AlloCiné
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Il y aura toujours des esprits fort pour sur-analyser le film et nous en expliquer la prétendue profondeur. Tant pis pour eux !. Moi ce qui m'a sidéré c'est le niveau d'incohérences atteint par le film. Spoilons un peu :
spoiler:
Neve organise une fête, Neve (on le saura plus tard) a abandonné deux de ses gosses il y a 18 ans (donc quand ils étaient bébés) Mais voilà qu'ils se pointent à la fête, Nevé les reconnait et les chasse en faisant un scandale ! Et personne n'a dit au scénariste que ça n'avait aucun sens. Et puis il y a l'intrusion finale, je veux bien concevoir que dans certaines situations on peut être amené à avoir des réactions qui défie la logique... mais il y a des limites quand même !
Ce film ne mérite aucune analyse, on n'analyse pas la médiocrité, il ne mérite pas non plus d'être vu mais ça je ne pouvais pas le savoir avant.
Ce film ne mérite aucune analyse, on n'analyse pas la médiocrité, il ne mérite pas non plus d'être vu mais ça je ne pouvais pas le savoir avant.
Bof. D'abord ce n'est pas du tout un film d'horreur, mais un thriller psychologique. On est effectivement dans une ambiance qui rappelle Get Out ou Us, mais de manière moins intéressante, sans vraiment de twist. La question d'être noire et femme dans la société américaine est au centre de l'intrigue. Le pitch : Une femme fait un jour le choix de quitter son conjoint violent pour se reconstruire une vie totalement différente dans une banlieue bourgeoise "blanche". Elle parvient à changer complètement d'identité (comment y arrive t elle ce n'est pas le sujet) pour ne pas être retrouvée, et fonde une nouvelle famille et une vie professionnelle et sociale.
spoiler:
Mais elle a laissé derrière elle deux enfants, qui, devenus adulte/ado la retrouvent et entendent bien lui faire payer. D'un point de vue psychologique on est partagé entre se dire qu'elle est une mère lâche et indigne, ou qu'elle a "sauvé sa peau" en faisant un sacrifice que - comme elle le dit - beaucoup d'hommes font tous les jours, mais que la société ne peut pas pardonner à une mère
On sent bien dès le départ que l'héroïne vit sous tension, en faux, consciente que sa vie peut s'écrouler à tout moment, et c'est ce qui va produire peu à peu sous nos yeux, d'une manière finalement pas très intéressante, jusqu'à une fin en queue de poisson qui boucle la boucle en renvoyant à la psychologie d'un personnage profondément seule et incapable d'établir des liens affectifs profonds.
Donc je dirais une idée de base intéressante, un questionnement sociétal et psychologique sous jacent mais le tout traité d'une façon qui sent le déjà vu et ne convainc pas vraiment.
On sent bien dès le départ que l'héroïne vit sous tension, en faux, consciente que sa vie peut s'écrouler à tout moment, et c'est ce qui va produire peu à peu sous nos yeux, d'une manière finalement pas très intéressante, jusqu'à une fin en queue de poisson qui boucle la boucle en renvoyant à la psychologie d'un personnage profondément seule et incapable d'établir des liens affectifs profonds.
Donc je dirais une idée de base intéressante, un questionnement sociétal et psychologique sous jacent mais le tout traité d'une façon qui sent le déjà vu et ne convainc pas vraiment.
Bon thrilleur sans plus, le synopsis donne vraiment envie, la réalité du film un peu moins, néanmoins je me suis laissée entraînée
2 étoiles pour l'effort. Mais rien d'intéressant. On s'attend à un petit retournement de situation mais non même pas.
En gros on nous fait croire que le seul échappatoire est de partir sans se battre... Vive la morale a deux balles..
En gros on nous fait croire que le seul échappatoire est de partir sans se battre... Vive la morale a deux balles..
