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Le cinéaste peint pendant quatre heures avec une grande délicatesse, dissimulant sa caméra dans chaque recoin, derrière les vitres (influencé par Edward Hopper), pour observer « ce vivre mal » avec douceur, seul moyen peut-être de nous faire aimer ces personnages si difficiles à aimer.
La troublante Anabela Moreira, la volage Cleia Almeida, la profonde Madalena Almeida et la terrible Leonor Silveira : quatre femmes de caractère qui portent ces deux films au plus haut.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Personne ne semble heureux, et l’ambiance lourde transforme ces deux films en un étrange essai cinématographique sur la condition humaine. Le rythme est lent mais fascinant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L’ensemble intrigue par sa spatialisation louvoyante et vénéneuse, ses cadrages sophistiqués, ses élégants jeux de distances et d’échelle. Mais la mécanique est froide et l’esthétique vitrifiée. Joao Canijo, réalisateur portugais de 65 ans, touille ici un vieux fond de psychodrame, qui confine à la télénovela de luxe.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Si les deux films s’étirent de manière éprouvante, c’est parce qu’ils répètent inlassablement à quel point on peut regarder les gens qu’on aime avec le plus infini des chagrins.
Passant et repassant par les mêmes moments au même endroit, mais selon des points de vue différents, l’ensemble en devient parfois monocorde, corseté par sa virtuosité même. Dommage, car le premier des trois chapitres de Viver mal impressionne (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
« Un projet original et apriori séduisant, mais malheureusement miné par un regard quasiment misanthrope. (…) Une froideur amplifiée par un formalisme arty qui étale systématiquement la virtuosité de l’auteur.
Réunir pour mieux isoler : si l’idée semble peu originale et renvoie presque à un topos du film d’hôtel, on peut surtout regretter qu’elle irrigue une mise en scène appuyée et systématique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La chair est triste et les complexes œdipiens bourgeonnent dans "Viver mal", premier volet d’un diptyque centré sur un hôtel déclassé, distillant un ennui guindé, à peine rehaussé par le beau portrait intranquille d’un bâtiment maudit.
La Septième Obsession
Le cinéaste peint pendant quatre heures avec une grande délicatesse, dissimulant sa caméra dans chaque recoin, derrière les vitres (influencé par Edward Hopper), pour observer « ce vivre mal » avec douceur, seul moyen peut-être de nous faire aimer ces personnages si difficiles à aimer.
L'Humanité
La troublante Anabela Moreira, la volage Cleia Almeida, la profonde Madalena Almeida et la terrible Leonor Silveira : quatre femmes de caractère qui portent ces deux films au plus haut.
L'Obs
Personne ne semble heureux, et l’ambiance lourde transforme ces deux films en un étrange essai cinématographique sur la condition humaine. Le rythme est lent mais fascinant.
Le Monde
L’ensemble intrigue par sa spatialisation louvoyante et vénéneuse, ses cadrages sophistiqués, ses élégants jeux de distances et d’échelle. Mais la mécanique est froide et l’esthétique vitrifiée. Joao Canijo, réalisateur portugais de 65 ans, touille ici un vieux fond de psychodrame, qui confine à la télénovela de luxe.
Les Inrockuptibles
Si les deux films s’étirent de manière éprouvante, c’est parce qu’ils répètent inlassablement à quel point on peut regarder les gens qu’on aime avec le plus infini des chagrins.
Première
Un exercice de style à la cérébralité assumée.
Télérama
Passant et repassant par les mêmes moments au même endroit, mais selon des points de vue différents, l’ensemble en devient parfois monocorde, corseté par sa virtuosité même. Dommage, car le premier des trois chapitres de Viver mal impressionne (...).
Cahiers du Cinéma
« Un projet original et apriori séduisant, mais malheureusement miné par un regard quasiment misanthrope. (…) Une froideur amplifiée par un formalisme arty qui étale systématiquement la virtuosité de l’auteur.
Critikat.com
Réunir pour mieux isoler : si l’idée semble peu originale et renvoie presque à un topos du film d’hôtel, on peut surtout regretter qu’elle irrigue une mise en scène appuyée et systématique.
Les Fiches du Cinéma
La chair est triste et les complexes œdipiens bourgeonnent dans "Viver mal", premier volet d’un diptyque centré sur un hôtel déclassé, distillant un ennui guindé, à peine rehaussé par le beau portrait intranquille d’un bâtiment maudit.
Libération
Le diptyque du Portugais João Canijo, visuellement splendide, n’a en revanche rien d’autre à affirmer que la détestation de ses rôles féminins.