Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Culturopoing.com
par Xanaé Bove et Bénédicte Prot
"After" est à la fois infiniment petit et infiniment grand. Son audace et sa beauté donnent des frissons et prouvent qu’on peut et faire la fête et réfléchir. Mieux encore : lutter !
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Ce premier long-métrage est donc très loin d’être parfait, mais il a le mérite de rendre honneur à ce milieu désormais connu de toutes et tous, grâce à une sincérité rare.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Fiches du Cinéma
par Guillaume Ange
Anthony Lapia nous plonge dans les coulisses d’une soirée techno où l’intime se mêle au collectif, alors que s’invitent transe et drogues tous azimuts. Les destins de Félicie et de Saïd s’y croisent et donnent lieu à une rencontre aussi singulière qu’inattendue.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Olivier Lamm
[...] c’est cette résistance, cette opiniâtreté des teufeurs qui fait mouche et penser qu’Anthony Lapia a attrapé dans "After" quelque chose qui avait échappé à tous les autres cinéastes – l’endroit où l’on se lâche, parce qu’on ne veut pas lâcher, mais surtout parce qu’on s’y sent, qu’on y est entouré.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Bauche
La sécheresse de la mise en scène révèle un regard évident de cinéaste.
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
La tentative de dessiner un horizon politique à cet After semble forcée et insuffisante (…). Reste une belle rencontre entre deux âmes de la nuit au hasard d’une fête dont l’énergie dionysiaque fait trembler les images.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Ma. Mt.
Dans ses meilleurs moments, After saisit assez bien le climat de déconfiture qui succède à la fête : mégots refroidis, taches de vin, dette de sommeil et faciès décavés, avant que l’aube blême ne vienne relever les compteurs et tout ramasser
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Si la fête est évidemment un sujet à la mode depuis quelques années dans le cinéma français, il n’est pas dit qu’elle ait déjà été à ce point assumée comme seule et unique matière d’un film, à l’épure, sans s’encombrer du moindre ornement de récit, ou presque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
On y glose un peu trop sur l’amour, la politique, et trop peu sur la fête, mais l’expérience globale (pas exempte de défauts, ce jusque dans la qualité de la pellicule que le réalisateur avoue avoir développé de ses mains) n’en demeure pas moins enthousiasmante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une expérience baroque mais un peu vaine.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ouest France
par La Rédaction
Une tentative d'expérience sensorielle qui achoppe sur la faiblesse des dialogues, dès que la musique s'efface.
Première
par Emma Poesy
A travers cette étude — qui se voudrait naturaliste ? — d’une teuf et de ses protagonistes, un premier long aux allures de mauvais clip musical, dans lequel les basses ne s’interrompent que pour laisser place à des dialogues embarrassants, malgré la toujours excellente Louise Chevillotte. Une seule question : pour quoi faire ?
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
"After" est à la fois infiniment petit et infiniment grand. Son audace et sa beauté donnent des frissons et prouvent qu’on peut et faire la fête et réfléchir. Mieux encore : lutter !
Ecran Large
Ce premier long-métrage est donc très loin d’être parfait, mais il a le mérite de rendre honneur à ce milieu désormais connu de toutes et tous, grâce à une sincérité rare.
Les Fiches du Cinéma
Anthony Lapia nous plonge dans les coulisses d’une soirée techno où l’intime se mêle au collectif, alors que s’invitent transe et drogues tous azimuts. Les destins de Félicie et de Saïd s’y croisent et donnent lieu à une rencontre aussi singulière qu’inattendue.
Libération
[...] c’est cette résistance, cette opiniâtreté des teufeurs qui fait mouche et penser qu’Anthony Lapia a attrapé dans "After" quelque chose qui avait échappé à tous les autres cinéastes – l’endroit où l’on se lâche, parce qu’on ne veut pas lâcher, mais surtout parce qu’on s’y sent, qu’on y est entouré.
Positif
La sécheresse de la mise en scène révèle un regard évident de cinéaste.
Cahiers du Cinéma
La tentative de dessiner un horizon politique à cet After semble forcée et insuffisante (…). Reste une belle rencontre entre deux âmes de la nuit au hasard d’une fête dont l’énergie dionysiaque fait trembler les images.
L'Obs
Envoûtant.
Le Monde
Dans ses meilleurs moments, After saisit assez bien le climat de déconfiture qui succède à la fête : mégots refroidis, taches de vin, dette de sommeil et faciès décavés, avant que l’aube blême ne vienne relever les compteurs et tout ramasser
Les Inrockuptibles
Si la fête est évidemment un sujet à la mode depuis quelques années dans le cinéma français, il n’est pas dit qu’elle ait déjà été à ce point assumée comme seule et unique matière d’un film, à l’épure, sans s’encombrer du moindre ornement de récit, ou presque.
Télérama
On y glose un peu trop sur l’amour, la politique, et trop peu sur la fête, mais l’expérience globale (pas exempte de défauts, ce jusque dans la qualité de la pellicule que le réalisateur avoue avoir développé de ses mains) n’en demeure pas moins enthousiasmante.
aVoir-aLire.com
Une expérience baroque mais un peu vaine.
Ouest France
Une tentative d'expérience sensorielle qui achoppe sur la faiblesse des dialogues, dès que la musique s'efface.
Première
A travers cette étude — qui se voudrait naturaliste ? — d’une teuf et de ses protagonistes, un premier long aux allures de mauvais clip musical, dans lequel les basses ne s’interrompent que pour laisser place à des dialogues embarrassants, malgré la toujours excellente Louise Chevillotte. Une seule question : pour quoi faire ?