Le film commence pas trop mal mais s'enlise rapidement, beaucoup trop d'incohérences
surtout dans la dernière partie du film mon avis est ne perdez pas 1h 40 a visionner un tel navet
surtout dans la dernière partie du film mon avis est ne perdez pas 1h 40 a visionner un tel navet
Le film ne répond pas clairement pas aux attentes que Netflix a suscitées en le comparant à l'excellent "Get Out". Malheureusement, cette comparaison est trompeuse car le film ne parvient pas à égaler, ni la qualité du scénario, ni le jeu d'acteur, ni la tension permanente, et encore moins la fin de "Get Out".
De même, la référence à "Funny Games" est trompeuse, car bien que le film reprenne le même concept, il est loin de la qualité de l'original. Genre, vraiment loin. Tout au plus, nous avons une version WISH, digne d'un téléfilm du dimanche sur TF1.
La première partie du film est correcte, posant les bases de l'intrigue avec une photographie excellente et des acteurs décents. Cependant, la dernière partie du film est un désastre absolu. spoiler: * La question de savoir si la mère est une victime ou une psychopathe n'est pas clairement résolue, ce qui rend l'intrigue confuse et peu satisfaisante. * La mort du mari est inutile et incompréhensible, car il était la seule personne sensée et bienveillante dans le film. * La scène où Devon colossne une porte, à son arrivée, est également inutile car la porte d'entrée était libre tout le long.
En fin de compte, ce film est navrant et ne parvient pas à répondre aux attentes suscitées par les comparaisons avec "Get Out" et "Funny Games". Malgré une première partie correcte, la fin désastreuse et l'intrigue confuse me laissent un goût amer. Bref, une perte de temps.
De même, la référence à "Funny Games" est trompeuse, car bien que le film reprenne le même concept, il est loin de la qualité de l'original. Genre, vraiment loin. Tout au plus, nous avons une version WISH, digne d'un téléfilm du dimanche sur TF1.
La première partie du film est correcte, posant les bases de l'intrigue avec une photographie excellente et des acteurs décents. Cependant, la dernière partie du film est un désastre absolu. spoiler: * La question de savoir si la mère est une victime ou une psychopathe n'est pas clairement résolue, ce qui rend l'intrigue confuse et peu satisfaisante. * La mort du mari est inutile et incompréhensible, car il était la seule personne sensée et bienveillante dans le film. * La scène où Devon colossne une porte, à son arrivée, est également inutile car la porte d'entrée était libre tout le long.
En fin de compte, ce film est navrant et ne parvient pas à répondre aux attentes suscitées par les comparaisons avec "Get Out" et "Funny Games". Malgré une première partie correcte, la fin désastreuse et l'intrigue confuse me laissent un goût amer. Bref, une perte de temps.
J'ai était déçu de la fin, il m'intriguait beaucoup est j'étais pris dedans au début mais au final la mère ne s'est pas du tout racheter et les enfants abandonnés auquel ont peut comprendre la douleur ont préféré jouer les psychopathes, ils aurait pû tous mieux s'exprimer. Une fin énervante car elle nous laisse sur aucune conclusion, le film US relève le niveau en terme de thriller psychologique.
L'intrigue de ce film semblait intéressante, changeante par rapport à d'autres productions et pouvait donner envie de le voir. Au regard du visionnage, il y a un intéressement certains, mais le rendu aurait pu être mieux. On s'attend à un décollage à un moment donné, très tardif et coupé court. Une certaine tension est palpable tout du long et il semblerait que ce soit l'unique élément intéressant. Beaucoup de choses ne sont pas aboutis, des incohérences, des scènes parfois bancales, donnant un rendu plus que moyen et c'est bien dommage. On sent limite un malaise dans le déroulement du film. Après, la fin concorde avec l'histoire même si elle reste surprenante.
Au bilan, ni plus, ni moins.
Au bilan, ni plus, ni moins.
