Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
"Inside" séduit par l’originalité de la mythologie qu’il décrit comme par ses personnages féminins bien croqués.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une descente aux enfers d’une singularité revigorante, qui redouble d’inventivité au niveau de la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Mad Movies
par Vincent Malausa
Grâce à son démon en forme de pur bloc d'angoisse, "Inside" s'impose comme une réussite qui dépasse le cadre d'une simple métaphore des tourments intérieurs de l'adolescence.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Bien qu’emballé dans une forme de prêt-à-filmer assez lisse et typique des séries B de sa génération (beaucoup d’effets pour rien), Inside trouve dans ce jeu sur l’intériorité et l’extériorité de son monstre tourmenteur d’adolescence un motif tout à fait neuf et d’une belle faculté d’effroi et de hantise.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Un choc des cultures sous la forme d’un film d’horreur efficace.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Malgré un solide point de départ et un monstre au design alléchant, "Inside" a du mal à tenir la route et retombe finalement dans les sentiers battus.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Parisien
par La rédaction
Hélas, Dutta ne fait pas grand-chose de son idée de départ, et son monstre, un « pishacha » mangeur de chair humaine, aux motivations obscures, s’avère complètement raté.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
CinemaTeaser
par Constantin Lacombe
En parlant d'un postulat intrigant par sa singularité culturelle, "Inside" aboutit à un cinéma d'horreur sans personnalité.
Première
par Sarah Deslandes
À force de screamers prévisibles intégrés à un schéma trop classique, ce qui devait être un bol d’air frais nous laisse au final une impression de réchauffé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Margot Loisel
"Inside" ne parvient jamais à être autre chose qu'un de ces films d'horreur américains aux ressorts éculés.
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Ce film tout en hors-champs patauds et jump scare prévisibles ne concrétise qu’un ennui quasi mortel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Avec son scénario convenu, ses effets éculés et sa mise en scène passe-partout, ce produit horrifique lambda, ce cliché américain, est un piètre exemple d’assimilation culturelle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Le premier long métrage de B. Dutta entend entremêler une approche classique de l'épouvante et un cadre plus inattendu. L'ambition est louable, mais le film souffre d'un rythme inégal.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Voici
par La Rédaction
Le film ne cesse de recycler sans passion les codes et clichés éculés du cinéma d'horreur américain.
20 Minutes
"Inside" séduit par l’originalité de la mythologie qu’il décrit comme par ses personnages féminins bien croqués.
Le Journal du Dimanche
Une descente aux enfers d’une singularité revigorante, qui redouble d’inventivité au niveau de la mise en scène.
Mad Movies
Grâce à son démon en forme de pur bloc d'angoisse, "Inside" s'impose comme une réussite qui dépasse le cadre d'une simple métaphore des tourments intérieurs de l'adolescence.
Cahiers du Cinéma
Bien qu’emballé dans une forme de prêt-à-filmer assez lisse et typique des séries B de sa génération (beaucoup d’effets pour rien), Inside trouve dans ce jeu sur l’intériorité et l’extériorité de son monstre tourmenteur d’adolescence un motif tout à fait neuf et d’une belle faculté d’effroi et de hantise.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un choc des cultures sous la forme d’un film d’horreur efficace.
Ecran Large
Malgré un solide point de départ et un monstre au design alléchant, "Inside" a du mal à tenir la route et retombe finalement dans les sentiers battus.
Le Parisien
Hélas, Dutta ne fait pas grand-chose de son idée de départ, et son monstre, un « pishacha » mangeur de chair humaine, aux motivations obscures, s’avère complètement raté.
CinemaTeaser
En parlant d'un postulat intrigant par sa singularité culturelle, "Inside" aboutit à un cinéma d'horreur sans personnalité.
Première
À force de screamers prévisibles intégrés à un schéma trop classique, ce qui devait être un bol d’air frais nous laisse au final une impression de réchauffé.
Télé Loisirs
"Inside" ne parvient jamais à être autre chose qu'un de ces films d'horreur américains aux ressorts éculés.
Télérama
Ce film tout en hors-champs patauds et jump scare prévisibles ne concrétise qu’un ennui quasi mortel.
L'Obs
Avec son scénario convenu, ses effets éculés et sa mise en scène passe-partout, ce produit horrifique lambda, ce cliché américain, est un piètre exemple d’assimilation culturelle.
Les Fiches du Cinéma
Le premier long métrage de B. Dutta entend entremêler une approche classique de l'épouvante et un cadre plus inattendu. L'ambition est louable, mais le film souffre d'un rythme inégal.
Voici
Le film ne cesse de recycler sans passion les codes et clichés éculés du cinéma d'horreur américain.