Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud et Audrey Jeamart
Sans rien révéler de la fin de ce chef-d’oeuvre à la noirceur achevée, faisant preuve d’une formidable virtuosité dans son écriture et d’une splendeur graphique jamais prise en défaut, il serait mensonger de dire que son intensité désespérée ne noue pas la gorge. Le nouveau Rolf De Heer s’avère aussi beau qu’il est dur et blessant. Grand film.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Michèle Levieux
Pari réussi. Avec une actrice d’origine congolaise, quelques seconds rôles perdus dans des paysages à couper le souffle, une histoire hallucinatoire, beaucoup de douleurs et des plans d’une poétique cruauté.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
par Christophe Chabert
Après une décennie de silence, Rolf de Heer, l'électron libre du cinéma australien depuis trois décennies fait un retour éblouissant avec un film choc d'une totale singularité.
Bande à part
par Isabelle Danel
Après dix ans d’absence, Rolf de Heer revient avec un film original et puissant. Son écho nous poursuit bien après la fin de la projection.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
The Survival of Kindness fait le splendide retour aux origines d’une décennie d’Ozploitation dont les obsessions écologiques et métaphysiques n’ont cessé de remonter à la surface du cinéma contemporain.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Presque sans dialogue, « The Survival of Kidness » se déploie dans les paysages de l'outback magnifiquement filmés. Un film inclassable sur une société ravagée et déshumanisée.
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Fantasmagorie hallucinée, The Survival of Kindness convoque tout un cinéma australien dans lequel le rêve est plus signifiant que le réel.
Paris Match
par Yannick Vely
C’est surtout une leçon de mise en scène où l’infiniment grand côtoie l’infiniment petit, la construction d’un monde de cinéma où les hommes ne se comprennent plus que par grognement.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 2 semaines
par C.B.
Ce drame aux superbes images et à la mise en scène très maîtrisée apparaît comme une parabole claire et percutante contre le racisme.
Télérama
par Frédéric Strauss
Dans ce film post-apocalyptique saisissant, le racisme menace l’humanité autant que les virus. Une fable étrange où point malgré tout un peu d’espoir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une œuvre absolument nécessaire, urgente même, dans un monde qui faillit peu à peu aux sirènes de la discrimination, de la haine de l’autre et du fondamentalisme politique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un récit dystopique convoquant les horreurs du passé pour mieux prévenir celles de l'avenir.
Critikat.com
par Marin Gérard
De cet objet improbable se dégage une candeur insensée, partagée entre la grâce et le grotesque, qui rachèterait presque ses errements.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par N. S.
Parabole du pire (racisme génocidaire, paranoïa écologique), le film, au dialogue rare et incompréhensible, se perd un peu sur la longueur, mais son pessimisme interroge.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Très énigmatique mais captivant, le récit, où plane le spectre de la colonisation et de l’esclavage, est une expérience sensorielle, unique et extrême, qui ne laisse pas indifférent.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Mad Movies
par François Cau
L'exécution n'a rien à se reprocher, il manque néanmoins cette fureur qui fut celle du cinéaste une vingtaine d'années en arrière, qui n'avait pas peur de déborder de partout, de s'embarquer dans des dispositifs a priori perdus d'avance et de s'en sortir de la façon la plus malpolie possible.
Première
par Thomas Baurez
Si avec ce survival abstrait et majoritairement muet, de Heer manie volontiers l’hyperbole, ce n’est pas tant le message qu’il cherche à délivrer qui passionne mais la force avec laquelle, par la simplicité sa mise en scène, son film questionne notre compréhension du monde.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par V. Cau.
