Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Nicolas Moreno
Sur un ton volontairement bouffon et bas de plafond, et en dépit d’une image qui semble tout droit sortie d’une chambre de youtubeur·se éclairée au néon bleu-violet, le film réussit son pari en faisant rire à propos d’un sujet sensible.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Cédric Page
Cette suite du court métrage culte La Bifle prend les airs d'une série Z fauchée pour raconter la révolution de l'amour et du couple après #MeToo, en mêlant kung-fu, science-fiction, blagues salaces et gags outranciers. Un faux nanar, et une vraie curiosité.
Closer
par Justine Boivin
Film d'action mâtiné d'humour pince-sans-rire, cet opus façon série B est à prendre au 15ᵉ degré.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Zenithal explore par l’absurde les codes actuels de la masculinité.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Si vous aimez le second degré potache et le mauvais goût déconnant, ne passez pas à côté de cette comédie bien bien raide.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Plus absurde que drôle, Zenithal offre aussi une réflexion intéressante sur l’homme d’aujourd’hui.
Libération
par Lelo Jimmy Batista
C’est parfois lourd, souvent épuisant, mais il s’en dégage quelque chose, au final, d’assez rafraîchissant. Une sorte de croisement contre-nature entre le haut du panier de la comédie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par G.E.
Zénithal démontre un authentique sens de la connerie et rien que pour ça... euh, il force le respect !
Télérama
par Frédéric Strauss
Un premier film culotté de Jean-Baptiste Saurel autour du membre viril, sans autre prétention que d’amuser. Et c’est plutôt réussi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Décapant mais vite oublié. On a quand même l’impression qu’il a fallu tirer sur la corde pour arriver à une heure vingt, et que cette farce potache artisanale ressemble trop à la suite d’une œuvre que pas grand monde n’a vue.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Catherine Balle
On décroche vite face à un scénario totalement en roue libre et sans queue ni tête.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoareau
Dynamitant joyeusement les troubles de la masculinité contemporaine, la comédie de Jean-Baptiste Saurel finit par tourner à vide, en raison notamment d’un humour répétitif.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé 2 semaines
par A.A.B.
Mal ficelé et parfois affligeant, le film est néanmoins idéal si l'on souhaite se détendre le temps de quelques blagues graveleuses.
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Là où on attendait une comédie décalée, on découvre une série Z embarrassante à laquelle on demeure complètement hermétique, dont chaque vanne tombe à plat, qui n’évite pas la vulgarité et les longueurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Damien Leblanc
Malgré cette volonté de brocarder le machisme, le film souffre de ressorts comiques trop attendus et paraît déjà daté alors même qu’il souhaitait moderniser son propos. Et le thème de la frustration sexuelle de se muer en frustration cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
Sur un ton volontairement bouffon et bas de plafond, et en dépit d’une image qui semble tout droit sortie d’une chambre de youtubeur·se éclairée au néon bleu-violet, le film réussit son pari en faisant rire à propos d’un sujet sensible.
Ouest France
Cette suite du court métrage culte La Bifle prend les airs d'une série Z fauchée pour raconter la révolution de l'amour et du couple après #MeToo, en mêlant kung-fu, science-fiction, blagues salaces et gags outranciers. Un faux nanar, et une vraie curiosité.
Closer
Film d'action mâtiné d'humour pince-sans-rire, cet opus façon série B est à prendre au 15ᵉ degré.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Zenithal explore par l’absurde les codes actuels de la masculinité.
L'Obs
Si vous aimez le second degré potache et le mauvais goût déconnant, ne passez pas à côté de cette comédie bien bien raide.
Le Dauphiné Libéré
Plus absurde que drôle, Zenithal offre aussi une réflexion intéressante sur l’homme d’aujourd’hui.
Libération
C’est parfois lourd, souvent épuisant, mais il s’en dégage quelque chose, au final, d’assez rafraîchissant. Une sorte de croisement contre-nature entre le haut du panier de la comédie.
Mad Movies
Zénithal démontre un authentique sens de la connerie et rien que pour ça... euh, il force le respect !
Télérama
Un premier film culotté de Jean-Baptiste Saurel autour du membre viril, sans autre prétention que d’amuser. Et c’est plutôt réussi.
La Voix du Nord
Décapant mais vite oublié. On a quand même l’impression qu’il a fallu tirer sur la corde pour arriver à une heure vingt, et que cette farce potache artisanale ressemble trop à la suite d’une œuvre que pas grand monde n’a vue.
Le Parisien
On décroche vite face à un scénario totalement en roue libre et sans queue ni tête.
Les Fiches du Cinéma
Dynamitant joyeusement les troubles de la masculinité contemporaine, la comédie de Jean-Baptiste Saurel finit par tourner à vide, en raison notamment d’un humour répétitif.
Télé 2 semaines
Mal ficelé et parfois affligeant, le film est néanmoins idéal si l'on souhaite se détendre le temps de quelques blagues graveleuses.
Le Journal du Dimanche
Là où on attendait une comédie décalée, on découvre une série Z embarrassante à laquelle on demeure complètement hermétique, dont chaque vanne tombe à plat, qui n’évite pas la vulgarité et les longueurs.
Première
Malgré cette volonté de brocarder le machisme, le film souffre de ressorts comiques trop attendus et paraît déjà daté alors même qu’il souhaitait moderniser son propos. Et le thème de la frustration sexuelle de se muer en frustration cinématographique.