Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Culturopoing.com
par Noëlle Gires
Là où Dieu n'est pas forme un diptyque avec Mon pire ennemi (...) Les deux œuvres, nées d'un même geste, abordent le même sujet et reposent sur des choix de mise en scène semblables. Chacune pourtant apporte son propre vertige. Et le choc reste intact. (...) Les images et les questions qui les parcourent hantent longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Porté par un dispositif sobre et percutant, M. Tamadon donne la parole à trois Iraniens qui furent persécutés par le régime des mollahs. En reconstituant les conditions de leur détention, il livre un travail magistral, au plus près des mécanismes de la tyrannie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefevre
Là où Dieu n’est pas et Mon pire ennemi rompent à plus d’un titre avec Bassidji (2009) et Iranien (2014), où Mehran Tamadon initiait un dialogue avec des miliciens puis des mollahs défenseurs de la République islamique. Devant la caméra, cette fois, plus d’adversaires politiques, mais des Iraniens exilés après avoir subi interrogatoires et tortures dans les geôles du régime.
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Avec ce second geste glaçant, Tamadon devient l'interrogateur et nous laisse sans voix.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Remettant sur le métier la question de la simulation, Là où Dieu n’existe pas recourt à un procédé un peu plus classique, en demandant à des ex-victimes de sévices de remettre en scène leur passage par les prisons iraniennes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Dans une forme documentaire plus conventionnelle, Là où Dieu n’est pas poursuit la recherche de Mon pire ennemi. Mehran Tamadon y recueille les témoignages de trois ancien·nes détenu·es politiques, dans une prison reconstituée à l’intérieur d’un entrepôt de la banlieue parisienne. Une nouvelle sobriété, volontairement moins performative, qui s’écrit simplement dans l’écoute attentive des récits.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Laurent Garreau
Les témoignages où le réalisateur iranien intervient en pleine transparence devant la caméra sont émouvants, poignants, mais également gênants et perturbants.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Interrogatoires, torture, isolement : les récits sont glaçants, mais la forme rébarbative ne leur rend pas justice.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Emma Poesy
Si ce doc nous renseigne sur la cruauté du régime iranien, il ne juge hélas pas utile de contextualiser les faits qu’il dénonce… Tant et si bien qu’à la fin, on n’en sait pas beaucoup plus sur le contexte politique de ce pays qui fait souvent l’actualité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Là où Dieu n'est pas forme un diptyque avec Mon pire ennemi (...) Les deux œuvres, nées d'un même geste, abordent le même sujet et reposent sur des choix de mise en scène semblables. Chacune pourtant apporte son propre vertige. Et le choc reste intact. (...) Les images et les questions qui les parcourent hantent longtemps.
Les Fiches du Cinéma
Porté par un dispositif sobre et percutant, M. Tamadon donne la parole à trois Iraniens qui furent persécutés par le régime des mollahs. En reconstituant les conditions de leur détention, il livre un travail magistral, au plus près des mécanismes de la tyrannie.
Cahiers du Cinéma
Là où Dieu n’est pas et Mon pire ennemi rompent à plus d’un titre avec Bassidji (2009) et Iranien (2014), où Mehran Tamadon initiait un dialogue avec des miliciens puis des mollahs défenseurs de la République islamique. Devant la caméra, cette fois, plus d’adversaires politiques, mais des Iraniens exilés après avoir subi interrogatoires et tortures dans les geôles du régime.
Télérama
Avec ce second geste glaçant, Tamadon devient l'interrogateur et nous laisse sans voix.
Le Monde
Remettant sur le métier la question de la simulation, Là où Dieu n’existe pas recourt à un procédé un peu plus classique, en demandant à des ex-victimes de sévices de remettre en scène leur passage par les prisons iraniennes.
Les Inrockuptibles
Dans une forme documentaire plus conventionnelle, Là où Dieu n’est pas poursuit la recherche de Mon pire ennemi. Mehran Tamadon y recueille les témoignages de trois ancien·nes détenu·es politiques, dans une prison reconstituée à l’intérieur d’un entrepôt de la banlieue parisienne. Une nouvelle sobriété, volontairement moins performative, qui s’écrit simplement dans l’écoute attentive des récits.
aVoir-aLire.com
Les témoignages où le réalisateur iranien intervient en pleine transparence devant la caméra sont émouvants, poignants, mais également gênants et perturbants.
L'Obs
Interrogatoires, torture, isolement : les récits sont glaçants, mais la forme rébarbative ne leur rend pas justice.
Première
Si ce doc nous renseigne sur la cruauté du régime iranien, il ne juge hélas pas utile de contextualiser les faits qu’il dénonce… Tant et si bien qu’à la fin, on n’en sait pas beaucoup plus sur le contexte politique de ce pays qui fait souvent l’actualité.