Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Première
par Sylvestre Picard
Donc, soyez prévenus, si le film parvient à repérer ne serait-ce que la moindre petite faille en vous, il en profitera pour y pénétrer et tout bouleverser. Pas besoin d'avoir une grosse fissure, ceci dit : il suffit juste d'ouvrir les yeux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
par Déborah Lechner
Que ce soit pour sa narration houleuse ou sa technique subjuguante, Le Royaume des Abysses est une déferlante qui pourrait ne pas faire l'unanimité, mais ne laissera certainement personne indifférent.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
IGN France
par Erwan Lafleuriel
Le Royaume des Abysses possède des "défauts" qui n'en seront pas pour tous - ce sont surtout des différences culturelles sur le rythme et l'humour. Pour les plus patients l'émotion et la sincérité de l'hommage à Miyazaki mettront autant les larmes aux yeux que la qualité de la CGI.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
L'Ecran Fantastique
par Véronique Trouillet
L’émotion de ce long-métrage, qui n’est pas sans rappeler "Le château ambulant" ou "Le voyage de Chihiro", naît de son histoire bouleversante, de la magnifique musique de Dou Peng et des images époustouflantes.
Le Journal du Geek
par Amandine Jonniaux
À déconseiller aux plus sensibles et aux jeunes enfants, Le Royaume des Abysses vous maintient la tête sous l’eau pendant près de deux heures. Vous n’en sortirez sans doute pas indemnes, mais le film n’en reste pas moins sacré voyage, autant qu’une leçon d’animation.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Tian Xiaopeng convoque diverses technologies digitales et dessins à l’encre pour inventer, en 3D, une fabuleuse parade de bestioles et marins imaginaires. Avec le multivers, que nous raconte la sensation d’immersion à laquelle s’attache littéralement ce long-métrage ? Notre besoin d’évasion sans doute, mais aussi le sentiment d’habiter un présent en impasse.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un fantastique voyage au cœur de la consolation mêlant triste réalité et rêves irisés.
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Le film donne la très vive impression d’observer un diorama violemment secoué dont les pièces se détachent et s’entrechoquent. C’est un ballet psyché, dense et chargé, qui semble parfois tout droit sorti d’une IA sous ecstasy et qui provoque un certain malaise.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Thierry Cheze
Plus qu’un film, le cinéaste Tian Xiaopeng propose une aventure vertigineuse menée pied au plancher.
Positif
par Nicolas Geneix
Dans le possible sillage d’un Big Fish and Begonia (Xuan Liang et Chun Zhang, 2016), l’équipe de Tian Xiaopeng élabore une cinématique virtuose procurant une forme matérielle aux affres existentielles.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Inégal mais séduisant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par V. Cau.
Le Royaume des abysses nous raconte l’odyssée sous-marine dans laquelle se trouve embarquée l’héroïne du film, Shenxiu. Le typhon qui l’aspire lors d’une croisière en famille et qui l’entraîne au fond de l’océan ouvre, en réalité, la brèche vers un monde intérieur, celui de la conscience, des émotions et des fantasmes. Tourbillon que l’animation et la bande-son transforment en véritable expérience sensorielle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par François Cau
Créer un univers fantasmagorique aussi riche est une chose, lui insuffler humanité et grâce en est une autre.
Télé 2 semaines
par M.L.
Techniquement bluffant et teinté de couleurs superbes, ce récit est certes répétitif, mais d'une générosité extraordinaire.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Ce film d'animation japonais parle du deuil et du mal-être avec un onirisme échevelé et une frénésie ébouriffante, frôlant parfois la saturation.
Télé Loisirs
par M.L.
Techniquement bluffant et splendide, ce récit (...) est certes souvent répétitif, mais d'une générosité extraordinaire.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Si le récit et la mise en scène vont un peu trop à toute allure, le déluge de couleurs, de féérie et d’humanité du Royaume des Abysses offrent un joli divertissement… et pas uniquement pour les enfants.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Neil Senot
Ce film à la technique impressionnante passe finalement à côté de son sujet en perdant de vue une réalité inhérente à son intrigue : il faut souvent du temps pour remonter pour de bon des abysses.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Allégorie surréaliste des tourments psychologiques d’une jeune fille en mal d’amour maternel, « Le Royaume des abysses » est un étourdissant film d’animation chinois en 3D relief, qui pâtit de son abus des effets spectaculaires et de sa ressemblance avec des œuvres similaires, plus inspirées.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Renaud Baronian
Ici, l’outrance numérique est telle qu’on croirait le film animé par une intelligence artificielle, ce qui épuise rapidement la rétine…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Marius Chapuis
Le film d’animation de Tian Xiaopeng, d’abord rafraîchissant par son réalisme, se laisse finalement engloutir par les banalités et une interminable course à l’émerveillement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Cécile Mury
Une drôle d’immersion, en apnée, dans un imaginaire surchargé, qui risque de dérouter les jeunes spectateurs, et d’épuiser leurs parents.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
Donc, soyez prévenus, si le film parvient à repérer ne serait-ce que la moindre petite faille en vous, il en profitera pour y pénétrer et tout bouleverser. Pas besoin d'avoir une grosse fissure, ceci dit : il suffit juste d'ouvrir les yeux.
