Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Se produit alors une révélation esthétique que seuls Branca de neve de Monteiro ou L’Homme atlantique de Duras avaient atteint dans le cinéma narratif.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
In Water fige ici avec autant de clairvoyance que de douceur cette contradiction cruelle du créateur envahi par des images obsédantes, qui s’agitent dans sa tête, tout en étant incapable de les reproduire parfaitement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
par Robin Vaz
Le flou généralisé ne vise pas à retranscrire une sensation précise, mais figure davantage un certain être au monde – celui d’une distanciation esthétique qui vise à jouir des formes, des lumières et des couleurs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
La force du geste d’Hong Sang Soo – sa musique tout autant que ses images d’ailleurs — s’en fait l’écho : abandonner l’idée de capturer un moment idéal ou idéalisé afin de donner à sentir et ressentir une expérience, la beauté d’un instant.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifllet
Hong Sang-soo filme comme s’il peignait, maître du paysage, de la couleur et des lumières, artiste sensible de la contemplation et des silences éloquents, attentif à chaque détail.
Le Monde
par Ma. Mt.
Hong Sang-soo ose surtout plonger le film délibérément dans le flou et contrevient à la norme technique de la netteté. Quelque chose s’efface, tout comme se dénouent les liens nouant Seong-mo à ses deux coéquipiers. À l’arrivée, ce héros esseulé se destine lui-même à disparaître dans ses propres images, comme englouti par une tache de couleur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoareau
Toile impressionniste doublée d’une réflexion aussi poétique que mélancolique sur le flou artistique, la nouvelle flânerie de Hong Sangsoo désarçonne, puis bouleverse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Laura Tuillier
Dans ce film de bord de mer et de paysage, la part la plus réussie de la proposition se situe dans la captation de petites marines (comme on les désigne en peinture) animées, qui exhalent une douceur nostalgique assez poignante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Dans In Water, il rend hommage à Georges Seurat et Claude Monet, par une étude pointilliste de la mélancolie d'un jeune acteur qui cherche l'inspiration de son premier film. Inutile de demander au projectionniste de régler la mise au point, le travail sur le flou est volontaire (et magnifique).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Tout se trouble, laissant le créateur dans le flou, dans un état liquide, gazeux, qui se traduira, sans que cela apparaisse jamais comme facilité formelle ou rhétorique — le film comme tous ceux d'Hong Sangwoo, coule avec le naturel confondant des œuvres émanant d'une sincérité absolue — en jouant constamment avec le point de netteté de l'image.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Passer du fragment naturel à l'œuvre d'art, voilà le miracle répété de Hong Sang-Soo, cinéaste-impressionniste par excellence.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Cette mise en abîme du cinéma dans le cinéma, chère à l’œuvre prolixe de Hong Sang-Soo, révèle le goût sensible du réalisateur pour la peinture de Cézanne. In Water est un petit joyau de poésie sur la vacuité humaine et la panne d’inspiration des artistes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Première
par Thomas Baurez
C’est simple, pas très long et toujours flou. Le sud-coréen Hang Sangsoo, assurément le cinéaste le plus productif en activité (deux longs par an en moyenne), tourne même quand il n’a pas grand-chose à dire. Chapeau l’artiste !
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
In Water se réduit un peu trop à ce jeu théorique, déroulant un récit monotone, où l’audace de la netteté bafouée se révèle presque timorée au regard de l’enjeu pictural qu’elle pourrait comporter. L’aquarelle offre, parfois, l’éclat d’un parasol rouge et d’un buisson de fleurs jaunes, mais le plaisir formel reste, par ailleurs, limité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Pour sursignifier son gracile scénario, Hong Sang-soo refuse de faire le point et filme le tout dans un flou certes symbolique, mais surtout inconfortable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cahiers du Cinéma
Se produit alors une révélation esthétique que seuls Branca de neve de Monteiro ou L’Homme atlantique de Duras avaient atteint dans le cinéma narratif.
Les Inrockuptibles
In Water fige ici avec autant de clairvoyance que de douceur cette contradiction cruelle du créateur envahi par des images obsédantes, qui s’agitent dans sa tête, tout en étant incapable de les reproduire parfaitement.
Critikat.com
Le flou généralisé ne vise pas à retranscrire une sensation précise, mais figure davantage un certain être au monde – celui d’une distanciation esthétique qui vise à jouir des formes, des lumières et des couleurs.
Culturopoing.com
La force du geste d’Hong Sang Soo – sa musique tout autant que ses images d’ailleurs — s’en fait l’écho : abandonner l’idée de capturer un moment idéal ou idéalisé afin de donner à sentir et ressentir une expérience, la beauté d’un instant.
Le Dauphiné Libéré
Hong Sang-soo filme comme s’il peignait, maître du paysage, de la couleur et des lumières, artiste sensible de la contemplation et des silences éloquents, attentif à chaque détail.
Le Monde
Hong Sang-soo ose surtout plonger le film délibérément dans le flou et contrevient à la norme technique de la netteté. Quelque chose s’efface, tout comme se dénouent les liens nouant Seong-mo à ses deux coéquipiers. À l’arrivée, ce héros esseulé se destine lui-même à disparaître dans ses propres images, comme englouti par une tache de couleur.
Les Fiches du Cinéma
Toile impressionniste doublée d’une réflexion aussi poétique que mélancolique sur le flou artistique, la nouvelle flânerie de Hong Sangsoo désarçonne, puis bouleverse.
Libération
Dans ce film de bord de mer et de paysage, la part la plus réussie de la proposition se situe dans la captation de petites marines (comme on les désigne en peinture) animées, qui exhalent une douceur nostalgique assez poignante.
Paris Match
Dans In Water, il rend hommage à Georges Seurat et Claude Monet, par une étude pointilliste de la mélancolie d'un jeune acteur qui cherche l'inspiration de son premier film. Inutile de demander au projectionniste de régler la mise au point, le travail sur le flou est volontaire (et magnifique).
Positif
Tout se trouble, laissant le créateur dans le flou, dans un état liquide, gazeux, qui se traduira, sans que cela apparaisse jamais comme facilité formelle ou rhétorique — le film comme tous ceux d'Hong Sangwoo, coule avec le naturel confondant des œuvres émanant d'une sincérité absolue — en jouant constamment avec le point de netteté de l'image.
Transfuge
Passer du fragment naturel à l'œuvre d'art, voilà le miracle répété de Hong Sang-Soo, cinéaste-impressionniste par excellence.
aVoir-aLire.com
Cette mise en abîme du cinéma dans le cinéma, chère à l’œuvre prolixe de Hong Sang-Soo, révèle le goût sensible du réalisateur pour la peinture de Cézanne. In Water est un petit joyau de poésie sur la vacuité humaine et la panne d’inspiration des artistes.
Première
C’est simple, pas très long et toujours flou. Le sud-coréen Hang Sangsoo, assurément le cinéaste le plus productif en activité (deux longs par an en moyenne), tourne même quand il n’a pas grand-chose à dire. Chapeau l’artiste !
Télérama
In Water se réduit un peu trop à ce jeu théorique, déroulant un récit monotone, où l’audace de la netteté bafouée se révèle presque timorée au regard de l’enjeu pictural qu’elle pourrait comporter. L’aquarelle offre, parfois, l’éclat d’un parasol rouge et d’un buisson de fleurs jaunes, mais le plaisir formel reste, par ailleurs, limité.
L'Obs
Pour sursignifier son gracile scénario, Hong Sang-soo refuse de faire le point et filme le tout dans un flou certes symbolique, mais surtout inconfortable.