Une fable désespérée, sublimement filmée, dont la radicalité, associée à un propos fort appuyé, finit hélas par rendre le film redondant et pesant. Au point de nous abandonner souvent au bord de la route.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Lelo Jimmy Batista
[Une] étrange balade pleine de petites idées et d’images somptueuses, mais aussi de scènes imbitables, trop longues et sans une once de cohérence.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Culturopoing.com
Sans rien révéler de la fin de ce chef-d’oeuvre à la noirceur achevée, faisant preuve d’une formidable virtuosité dans son écriture et d’une splendeur graphique jamais prise en défaut, il serait mensonger de dire que son intensité désespérée ne noue pas la gorge. Le nouveau Rolf De Heer s’avère aussi beau qu’il est dur et blessant. Grand film.
L'Humanité
Pari réussi. Avec une actrice d’origine congolaise, quelques seconds rôles perdus dans des paysages à couper le souffle, une histoire hallucinatoire, beaucoup de douleurs et des plans d’une poétique cruauté.
Positif
Après une décennie de silence, Rolf de Heer, l'électron libre du cinéma australien depuis trois décennies fait un retour éblouissant avec un film choc d'une totale singularité.
Bande à part
Après dix ans d’absence, Rolf de Heer revient avec un film original et puissant. Son écho nous poursuit bien après la fin de la projection.
Cahiers du Cinéma
The Survival of Kindness fait le splendide retour aux origines d’une décennie d’Ozploitation dont les obsessions écologiques et métaphysiques n’ont cessé de remonter à la surface du cinéma contemporain.
Les Echos
Presque sans dialogue, « The Survival of Kidness » se déploie dans les paysages de l'outback magnifiquement filmés. Un film inclassable sur une société ravagée et déshumanisée.
Les Fiches du Cinéma
Fantasmagorie hallucinée, The Survival of Kindness convoque tout un cinéma australien dans lequel le rêve est plus signifiant que le réel.
Paris Match
C’est surtout une leçon de mise en scène où l’infiniment grand côtoie l’infiniment petit, la construction d’un monde de cinéma où les hommes ne se comprennent plus que par grognement.
Télé 2 semaines
Ce drame aux superbes images et à la mise en scène très maîtrisée apparaît comme une parabole claire et percutante contre le racisme.
Télérama
Dans ce film post-apocalyptique saisissant, le racisme menace l’humanité autant que les virus. Une fable étrange où point malgré tout un peu d’espoir.
aVoir-aLire.com
Une œuvre absolument nécessaire, urgente même, dans un monde qui faillit peu à peu aux sirènes de la discrimination, de la haine de l’autre et du fondamentalisme politique.
CinemaTeaser
Un récit dystopique convoquant les horreurs du passé pour mieux prévenir celles de l'avenir.
Critikat.com
De cet objet improbable se dégage une candeur insensée, partagée entre la grâce et le grotesque, qui rachèterait presque ses errements.
L'Obs
Parabole du pire (racisme génocidaire, paranoïa écologique), le film, au dialogue rare et incompréhensible, se perd un peu sur la longueur, mais son pessimisme interroge.
Le Journal du Dimanche
Très énigmatique mais captivant, le récit, où plane le spectre de la colonisation et de l’esclavage, est une expérience sensorielle, unique et extrême, qui ne laisse pas indifférent.
Mad Movies
L'exécution n'a rien à se reprocher, il manque néanmoins cette fureur qui fut celle du cinéaste une vingtaine d'années en arrière, qui n'avait pas peur de déborder de partout, de s'embarquer dans des dispositifs a priori perdus d'avance et de s'en sortir de la façon la plus malpolie possible.
Première
Si avec ce survival abstrait et majoritairement muet, de Heer manie volontiers l’hyperbole, ce n’est pas tant le message qu’il cherche à délivrer qui passionne mais la force avec laquelle, par la simplicité sa mise en scène, son film questionne notre compréhension du monde.
Le Monde
Une fable désespérée, sublimement filmée, dont la radicalité, associée à un propos fort appuyé, finit hélas par rendre le film redondant et pesant. Au point de nous abandonner souvent au bord de la route.
Libération
[Une] étrange balade pleine de petites idées et d’images somptueuses, mais aussi de scènes imbitables, trop longues et sans une once de cohérence.