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Alasky
359 abonnés
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2,0
Publiée le 24 septembre 2024
Pionnier du teen movie, le seul intérêt de ce film réside dans son casting constitué des débutants Jennifer Jason Leigh, Forest Whitaker et Sean Penn en débile de service, entre autres ! Rien de transcendant ni d'inoubliable à mon avis.
Un film découvert sur le tard injustement méconnu en France. Le casting est énorme il réunit tous les nouveaux talents du cinéma des années 80, c'est juste incroyable. Surtout quand on sait ce qu'ils sont devenus. Par contre surpris par Phoebe Cates on est à mille lieues de la petite fille de famille bien sous tous rapports. Elle nous gratifie d'une scène coquine inattendue. Ce film est très drôle surtout à visionner en VO. La bande son tape pas mal. Mise à part beaucoup de caricatures de personnages on passe un agréable moment. Le genre de petite comédie que l'on peut revoir avec plaisir.
J'ai vu ce film avant tout pour son casting assez fou tant il compte de jeunes acteurs qui seront de futures stars du cinéma. Le film ne raconte pas grand chose sinon qu'un teenage movie dans les États-Unis des 70s. Des aventures, des peines et des questionnements avant le passage adulte que tout le monde a ressenti finalement. Certains revivront peut être aussi leurs premiers émois avec la scène de Phoebe Cates sortant de la piscine en slow motion... Il fait du bien ce film, sans que son humour soit non plus remarquable.
Ce film raconte la vie estudiantine de jeunes californiens au début des années 80.
Premier long-métrage pour Amy Heckerling (Allô maman, ici bébé! - 1989 & Allô maman, c'est encore moi - 1990) qui adapte ici le roman éponyme de Cameron Crowe (qui pour l’occasion, s’était infiltré dans un lycée en se faisant passer pour un étudiant, afin de revivre sa dernière année d’étude). Ce film pourrait être considéré comme la matrice de bon nombre de teen-movie qui ont déferlé par la suite ces dernières décennies.
Ça chauffe au lycée Ridgemont (1982) suit le quotidien d’une bande d’adolescents de la classe moyenne, entre le lycée, le mall, les jobs étudiants et les histoires d’amour. Le film nous donne à voir une belle brochette de personnages tous très différents les uns des autres au cœur d’intrigues toutes plus différentes les unes que les autres. On peut d’ailleurs s’étonner de constater que le film brasse une multitude de sujets aussi divers et variés (pêle-mêle, il y est question d’avortement, de relations sexuelles, de première fois, de fellation, de masturbation sans oublier l’héroïne de 15ans qui couche avec un type de 10ans de plus qu’elle). Il est assez surprenant que la censure puritaine américaine ait pu laisser passer ça (bien que le film ait écopé d’une classification Rated-R).
Bien évidemment, ce qui marque le plus les esprits ici, ce sont la galerie de personnage attachants où l’on y retrouve de nombreuses têtes connues (Sean Penn en surfeur défoncé à la marie-jeanne, la ravissante Jennifer Jason Leigh, l’hilarant Judge Reinhold, la brute Forest Whitaker (dont c’était le 1er film), sans oublier la courte apparition de Nicolas Cage).
Un teen-movie dans l’air du temps, décomplexé et devenu culte au fil du temps. C’est sympathique et suffisamment drôle pour passer un agréable moment.
Drôle et touchant tant de sujets, ce film mérite le titre de film culte. Je ne l'avais jamais vu auparavant et je riais et réfléchissais tout le long. Joué avec brio par des débutants qui ont fait leurs preuves au fil des ans. Même de petits rôles ont été confiés à des acteurs devenus stars.
Un excellent teen movie qui est rentré dans les annales par cette scène de seins nus de Phoebe Cates mais qui, derrière tout ça montre aussi la réelle difficulté des adolescents à communiquer et à échanger avec les personnes du sexe opposé. Un excellent film qui mérite d'être redécouvert.
Fast Times at Ridgemont High peine à assumer son statut de film culte. Certes cette "tranche de vie adolescente" nous replonge à cet âge où tout est possible : tomber amoureux, quitter son job sur un coup de tête, se défoncer la tête et arriver en retard en cours. C'est avec nostalgie et sourire bienveillant que l'on suit les tribulations de ces pieds nickelés. On retrouve avec plaisir les années 80 :la drague à base de Led Zeppelin, l'absence de technologie, les farces désuètes et les vêtements improbables. On échappe à l'overdose de gags scatos devenu norme dans les comédies adolescentes. Mais d'un autre coté l'intérêt s'étiole rapidement, la faute à un scenario inexistant et un montage flemmard. Les dents se découvrent peu devant des gags paresseux et l'esprit se rebiffe devant les personnages stéréotypés et la morale d'une rare débilité.
