Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Nekourouh
Chercheur d’or autant que les protagonistes de son film, Boubacar Sangaré explore à travers cette plongée dans les mines les ténèbres de notre monde — pauvreté extrême, catastrophe écologique, néocolonialisme — sans jamais oublier de filmer la joie de vivre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
La beauté de l'image contraste avec cette vie à la fois admirable et tragique, captée de façon brute, sans artifice. La bande-son, constituée en grande partie par les seuls bruits d'ambiance, en témoigne.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Là où le documentaire touche en plein cœur, c’est qu’il ne s’apitoie jamais, ne s’écrase jamais sous le poids de son sujet, mais s’attache, vissé à trois adolescents dont il tire le portrait sensible.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Dans Or de vie, tout tourne aussi autour des douleurs de dos lancinantes, des maux de tête, des courbatures.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Virginie Félix
En l’accompagnant à 100 mètres de profondeur ruisselant de sueur, attaquant la roche avec une simple pioche, en filmant au plus près son innocence en passe de disparaître, le documentariste Boubacar Sangaré saisit un adolescent joueur et songeur confronté à la rudesse des rêves d’or et d’argent qui s’effritent dans la poussière.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
Chercheur d’or autant que les protagonistes de son film, Boubacar Sangaré explore à travers cette plongée dans les mines les ténèbres de notre monde — pauvreté extrême, catastrophe écologique, néocolonialisme — sans jamais oublier de filmer la joie de vivre.
Franceinfo Culture
La beauté de l'image contraste avec cette vie à la fois admirable et tragique, captée de façon brute, sans artifice. La bande-son, constituée en grande partie par les seuls bruits d'ambiance, en témoigne.
Les Inrockuptibles
Là où le documentaire touche en plein cœur, c’est qu’il ne s’apitoie jamais, ne s’écrase jamais sous le poids de son sujet, mais s’attache, vissé à trois adolescents dont il tire le portrait sensible.
Libération
Dans Or de vie, tout tourne aussi autour des douleurs de dos lancinantes, des maux de tête, des courbatures.
Télérama
En l’accompagnant à 100 mètres de profondeur ruisselant de sueur, attaquant la roche avec une simple pioche, en filmant au plus près son innocence en passe de disparaître, le documentariste Boubacar Sangaré saisit un adolescent joueur et songeur confronté à la rudesse des rêves d’or et d’argent qui s’effritent dans la poussière.