Le Jour où j'ai rencontré ma mère : Critique presse
Le Jour où j'ai rencontré ma mère
Note moyenne
3,3
8 titres de presse
L'Humanité
Télé 2 semaines
Télérama
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Paris Match
Première
Marianne
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Bref, au-delà du regard amusé que porte Zara Dwinger sur l’amoralité d’une mère gentiment irresponsable, adepte du resto-basket, toujours prête à sortir des rails et des conventions sociales, Le jour où j’ai rencontré ma mère est un bain de jouvence grâce à la candeur de son imagerie kitsch transposée dans le monde d’aujourd’hui sur un mode aussi réaliste que rétro.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Télé 2 semaines
par S.O.
Ce road-movie débridé s'adresse avec humour et intelligence à son jeune public en lui montrant qu'il ne suffit pas de devenir adulte pour être responsable.
Télérama
par Joanna Blain
Un road movie endiablé et touchant sur une enfance chahutée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une comédie stimulante interrogeant de façon tendre et maligne le rôle de l’adulte.
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Malgré quelques gimmicks ronflants, le premier film de Zara Dwinger nous embarque dans un road trip ébouriffant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Zara Dwinger évite (et c’est tant mieux) de sur-dramatiser son récit pour se concentrer sur la relation entre deux êtres à fleur de peau, une femme entrée trop vite dans le monde des adultes, une fillette sortie trop vite de celui de l’enfance.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Emma Poesy
Derrière ses airs mélancoliques, Le jour où j’ai rencontré ma mère est un splendide feu de joie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Marianne
par Olivier De Bruyn
Ce Thelma et Louise version mère/fille mise sur l’insolence, la poésie et l’humour, mais, après un prologue stimulant, ne tient pas ses promesses. En premier lieu à cause de son scénario rapidement répétitif.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
L'Humanité
Bref, au-delà du regard amusé que porte Zara Dwinger sur l’amoralité d’une mère gentiment irresponsable, adepte du resto-basket, toujours prête à sortir des rails et des conventions sociales, Le jour où j’ai rencontré ma mère est un bain de jouvence grâce à la candeur de son imagerie kitsch transposée dans le monde d’aujourd’hui sur un mode aussi réaliste que rétro.
Télé 2 semaines
Ce road-movie débridé s'adresse avec humour et intelligence à son jeune public en lui montrant qu'il ne suffit pas de devenir adulte pour être responsable.
Télérama
Un road movie endiablé et touchant sur une enfance chahutée.
Les Fiches du Cinéma
Une comédie stimulante interrogeant de façon tendre et maligne le rôle de l’adulte.
Les Inrockuptibles
Malgré quelques gimmicks ronflants, le premier film de Zara Dwinger nous embarque dans un road trip ébouriffant.
Paris Match
Zara Dwinger évite (et c’est tant mieux) de sur-dramatiser son récit pour se concentrer sur la relation entre deux êtres à fleur de peau, une femme entrée trop vite dans le monde des adultes, une fillette sortie trop vite de celui de l’enfance.
Première
Derrière ses airs mélancoliques, Le jour où j’ai rencontré ma mère est un splendide feu de joie.
Marianne
Ce Thelma et Louise version mère/fille mise sur l’insolence, la poésie et l’humour, mais, après un prologue stimulant, ne tient pas ses promesses. En premier lieu à cause de son scénario rapidement répétitif.