Cette comédie sentimentale pour ados est devenue culte pour avoir mis en scène de jeunes acteurs encore peu connus du public à l'époque : Sean Penn (dans un rôle hilarant de surfer cancre et défoncé), Jennifer Jason Leigh, Eric Stoltz, Forest Wiltalker, Judge Rehnolds, Nicolas Cage (qui fait juste une apparition, crédité en tant que "Nicolas Coppola"
Malgré sa date de sortie, et si on omet naturellement la musique et les looks, l'aspect 80's est finalement très peu prononcé : remplacez le téléphone fixe qu'ils utilisent sans arrêt par des smartphones et des applications de messageries pour que les chroniques de ces jeunes puissent trouver de l'écho chez la nouvelle génération. Certaines séquences sont même plutôt crues et explicites pour l'époque (le "cours de fellation", l'onanisme, le dépucelage, l'avortement...) . Le film a aussi semble-t-il marqué toute une génération pour ses quelques scènes de nudité. Même si le titre de celui-ci porte le nom du lycée, la vie purement scolaire est réduite à sa portion congrue (quelques séquences dans les couloirs et en cours avec soit un "vieux" prof austère, soit avec un "jeune" prof plus cool et plaisantin).
Globalement le film donne une image assez juste et positive de la jeunesse, pas parfaite mais qui va de l'avant et qui a toute la vie devant soi. Le film reste cependant très imprégné de culture américaine (le "football", les pom-pom girls, le bal de fin d'année, la voiture à 16 ans, les magasins de burgers avec des serveurs et des serveuses déguisées...) et c'est sans doute la raison pour laquelle il est resté très méconnu dans nos contrées tandis qu'il est un classique du teen-movie outre-atlantique.
Méconnu dans nos contrées, "Fast Times at Ridgemont" fait pourtant partie des classiques du teen-movie aux USA. Ce film sans réelle intrigue est une chronique sur une bande de lycéens lubriques dans une petite ville américaine. Le ton employé surprend, car on pouvait s'attendre à de l'humour potache ou un ensemble léger. Or, s'il s'agit bien d'une comédie, on y découvre pas mal de nudité (notamment une scène de bikini qui fit de Phoebe Cates une petite icône à l'époque), des sujets très sérieux spoiler: (perte de virginité, avortement...) , et un langage parfois fleuri. En revanche, les situations et les thèmes sont trop peu exploités, et on est tout de même loin de la finesse des films réalisés ou produits par John Hugues. De même, la réalisation est assez molle malgré le côté jeune et dynamique qu'elle veut faire ressortir. Il n'empêche, "Fast Times at Ridgemont" garde un certain capital sympathie, entre autres grâce à son impressionnantes distributions d'inconnus de l'époque devenus stars aujourd'hui : Sean Penn en ahuri camé jusqu'au bout des ongles, Forest Whitaker en vedette locale de football, Jennifer Jason Leigh en jeune naïve, ou encore Eric Stoltz et Nicolas Cage dans de petites apparitions.
Découvert récemment sur Netflix bien qu'en ayant déjà entendu parler depuis belle lurette, c'est avec effroi que j'ai finalement vu ce que je pensais initialement être une comédie ado un peu lourdingue mais autrement plus drôle et innocente que ce qu'il m'a été donné de voir en fin de compte! Parce qu'en termes d'infamie absolue, dire le niveau de débilité qui régit cette exposition grotesque de l'adolescence Américaine des années 80 réduite à sa plus grossière, sa plus libidineuse expression, relève quasi de l'exploit tant rien n'est à sauver de ce nanar pourtant devenu culte outre Atlantique (à coté de ça Bill and Ted c'est du Shakespear!). Apologie de l'imbécilité érigée en modèle pour jeunes décérébrés (faut arrêter les salades, être jeune ne justifie pas de se faire manquer de respect à ce point!) Fast Times at Rdigemont High n'a pour lui que d'avoir permis à toute une génération de jeunes acteurs de montrer leurs trognes pour la première fois sur grand écran (Sean Penn entre autres) bien que certains spoiler: devraient quand même avoir honte d'avoir été filmé en train de pratiquer l'onanisme gratuitement (Judge Reinhold)
On passera sur la volonté manifeste spoiler: de justifier n'importe comment le fait de demander à ses jeunes actrices de se dévêtir à la moindre occaz, l'absence totale de scénario n'étant sans doute qu'un détail dont peu semblent se soucier au final!
