Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Culturopoing.com
par Alexandre Lebrac
Véritable ode à la liberté narrée à travers les yeux d’un adolescent, Almamula décrit avec précision les troubles de l’adolescence et les méfaits du puritanisme. Un récit initiatique fort et intemporel.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Sixtine Escoubet
Mythe, rêve, réalité : une ambiguïté persiste dans une atmosphère tourmentée qui tient du film d'horreur, suivant la tradition latino-américaine du réalisme magique.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Ce premier film à la beauté solaire et crépusculaire, pavé d’influences (il est permis de penser à Weerasethakul, Murnau ou Tourneur), impose la personnalité de sa maîtrise formelle et sa capacité à semer un trouble envoûtant dans l’image.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Sixtine Escoubet
Le dernier film de Juan Sebastian Torales est un récit troublant sur la solitude et la dissidence d’un adolescent homosexuel en Argentine, fasciné par une mystérieuse forêt et le monstre qui y rôde, symboles de contestation et d’émancipation.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoareau
Juan Sebastián Torales signe un premier métrage aux allures de fable fantastique et politique. Un film au rythme indolent, qui surprend par son refus de toute démonstration.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Pour son premier film, Juan Sebastian Torales retrace avec brio l’été étouffant d’un ado coincé à la campagne, à l’orée d’une forêt maudite, dans une Argentine puritaine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Juan Sebastián Torales réussit à mêler réalisme et fantastique, signant un film puissamment onirique.
Voici
par D.B.
L'écriture est méticuleuse, la mise en scène précise, l'ambiance pesante, et ce, pour regarder en face, avec férocité, le poids qu'à la religion catholique en Argentine.
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Almamula évite tout grand discours. Il joue plutôt d’une forme de retrait, installant par de lents mouvements une torpeur chargée de stridulations d’insectes et traversée de ruptures soudaines, déchargeant la tension et l’inquiétude accumulées dans les plans.
Les Inrockuptibles
par Maud Tenda
Porté par une photographie impeccable et un univers esthétique à cheval entre le conte et l’iconographie religieuse argentine, le film réussit à représenter toute l’ambivalence de la croyance, autant destructrice que salvatrice, castratrice que libératrice.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Lou Hupel
S’il avance trop prudemment dans son exploration du folklore argentin, Almamula s’avère plus efficace lorsqu’il raconte, sans craindre l’immoralité, la puberté d’un adolescent dépassé par sa foi.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Robin Berthelot
Un premier film qui commence comme un réquisitoire contre l’intolérance religieuse avant de basculer progressivement dans le fantastique. Étonnant, déroutant et passionnant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par M. Jo.
Malgré quelques beaux moments baignés d’une sensualité trouble, le premier long-métrage de Juan Sebastian Torales se prend les pieds dans ses intentions trop surlignées et la lourdeur de son symbolisme, avec le motif vu et revu de la forêt magique, miroir des désirs et lieu de l’inconscient.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Culturopoing.com
Véritable ode à la liberté narrée à travers les yeux d’un adolescent, Almamula décrit avec précision les troubles de l’adolescence et les méfaits du puritanisme. Un récit initiatique fort et intemporel.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Mythe, rêve, réalité : une ambiguïté persiste dans une atmosphère tourmentée qui tient du film d'horreur, suivant la tradition latino-américaine du réalisme magique.
L'Obs
Ce premier film à la beauté solaire et crépusculaire, pavé d’influences (il est permis de penser à Weerasethakul, Murnau ou Tourneur), impose la personnalité de sa maîtrise formelle et sa capacité à semer un trouble envoûtant dans l’image.
Le Dauphiné Libéré
Le dernier film de Juan Sebastian Torales est un récit troublant sur la solitude et la dissidence d’un adolescent homosexuel en Argentine, fasciné par une mystérieuse forêt et le monstre qui y rôde, symboles de contestation et d’émancipation.
Les Fiches du Cinéma
Juan Sebastián Torales signe un premier métrage aux allures de fable fantastique et politique. Un film au rythme indolent, qui surprend par son refus de toute démonstration.
Libération
Pour son premier film, Juan Sebastian Torales retrace avec brio l’été étouffant d’un ado coincé à la campagne, à l’orée d’une forêt maudite, dans une Argentine puritaine.
Ouest France
Juan Sebastián Torales réussit à mêler réalisme et fantastique, signant un film puissamment onirique.
Voici
L'écriture est méticuleuse, la mise en scène précise, l'ambiance pesante, et ce, pour regarder en face, avec férocité, le poids qu'à la religion catholique en Argentine.
Cahiers du Cinéma
Almamula évite tout grand discours. Il joue plutôt d’une forme de retrait, installant par de lents mouvements une torpeur chargée de stridulations d’insectes et traversée de ruptures soudaines, déchargeant la tension et l’inquiétude accumulées dans les plans.
Les Inrockuptibles
Porté par une photographie impeccable et un univers esthétique à cheval entre le conte et l’iconographie religieuse argentine, le film réussit à représenter toute l’ambivalence de la croyance, autant destructrice que salvatrice, castratrice que libératrice.
Première
S’il avance trop prudemment dans son exploration du folklore argentin, Almamula s’avère plus efficace lorsqu’il raconte, sans craindre l’immoralité, la puberté d’un adolescent dépassé par sa foi.
aVoir-aLire.com
Un premier film qui commence comme un réquisitoire contre l’intolérance religieuse avant de basculer progressivement dans le fantastique. Étonnant, déroutant et passionnant.
Le Monde
Malgré quelques beaux moments baignés d’une sensualité trouble, le premier long-métrage de Juan Sebastian Torales se prend les pieds dans ses intentions trop surlignées et la lourdeur de son symbolisme, avec le motif vu et revu de la forêt magique, miroir des désirs et lieu de l’inconscient.