Ce film explore un sujet tabou et méconnu, le determinisme social des femmes noires. Comment se sortir d'une situation invivable et se réinventer malgré les traumatismes causées par un système injuste (racisme, discrimination...)
Thriller psychologique insoutenable! On pourrait penser que la seule solution est de s'en fuir et repartir de zéro.
Thriller psychologique insoutenable! On pourrait penser que la seule solution est de s'en fuir et repartir de zéro.
Quelle souffrance cest incroyable il ne se passe rien dans ce film ...l'histoire na aucun sens on ne comprends ou veut en venir le film..passez votre chemin
N'écoutez pas les mauvaises critiques, c'est bien, malgré un certain wokisme propre à Netflix. Les 20 dernières minutes à la "Funny games" me semblent discutables, car un peu artificielles, mais le tout tient bien la route.
Un film original et surprenant.
Personnellement j'ai adoré la fin. Je ne m'attendais pas à ça, et du coup j'ai adoré être surprise.
Bon, on n'est pas sur un jeu d'acteur vraiment pointu, ni un scénario hyper réaliste, et il y a même quelques invraisemblances, mais j'ai regardé sans m'ennuyer.
Personnellement j'ai adoré la fin. Je ne m'attendais pas à ça, et du coup j'ai adoré être surprise.
Bon, on n'est pas sur un jeu d'acteur vraiment pointu, ni un scénario hyper réaliste, et il y a même quelques invraisemblances, mais j'ai regardé sans m'ennuyer.
Jorik V
Cette petite série B se place en plein dans une certaine mouvance actuelle instaurant le cinéma de genre comme un catalyseur des questionnements de nos société contemporaines sur l’identité de genre, la féminité (et son opposé la masculinité toxique comme avec « Men » pour ne citer que l’un des plus flamboyants, radical et mémorable) mais aussi la race, comme ici et notamment pour les personnes de couleur. Forcément, et par ricochet comme cette tendance en est encore à ses balbutiements (moins d’une décennie), on se réfère à son instigateur : Jordan Peele, notamment avec ses deux premiers films « Get Out » et « Us ». En effet, cet avatar britannique qu’est « The Strays, dans leur ombre » n’aurait certainement pas existé sans le carton des œuvres de son modèle américain desquelles il s’inspire sans le cacher. Il n’y a donc aucun effet de surprise de ce côté-là et le film peut paraître légèrement opportuniste. Mais cela reviendrait à dire que tous les films à fort potentiel féministe ou contre le mâle hétéro cis genre qui pullulent actuellement sur les écrans le sont. Ce qui n’est pas le cas.
Ensuite, avec son début sibyllin et son ambiance anxiogène et pleine de mystère, ce long-métrage maîtrisé nous fait croire à un film d’horreur ou une œuvre fantastique à tendance paranoïaque. On pense alors aussi beaucoup à un chef-d’œuvre du genre : « It follows ». Mais, heureusement, passé la première partie, « The Strays, dans leur ombre » prend un virage bien plus singulier et surprenant pour se focaliser sur le suspense psychologique. Et un suspense très tendu et pertinent. L’ambiance se veut étouffante et on n’est parfois pas loin d’un cinéma social exigeant et malsain à la Haneke. Quand le mystère s’éclaircit peu à peu, il nous captive et tout tient parfaitement la route. Puis vient le dernier chapitre, où le cinéaste autrichien est presque cité et où la tension omniprésente devient étouffante. Quant à la fin, elle est excellente et presque logique, amenant une morale et une réflexion peu recommandable.