"LE" film, avec la séquence de piscine( We miss you Phoebe :D )la plus connu de tous les pré-pubères des années 80. Une œuvre anecdotique d'exploitation, garnie d'un casting de total inconnu, qui est plus tard devenu une curiosité cinéphilique, car remplie de grand nom d'Hollywood. Mais, ça n’en fait toujours pas un chef-d’œuvre du 7éme art pour autant... Moitié gentille comédie potache lourdingue un peu facile. Moitié comédie sociale, où l'étude de mœurs est plutôt osé( Spoiler : spoiler: Dépucelage technique sans romance, naked boobs à gogo, et avortement adolescen t )et bien vu pour un teen movie de cette époque. C'est certes sympathique et fun. Mais dans le genre, ça manque sérieusement de rythme, d'ambition et de caractère. Et à cette époque, on a vu largement plus délirant( Ferris Bueller's Day Off ), ou déluré( Rock'n'Roll High School ), ou même subversif( Class Of 1984 ). Et surtout, beaucoup plus fin et subtile( The Breakfast Club, Pump Up The Volume ). Bref, c'est fade. Seul la bande-son et la patine kitch 80's sauve l’ensemble de l'oublie... Un film culte pour une certaine génération. Pour moi, c'est juste une toute petite série B indépendante pas terrible. Mais cependant, vraiment attachante pour qui a grandi dans les 80's. Un film qui n'a donc le mérite de me plaire, uniquement que par la nostalgie d'une époque, qu'il suscite chez moi... Sinon, ce n'est qu'un des derniers représentants plutôt pauvre, d'une certaine école du Teen Movie de drive in façon 60's. Le style de film qui occupait les samedi soir provinciaux avec un programme de 3 films, avant l’avènement de l'amour libre, de l'ère du Disco, et du Dancefloor. Le style de film que l'on regardait d'un œil distrait par sa copine, et par le six pack de bière ramené par les potes, acheté grâce à une fake ID card, ou sous le manteau par l'intermédiaire d'un clodo... Mais qu'est-ce que je raconte moi ?... J'ai grandi en France, et je n'ai jamais mis les pieds aux USA... Où avais-je la tête ? :D
Avant les teen movies signés J. Hughes, qui sont pour la plupart d'authentiques chefs d'oeuvre, il y a eu cette chronique douce-amère signée par C. Crowe et A. Heckerling (qui renouera avec le genre une décennie plus tard avec l'acide "Clueless") qui se révèle assez crue (les personnages parlent de sexe de manière très crue et assez naturelle, le tout dans un environnement assez sucré), porté par une petite bande d'acteurs bien motivés et pertinents dans chaque rôle. Cette chronique des années lycée est drôle, percutante, parfois cruelle, portant un regard juste, dénuée de toute moralité, sur une période délicate. S. Penn est exceptionnel en surfeur débile, J. Reinhold est excellent en mec qui se croit irrésistible avant de voir s'accumuler les galères tandis que le duo féminin incarné par P. Cates et J.J Leigh est particulièrement savoureux. Et puis, si vous avez du mal à vous décider, sachez qu'il y a quelques plans nichons typique de l'époque dont un avec ceux de P. Cates. Alors si ça ne vous motive pas, je ne sais pas ce qu'il vous faut d'autre ! D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
Je ne suis pas client des films "mes années Lycée" et bien qu'il réunisse un paquet de seconds rôles qui deviendront célèbres, je ne pensais pas aller jusqu'au bout de celui-ci. Pourtant, on se prend au jeu, c'est simple, frais, et on se laisse surprendre par l'arrivée du générique de fin sans s'être ennuyé un seul instant. Bien sûr, on est dans le fin fond des années 80, ça aura eut l'avantage de faire poiler mes enfants ("dis papa, tu t'habillais comme ça toi aussi? Pouhahaha!!"). J'ai tout de même trouvé le jeu de Sean Penn plutôt pénible, avec une voix et une façon de parler extrêmement irritantes! A signaler une excellente BO (son et arrangements typiques 80's, mais assez Rock tout de même).
On m'avait vendu le film pour sa scène de seins nus en sortant d'une piscine, il n'en faut pas plus pour me motiver ! En fait on a pas forcément un grand film, ni même un bon film, mais il y a des choses que j'ai apprécié (même si ça ne va pas forcément au bout du concept), le côté tranche de vie de l'adolescence durant une année scolaire.Alors ouais les personnages sont un peu clichés, le prof méchant qui tient quand même à ses élèves, le beau gosse, la vierge qui veut coucher, le timide, etc. Quelque part c'est assez artificiel, mais je trouve que vu que le film arrive par son côté m'enfoutiste a avoir un certain charme. Parce qu'il faut avouer que le film s'en fout de tout, en témoigne l'absence totale d'intrigue (même si cette absence d'intrigue arrive malgré tout à être résolue à la fin, étrange), la coupe de cheveux de Penn...Et on voit de beaux seins (trop peu, mais on en voit). Du coup le film se regarder passer comme on regarderait notre propre vie défilée si elle était transposée à l'écran par un scénariste peu doué. Mais je n'ai pas l'impression que ça prétend à être plus qu'une petite comédie, je n'y ai pas vu les habituels messages dégueulasses sur l'adolescence.Même si c'est pas extraordinaire, ça passe bien. Agréable. Et puis faut voir la tronche que Penn tire durant tout le film (en plus il me semble que c'était son premier rôle au cinéma, dur de croire qu'il se tape la carrière qu'il a eu ensuite).Peut-être à voir pour pécho de la femelle.
Un film culte pour qui s'intéresse au Teen movie et qui a marqué les esprits mais qu'on ne peut regarder comme un film témoin d'une époque, un film de genre où le sénario quasi inexistant laisse place à un casting remarquable. Le spectateur d'aujourd'hui surtout s'il n'a pas vécu cette époque se délectera de cette ambiance étrange, étrangère mais savoureuse de clichés s'adressant à la génération eighties où les visages aseptisés d'aujourd'hui n'auraient pas lieu de citer. Bref un film "musée" qui ne lassera pas de nous permettre de goûter à une période révolue où la magie des ambiances pour ado continue malgré tout d'opérer.