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Premier long métrage des cinéastes d'animation hongrois Tibor Bánóczki et Sarolta Szabó [...], "Sky Dome 2123" réactualise sublimement un certain cinéma d'anticipation alliant vigueur politique et réflexion métaphysique, la première servant de véhicule pertinent à la seconde.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Un film bouleversant qui nous projette un siècle en avant dans un futur que la science-fiction a prédit maintes fois, simplement en observant le pire dont on sait l’Homme capable.
Poétique, sensible, imaginatif, Sky Dome 2123 est une jolie surprise. Un road trip dans un monde post-apocalyptique à la fois angoissant et spectaculaire sur fond d'histoire d'amour et d'alerte écologique. A ne pas rater.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Tout en répondant habilement aux codes des récits post-apocalyptiques, Sky Dome 2123 déplace les attentes et pose un autre regard sur l'avenir. Et si le nouveau monde se faisait sans les hommes ?
Ce superbe film réalisé par des cinéastes hongrois prouve à nouveau, après l’excellent « Mars Express », joyau français de 2023, qu’une animation bien réalisée se prête admirablement à la science-fiction.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Il s'agit d'une histoire de remariage par un voyage à travers le sensible, qui entérine sans hauts cris l'hypothèse d'une apocalypse inéluctable, comprise comme destin progressif et révélation à assumer.
Privilégiant les rapports humains aux scènes d'action, ce film d'animation brillamment réalisé se présente, comme toute bonne œuvre de science-fiction, comme une allégorie qui nous renvoie au réchauffement climatique et autres crises actuelles.
L’échappée belle – et désespérée – qui s’ensuit offre bien des trésors. Poignante histoire d’amour, fable pessimiste sur l’incurie et l’avidité de notre espèce autant que sur ses folles illusions d’éternité, le film est aussi un extraordinaire voyage visuel dans les vestiges de nos civilisations, que Stefan et Nora traversent au cours de leur fuite.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Six mois après Mars Express, du Français Jérémie Périn, le cinéma d’animation pour adultes offre à nouveau une belle réflexion sur l’avenir inquiétant de nos sociétés. Mais contrairement à Mars Express, ce long métrage méditatif et mélancolique signé par un duo de cinéastes hongrois ne ménage que peu de place à l’action ou à l’humour. C’est sa faiblesse mais aussi sa force, car il donne à voir la désolation d’un monde stérile dans toute sa froide réalité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Tout à la fois récit SF écolo et romance mélancolique, ce surprenant film d’animation prend son temps pour déployer son univers postapocalyptique, privilégiant l’intime à l’action au risque de manquer de souffle.
Malgré une baisse de régime notable à mi-parcours, ce singulier objet cinématographique reste tout de même une belle surprise qu’il serait dommage de ne pas découvrir en salles.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Le film d’animation le plus surprenant de ce début d’année nous vient de Hongrie. Sur des thématiques proches de « Blade Runner » et de « Soleil Vert », le duo Tibor Bánóczki et Sarolta Szabó imaginent une dystopie angoissante mais finalement très réaliste.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L’intrigue – resserrée sur le couple (les acteurs ayant été filmés en prises réelles puis redessinés à la main) durant leur longue traversée des paysages désertiques, les ruines de villes abandonnées étant travaillées en 3D – peine à convaincre et à émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Projet au long cours qui s’est étendu sur sept années, le film souffre – triste ironie – de trop s’en remettre à la technologie pour créer du spectaculaire quand sa 3D souffre de paraître trop souvent dépassée, évoquant plutôt le jeu vidéo fauché que le cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Et jamais Sky Dome 2123 ne parviendra à se déjouer de l’influence évidente du Mamoru Oshii de Ghost in the Shell -et donc du Tarkovski de Stalker et Solaris- convoquée dès son démarrage et qui écrase tout le reste du film, gentiment planant mais pas assez fou ni fort pour s’en libérer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Premier long métrage des cinéastes d'animation hongrois Tibor Bánóczki et Sarolta Szabó [...], "Sky Dome 2123" réactualise sublimement un certain cinéma d'anticipation alliant vigueur politique et réflexion métaphysique, la première servant de véhicule pertinent à la seconde.
L'Ecran Fantastique
Un film bouleversant qui nous projette un siècle en avant dans un futur que la science-fiction a prédit maintes fois, simplement en observant le pire dont on sait l’Homme capable.
Ecran Large
Une magnifique réflexion sur l'amour, le temps et la vie.