Ecran Large
Que ce soit pour sa narration houleuse ou sa technique subjuguante, Le Royaume des Abysses est une déferlante qui pourrait ne pas faire l'unanimité, mais ne laissera certainement personne indifférent.
IGN France
Le Royaume des Abysses possède des "défauts" qui n'en seront pas pour tous - ce sont surtout des différences culturelles sur le rythme et l'humour. Pour les plus patients l'émotion et la sincérité de l'hommage à Miyazaki mettront autant les larmes aux yeux que la qualité de la CGI.
L'Ecran Fantastique
L’émotion de ce long-métrage, qui n’est pas sans rappeler "Le château ambulant" ou "Le voyage de Chihiro", naît de son histoire bouleversante, de la magnifique musique de Dou Peng et des images époustouflantes.
Le Journal du Geek
À déconseiller aux plus sensibles et aux jeunes enfants, Le Royaume des Abysses vous maintient la tête sous l’eau pendant près de deux heures. Vous n’en sortirez sans doute pas indemnes, mais le film n’en reste pas moins sacré voyage, autant qu’une leçon d’animation.
Les Echos
Tian Xiaopeng convoque diverses technologies digitales et dessins à l’encre pour inventer, en 3D, une fabuleuse parade de bestioles et marins imaginaires. Avec le multivers, que nous raconte la sensation d’immersion à laquelle s’attache littéralement ce long-métrage ? Notre besoin d’évasion sans doute, mais aussi le sentiment d’habiter un présent en impasse.
Les Fiches du Cinéma
Un fantastique voyage au cœur de la consolation mêlant triste réalité et rêves irisés.
Les Inrockuptibles
Le film donne la très vive impression d’observer un diorama violemment secoué dont les pièces se détachent et s’entrechoquent. C’est un ballet psyché, dense et chargé, qui semble parfois tout droit sorti d’une IA sous ecstasy et qui provoque un certain malaise.
Ouest France
Plus qu’un film, le cinéaste Tian Xiaopeng propose une aventure vertigineuse menée pied au plancher.
Positif
Dans le possible sillage d’un Big Fish and Begonia (Xuan Liang et Chun Zhang, 2016), l’équipe de Tian Xiaopeng élabore une cinématique virtuose procurant une forme matérielle aux affres existentielles.
L'Obs
Inégal mais séduisant.
Le Monde
Le Royaume des abysses nous raconte l’odyssée sous-marine dans laquelle se trouve embarquée l’héroïne du film, Shenxiu. Le typhon qui l’aspire lors d’une croisière en famille et qui l’entraîne au fond de l’océan ouvre, en réalité, la brèche vers un monde intérieur, celui de la conscience, des émotions et des fantasmes. Tourbillon que l’animation et la bande-son transforment en véritable expérience sensorielle.
Mad Movies
Créer un univers fantasmagorique aussi riche est une chose, lui insuffler humanité et grâce en est une autre.
Télé 2 semaines
Techniquement bluffant et teinté de couleurs superbes, ce récit est certes répétitif, mais d'une générosité extraordinaire.
Télé 7 Jours
Ce film d'animation japonais parle du deuil et du mal-être avec un onirisme échevelé et une frénésie ébouriffante, frôlant parfois la saturation.
Télé Loisirs
Techniquement bluffant et splendide, ce récit (...) est certes souvent répétitif, mais d'une générosité extraordinaire.
aVoir-aLire.com
Si le récit et la mise en scène vont un peu trop à toute allure, le déluge de couleurs, de féérie et d’humanité du Royaume des Abysses offrent un joli divertissement… et pas uniquement pour les enfants.
Franceinfo Culture
Ce film à la technique impressionnante passe finalement à côté de son sujet en perdant de vue une réalité inhérente à son intrigue : il faut souvent du temps pour remonter pour de bon des abysses.
La Croix
Allégorie surréaliste des tourments psychologiques d’une jeune fille en mal d’amour maternel, « Le Royaume des abysses » est un étourdissant film d’animation chinois en 3D relief, qui pâtit de son abus des effets spectaculaires et de sa ressemblance avec des œuvres similaires, plus inspirées.
Le Parisien
Ici, l’outrance numérique est telle qu’on croirait le film animé par une intelligence artificielle, ce qui épuise rapidement la rétine…
Libération
Le film d’animation de Tian Xiaopeng, d’abord rafraîchissant par son réalisme, se laisse finalement engloutir par les banalités et une interminable course à l’émerveillement.
Télérama
Une drôle d’immersion, en apnée, dans un imaginaire surchargé, qui risque de dérouter les jeunes spectateurs, et d’épuiser leurs parents.