Mais, en filigrane, le film n’est pas dénué de réflexion intéressante sur la condition d’être une femme noire il a quelques années comme à l’heure actuelle et sur la manière dont on voudrait être perçu. Le vernis des apparences se brise peu à peu. C’est plutôt adroit et la performance de Ashley Madekwe est en totale adéquation dans la manière dont elle joue ces problèmes psychologiques ainsi que la folie et le désespoir. Le décor de cette banlieue londonienne huppée fait miroir avec un excellent et terrifiant film d’horreur anglais méconnu et récent, également produit par Netflix : « His house » et sa banlieue délabrée. « The Strays, dans leur ombre » nous étonne et nous surprend assez pour pallier à son statut de petite série B qui manque parfois un peu d’ambition et dont le propos est présent pour se donner l’air sérieux mais qui n’est pas toujours bien développé et approfondi de manière sommaire. Cela reste dans le carcan de ce qu’une telle production peut offrir. C’est toutefois bien fait, prenant et très angoissant.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Ensuite, avec son début sibyllin et son ambiance anxiogène et pleine de mystère, ce long-métrage maîtrisé nous fait croire à un film d’horreur ou une œuvre fantastique à tendance paranoïaque. On pense alors aussi beaucoup à un chef-d’œuvre du genre : « It follows ». Mais, heureusement, passé la première partie, « The Strays, dans leur ombre » prend un virage bien plus singulier et surprenant pour se focaliser sur le suspense psychologique. Et un suspense très tendu et pertinent. L’ambiance se veut étouffante et on n’est parfois pas loin d’un cinéma social exigeant et malsain à la Haneke. Quand le mystère s’éclaircit peu à peu, il nous captive et tout tient parfaitement la route. Puis vient le dernier chapitre, où le cinéaste autrichien est presque cité et où la tension omniprésente devient étouffante. Quant à la fin, elle est excellente et presque logique, amenant une morale et une réflexion peu recommandable.
Mais, en filigrane, le film n’est pas dénué de réflexion intéressante sur la condition d’être une femme noire il a quelques années comme à l’heure actuelle et sur la manière dont on voudrait être perçu. Le vernis des apparences se brise peu à peu. C’est plutôt adroit et la performance de Ashley Madekwe est en totale adéquation dans la manière dont elle joue ces problèmes psychologiques ainsi que la folie et le désespoir. Le décor de cette banlieue londonienne huppée fait miroir avec un excellent et terrifiant film d’horreur anglais méconnu et récent, également produit par Netflix : « His house » et sa banlieue délabrée. « The Strays, dans leur ombre » nous étonne et nous surprend assez pour pallier à son statut de petite série B qui manque parfois un peu d’ambition et dont le propos est présent pour se donner l’air sérieux mais qui n’est pas toujours bien développé et approfondi de manière sommaire. Cela reste dans le carcan de ce qu’une telle production peut offrir. C’est toutefois bien fait, prenant et très angoissant.
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Je commence à me dire que les gens ne sont pas très reflechis, pour préférer des thrillers ultra-légers tels que Squid Game à des thriller psychologiques bien réalisés. Je suis choquée des critiques. J’ai vu des films limite tournés avec un Iphone avec de bien meilleurs notes que ça. Celui lui là est très bien réalisé et les scènes sont tout sauf dénuée de sens. Je ne vais pas dire que je l’ai trouvé excellent mais c’est le premier film que j’arrive à regarder depuis des mois car il se regarde très bien. Le seul bémol c’est qu’il manque un peu d’action. Sinon, j’ai trouvé l’intrigue dingue et originale, intrigue d’ailleurs excellent amenée dès la première seconde du film; les dialogues sont bien écrits, la réalisation fait haut-de galle. Quand à la fin j’ai trouvé que le choix artistique sonore extrêmement intelligent, parfaitement angoissant et j’en ai encore la boule au ventre (un genre de requiem for a dream) Je recommande !!!!
Ti Nou
Rien ne venant justifier concrètement les frayeurs de la protagoniste, "Dans leur ombre" ne repose que sur des effets de style paresseux pour créer l’angoisse. Il faut attendre le dernier acte pour que les situations sortent de l’ordinaire. Malheureusement, elles lorgnent davantage vers le comique involontaire que l’horreur.
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