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Maud Rousselot
2 critiques
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3,5
Publiée le 23 novembre 2024
Belles images. Bien réalisé. Personnages justes.besoin peut etre d être approfondis en je ne sais quoi. Un bon moment.si c son premier long métrage y du potentiel à mon gout
La clé pour comprendre ce film c’est que le Road trip n’existe pas, tout se déroule dans sa tête. On le sait grâce au petit garçon qu’elles croisent au fil des km. C’est donc un film sur la solitude d’une enfant abandonnée qui fantasme sa mère.
satire sociale bien amenée. description de tous les espoirs portés par une enfant pour sa mère et toute la détresse d'une mère ne pouvant s'occuper de son enfant
Petit film un peu bricolé mais touchant. Il faut aimer les road movie "mère - fille" filmé à la manière des films indépendants...l'histoire n'est pas d'une grande originalité et la fin est charmante tout de même ! La petite fille et la mère sont plutôt bien interprétées à l'écran . Intéressant sans plus
Comédie dramatique. Une mère instable et impulsive enlève sa fille dans le foyer où elle vit. Elles partent en voiture, en se prenant pour Bonnie & Clyde, à travers les Pays-Bas jusqu'en Pologne, leur destination finale. Un 1er film agréable, avec un côté rétro, des références au cinéma américain et une BO adaptée au film. Duo d'actrices plaisant.
Aux Pays-Bas, le pays de la réalisatrice, Zara Dwinger, Le jour où j'ai rencontré ma mère s'appelle Kiddo, le surnom que la mère en question préfère au véritable prénom de sa fille qui vit depuis longtemps loin d'elle, dans un foyer. Le film est un road-movie, de la Hollande à la Pologne, prétexte aux retrouvailles entre ses deux personnages principaux. Elles se prennent pour Bonnie et Clyde, les meurtres en moins, pour une aventure aux allures de fugue que la réalisatrice développe avec beaucoup de fantaisie et énormément de références au cinéma hollywoodien. Visiblement, Zara Dwinger se méfie de l'émotion facile et la tient à distance, ce qui n'est pas forcément une bonne d'idée car, en définitive, on assiste plutôt à un exercice de style qui peine à susciter le plein d'empathie, en dépit du talent des comédiennes, dont l'alchimie n'est pas contestable, sans que aucune des deux ne livre de composition inoubliable. Moyennant quoi, Le jour où j'ai rencontré ma mère, placé exclusivement à hauteur de la plus jeune des deux, ce qui est une posture acceptable, poursuit son bonhomme de chemin sans qu'il y ait véritablement de surprises ni d'événements marquants et dramatiques à souligner. Autant dire que l'on reste un peu sur sa faim.