également associé à la chaleur du feu, à la noblesse de son apparence et à la force de son esprit.
Le phénix pourrait donc être un candidat approprié pour représenter l'ensemble des attributs des combattants de "Rebel Moon 2", car il incarne à la fois la transformation et la continuité, la puissance et la grâce, l'individu et le collectif.
1. Titus : Connu sous le nom de "Montagne", son attribut est la force et l'immuabilité, symbolisant quelqu'un d'inébranlable et résilient face à l'adversité.
2. Tarak : Désigné comme l'"Élan des neiges", les attributs de Tarak sont un esprit indomptable et une noblesse indéniable, représentant une nature sauvage mais royale.
3. Milius : Décrit comme brillant tel le soleil, les attributs de Milius sont la chaleur et le confort, semblables aux qualités nourricières et vitales du soleil.
4. Nemesis : Comme la tempête, Nemesis incarne la nature féroce et imprévisible d'un orage, capable de déchaîner des coups puissants et rapides contre ses adversaires.
5. Gunnar : Le cœur du groupe, Gunnar représente le noyau émotionnel et la boussole morale, souvent moteur de l'esprit et de la détermination de l'équipe.
6. Kora : Le loup gardien, Kora est un protecteur avec un fort sens de la loyauté et du leadership, guidant la meute avec sagesse et courage.
7 : Jimmy : son port de bois de cerf suggère son animal symbolique. Dans de nombreuses cultures, le cerf est vu comme un symbole de régénération, de pureté et d'autorité spirituelle. Il représente souvent la forêt dans sa prime jeunesse et est associé à des qualités telles que la majesté, l'intuition et la fierté. Les bois, qui sont perdus et repoussent chaque année, peuvent aussi symboliser la renaissance et la croissance, reflétant le voyage de découverte de soi et l'évolution de Jimmy dans Rebel Moon 2.
L’élan et le cerf sont proches, mais leur symbolique, ainsi que leur taille et leur endurance, sont différentes.
La véritable question est : quel animal ou être ou puissance symbolise ces sept à la fois ?
En effet, la recherche d'un animal, être ou puissance qui symboliserait conjointement les sept attributs des combattants de "Rebel Moon 2" est une tâche complexe, car elle implique de trouver une entité qui incarne la force, l'indomptabilité, la noblesse, la chaleur, la fureur, l'émotion, la loyauté et la régénération.
Cependant, si l'on devait choisir un symbole qui pourrait englober tous ces traits, on pourrait penser à une créature mythique ou légendaire, car elles sont souvent dotées de multiples attributs et pouvoirs. Par exemple, le phénix est un oiseau mythique connu pour sa capacité à renaître de ses cendres, symbolisant ainsi la régénération et la résilience. Il est également associé à la chaleur du feu, à la noblesse de son apparence et à la force de son esprit.
Le phénix pourrait donc être un candidat approprié pour représenter l'ensemble des attributs des combattants de "Rebel Moon 2", car il incarne à la fois la transformation et la continuité, la puissance et la grâce, l'individu et le collectif.
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