Filmsactu
Poétique, sensible, imaginatif, Sky Dome 2123 est une jolie surprise. Un road trip dans un monde post-apocalyptique à la fois angoissant et spectaculaire sur fond d'histoire d'amour et d'alerte écologique. A ne pas rater.
Franceinfo Culture
Tout en répondant habilement aux codes des récits post-apocalyptiques, Sky Dome 2123 déplace les attentes et pose un autre regard sur l'avenir. Et si le nouveau monde se faisait sans les hommes ?
L'Obs
Ce superbe film réalisé par des cinéastes hongrois prouve à nouveau, après l’excellent « Mars Express », joyau français de 2023, qu’une animation bien réalisée se prête admirablement à la science-fiction.
Le Dauphiné Libéré
Sky Dome 2123 soulève des questions profondes sur la valeur de la vie humaine et les sacrifices nécessaires pour préserver la planète.
Le Figaro
Dans un monde ravagé par une crise climatique, une bouleversante histoire d’amour post-apocalyptique. Entre récit d’aventures et dystopie écologique.
Le Parisien
Une jolie petite surprise qui a fait sensation dans les festivals où elle a été présentée.
Le Point
A ne pas rater sur grand écran.
Les Echos
Le résultat est angoissant, visionnaire et poétique.
Positif
Il s'agit d'une histoire de remariage par un voyage à travers le sensible, qui entérine sans hauts cris l'hypothèse d'une apocalypse inéluctable, comprise comme destin progressif et révélation à assumer.
Télé Loisirs
Privilégiant les rapports humains aux scènes d'action, ce film d'animation brillamment réalisé se présente, comme toute bonne œuvre de science-fiction, comme une allégorie qui nous renvoie au réchauffement climatique et autres crises actuelles.
Télérama
L’échappée belle – et désespérée – qui s’ensuit offre bien des trésors. Poignante histoire d’amour, fable pessimiste sur l’incurie et l’avidité de notre espèce autant que sur ses folles illusions d’éternité, le film est aussi un extraordinaire voyage visuel dans les vestiges de nos civilisations, que Stefan et Nora traversent au cours de leur fuite.
La Croix
Six mois après Mars Express, du Français Jérémie Périn, le cinéma d’animation pour adultes offre à nouveau une belle réflexion sur l’avenir inquiétant de nos sociétés. Mais contrairement à Mars Express, ce long métrage méditatif et mélancolique signé par un duo de cinéastes hongrois ne ménage que peu de place à l’action ou à l’humour. C’est sa faiblesse mais aussi sa force, car il donne à voir la désolation d’un monde stérile dans toute sa froide réalité.
Le Journal du Dimanche
Tout à la fois récit SF écolo et romance mélancolique, ce surprenant film d’animation prend son temps pour déployer son univers postapocalyptique, privilégiant l’intime à l’action au risque de manquer de souffle.
Les Fiches du Cinéma
Habillée par la rotoscopie, cette épopée intime et post-apocalyptique embrasse, non sans ambition, des thématiques environnementales et éthiques.
Les Inrockuptibles
Sky Dome 2123 pose esthétiquement la question de l’hybridité pour l’avenir.
Mad Movies
Malgré cela, quelques tableaux franchement réussis marquent durablement l'esprit.
Ouest France
Malgré une baisse de régime notable à mi-parcours, ce singulier objet cinématographique reste tout de même une belle surprise qu’il serait dommage de ne pas découvrir en salles.
Paris Match
Le film d’animation le plus surprenant de ce début d’année nous vient de Hongrie. Sur des thématiques proches de « Blade Runner » et de « Soleil Vert », le duo Tibor Bánóczki et Sarolta Szabó imaginent une dystopie angoissante mais finalement très réaliste.
aVoir-aLire.com
Un film d’animation d’anticipation étonnant et techniquement éblouissant.
Le Monde
L’intrigue – resserrée sur le couple (les acteurs ayant été filmés en prises réelles puis redessinés à la main) durant leur longue traversée des paysages désertiques, les ruines de villes abandonnées étant travaillées en 3D – peine à convaincre et à émouvoir.
Libération
Projet au long cours qui s’est étendu sur sept années, le film souffre – triste ironie – de trop s’en remettre à la technologie pour créer du spectaculaire quand sa 3D souffre de paraître trop souvent dépassée, évoquant plutôt le jeu vidéo fauché que le cinéma.
Première
Et jamais Sky Dome 2123 ne parviendra à se déjouer de l’influence évidente du Mamoru Oshii de Ghost in the Shell -et donc du Tarkovski de Stalker et Solaris- convoquée dès son démarrage et qui écrase tout le reste du film, gentiment planant mais pas assez fou ni fort pour s’en libérer.