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Un visiteur
5,0
Publiée le 18 février 2010
Absolument CULTE !! Rien de plus à ajouter si ce n'est que ce film est un pur bonheur, un vrai régal, qu'il vous donnera envie de chanter et de danser sur votre canapé !! A découvrir de toute urgence si ce n'est pas déjà fait !! Allez plus vite que ça, vous êtes encore là ?
Bon divertissement, des chansons déjantées et pas mal écrites. Visuellement c'est trashy et un peu ambiance film d'horreur. Tim Curry est très drôle, mais certaines scènes sont assez banal et d'autres plus réussie et même bien réalisées.
«The Rocky Horror Picture Show» (Grande-Bretagne, 1975) de Jim Sharman est considéré par tout un pan d'une génération comme un film culte. L'appellation, oh combien galvaudée, de film culte contient en elle seule toute la nouvelle fonction qu'occupe le cinéma depuis que la Modernité a laissé place au fun des productions hédonistes. Le film de Sharman est un pastiche, un hommage, si on veut, aux musicals, à la RKO, à l'Hollywood classique déchu. Britannique, le film reprend tous les personnages constitutifs de la comédie musicale et les détourne comme on manipule des chiffons de marionnettes pour mieux les rendre ridicule, pour mieux faire rire, pour mieux faire «culte». Ironie du sort, en 1978, les Etats-Unis font renaître la comédie musicale avec le niais «Grease». «R.H.P.Sh.» tourne en dérision la maestria bienséante des grandes productions hollywoodiennes d'antan. Pourtant à mesure que le film se poursuit, l'oeuvre de Sharman se révèle être aussi maîtrisée et engoncée que les films de studio. Le délire finale ne suffit pas à exploser les règles du musical, et encore moins à les reformuler. Sur la base des films hollywoodiens, reproduisant leur mode de production, «R.H.P.Sh.» aspire comme eux à divertir. Sharman, tout respectueux de son objet qu'il est, oublie d'en réajuster la formulation pour lui donner une figure singulière, pour se destiner à un autre but. Et pourtant le meilleur de Sharman ne vaut pas le pire de Donen-Kelly puisque le premier n'est que la copie du second. Faut-il alors jouir d'une telle oeuvre (car l'hédonisme n'est rien d'autre que l'enjeu du «film culte») ? Certainement pas, il faudrait plutôt s'en décevoir. Aimer «R.H.P.Sh.» revient à aimer ses reproductions de chefs-d'oeuvre qui, sur le postulat de copier une grande oeuvre, doivent être adulées. Soulageons-nous que Sharman n'ait pas voulu parodier des films de série Z (comme ce fût le cas, par ailleurs, avec le sinistre «Scary Scream Movie»).
Ah une comédie musicale complètement déjantée et fofolle! Plongé dans une ambiance morbide des années 70, on assiste à une histoire vraiment spéciale: entre un mélange de frankenstein, dracula, travestis et les envahisseurs! Le film a certes un peu mal vieilli mais il conserve tout son charme à travers la ravissante Suzanne Sarandon.. Bref une comédie musicale de référence!
C'est du ouf c'est ouf, du timbré du déjanté, comme Brad et Janet on tombe sur une planet de dingues! Ce chateau en apparance lugubre abrite de bien étranges personnes! Ils se mèttent à chanter, et un travestit fait son apparition! Mais finalement moi j'aime bien, ce monde qui n'a peur de rien, pas de tabou tout peu se dire! C'est sympa!
Encore un film qui a usurpé sa bien glorieuse réputation... "The Rocky Horror Picture Show" est en effet un peu plus de trente ans après sa sortie l'un des emblèmes de la génération contestataire issue de la contre-culture Américaine : comme tout objet symbolique qui se respecte, il bénéficie d'un public de fans lui vouant un culte quasi-sacré. A quoi bon ? Monotone, ce long-métrage ne fait qu'empiler les clichés alors en vogue. Superficiel, il s'est transformé en oeuvre kitsch sans charme où les couleurs, lumières et costumes (tous plus laids les uns que les autres) envahissent un cadre déjà surchargé soumis en plus aux lois du mauvais goût et du criard agressif. Evidemment, il y a un aspect soi-disant "déjanté" caractéristique des seventies ; en réalité, la subversion revendiquée s'apparentait à du conformisme à l'heure où les images de ce type étaient devenues monnaie courante dans un mouvement qui n'allait d'ailleurs pas tarder à s'essouffler. N'oublions pas non plus la sexualité explicitement évoquée ; oulala, c'est dérangeant dites-moi : des vannes de camionneurs à tout bout de champ, faisant ressortir avec brio une vulgarité décidément omniprésente tant sur la forme que sur le fond. Le redondance et le prévisible ne semblaient guère inquiéter les auteurs de cet opéra-rock vite ennuyant ; les situations s'empilent avec une platitude édifiante ma foi bien difficile à justifier. Nous passerons outre une interprétation médiocre, de même que des interludes musicaux bien pauvres (je ne suis pas convaincu sur ce point que l'on soit constamment dans l'auto-dérision, peut-être et en étant indulgent pourra-t-on dire partiellement) à la limite de l'ignoble. Bref, pas grand-chose n'est à sauver de "The Rocky Horror Picture Show". A vrai dire, on ne sait pas trop d'où vient ce courage qui nous pousse à le regarder jusqu'au bout. Peut-être parce que le bien-pensant des 70's l'était un tout petit peu moins que celui du troisième millénaire. Entre la peste et le choléra...
Si vous aimez les films assez particuliers vous voila servi ! Un mélange de film d'horreur, de rock, de transsexulle pour un film assez déjanté il faut bien le dire. Les chansons sont aussi géniales, tout comme le scénario ! Bref un très bon moment devant ce film à regarder sans modération !
Un Tim Curry au sommum! Le film m'a demandé un second visionnage, puis un troisieme, non pas pour comprendre l'histoire , simplement pour le plaisir! Le film est drole, les acteurs excellents et la bande originale culte! Soignée et drole a souhait ce film est probablement le plus grand classique du cinéma de minuit, incontournable donc.
Film culte et adoré par un certains groupe de spectateurs, The Rocky Horror Show Picture montre la découverte par un jeune couple puritain d'un monde secret plein de vices et de péchés, le tout en parodiant vaguement les séries B d'horreur. Si certaines séquences sont sympathiques, aidées par des musiques délirantes (l'arrivée au château), le film ne décolle pas vraiment et reste au stade de nanar jovial. Dans le genre comédie musicale/déjanté/horreur, on préfère largement Phantom of the Paradise.
De l'audace, de la décadence, de l'originalité, nous voila plongés dans un univers invraisemblable mais attachant, chaque personnage différent, de l'humour a pleurer, vraiment prenant, a voir en vo, incomparable tout de même!
Une farce musicale délicieusement sinistre très brilamment interprétée et réalisée ! Les numéros musicaux sont très bien filmés et aussi très bien rythmés. Tim Curry est très formidablement déchaîné et les interprétations de Barry Bostwick et de Susan Sarandon sont excellentes et vaut à elles seules le détour. Il est tout à fait compréhensible lorsqu'on le regarde que ce film très original et très unique soit devenu au fil du temps un film culte.
J'ai vu Rocky pour la première fois en 1977, et je viens de le revoir aujourd'hui. Quel extase! Tim Curry est absolument parfait! Musique éblouissante! Le film culte original! Vive Rocky Horror.
Plus qu'une comédie musicale, un délire symphonique. Une anti-thèse parfaite du film d'horreur B. Cultissime, les chansons sont réellement fabuleuses. On ne s'en défait plus.