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Couilletlouise
1 critique
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5,0
Publiée le 25 avril 2024
Film génial qui retrace l’histoire d’une famille à laquelle chacun peut s’identifier, des émotions : du rire, des pleurs, de l’empathie … bref un 5/5 !
Nous, les Leroy parle de toutes nos familles sans tomber dans la caricature. On y rit, on y pleure et on sort avec le sourire, avec la sensation d’avoir passé un vrai bon moment.
"Nous les Leroy" est une première œuvre prometteuse de Flaubert qui m'a captivé du début à la fin. Cette comédie habilement dosée entre humour et émotion m'a totalement immergé dans son univers. L'écriture, d'une grande finesse, se démarque par son attention aux détails, comme en témoigne la subtile utilisation de la canette par exemple. L'interprétation remarquable tant des enfants que du couple principal ajoute une profondeur supplémentaire au récit. Les rôles secondaires ont été interprétés avec une maîtrise remarquable, ajoutant une touche pimentée à l'histoire. Flaubert a su réunir avec brio tous les éléments essentiels pour offrir une expérience cinématographique au-delà de mes attentes pour un premier long métrage.
Belle histoire, un peu longue à se mettre en route mais l’importance est dans les détails, c’est positif ! J’ai ressenti un léger manque d’émotion par moment, mais étant donné que les enfants sont comme ça, ce n’est pas choquant. Le film est tourné dans plusieurs sens, pour que l’on apprécie chaque personnage et qu’on les comprenne chacun leur tour. C’est un film à voir au moins une fois !
Des comédies dramatiques familiales, il en sort beaucoup sur nos écrans chaque année. Pourtant Nous, Les Leroy a la particularité d’avoir obtenu, il y a quelques semaines, le Grand Prix du festival de comédie de l’Alpe d’Huez. Mais, aussi prometteur qu’il s’annonçait, le long-métrage de Florent Bernard s’avère être sur courant alternatif. A des séquences bien écrites et très drôles, succèdent des scènes de dialogues assez pompeuses et filmées maladroitement. La partie road-movie du film s’annonçait réjouissante, mais le voyage n’emmène, en réalité, pas notre petite famille bien loin, et cela tourne donc rapidement en rond. L’idée de départ du film est donc étonnamment jetée aux oubliettes en cours de route. Charlotte Gainsbourg, qui excelle habituellement dans le registre dramatique, est tout aussi convaincante dans celui de la comédie. Mais José Garcia a du mal à lui rendre une réplique crédible. Il est bon dans les moments de comédie, mais peu convaincant dans toutes les autres situations où il doit incarner un homme dont le monde s’écroule. Heureusement, les deux jeunes acteurs incarnant les adolescents s’avèrent plutôt bons. Et on a également plaisir à retrouver Luis Rego, le célèbre acteur, désormais âgé de 80 ans, et rarement aperçu sur grand écran ces dernières années. Au final, même si on reste globalement sur notre faim, on retiendra du film quelques jolis moments, certaines répliques parfois très drôles et une très belle musique originale.
Pour le premier long-métrage de Florent Bernard, il faut dire qu’il est vachement réussit. Nous, les Leroy raconte l’histoire d’une famille qui se sépare : les enfants arrivent à l’âge de 18 ans et doivent quitter le cocon familial, alors Sandrine (Charlotte Gainsbourg) ne souhaite plus rester avec son mari (José Garcia), malgré cela, il va tenter pour la dernière fois de tout arranger. Concernant l’histoire, je retrouve un peu d’influence américaine avec Vacation, dans le même style. Le scénario du film, les personnages et donc la famille sont plus que réalistes, on est plongé entre humour (parfaitement maîtrisé, on n’oublie pas que FloBer est l’auteur des Roast sur la chaîne de McFly et Carlito, et de la Flamme et du Flambeau sur Canal +) et émotions. Les performances des acteurs sont effroyablement impressionnantes et on ne peut que mesurer leurs alchimies. Le réalisateur va donc au delà pour nous offrir une expérience cinématographique traitant des thèmes plus profonds et plus subjectif, on vit une séparation autant du point de vue des parents que des enfants. De ce fait il réussi à trouver son public large tant di côté de l’histoire que du côté casting, bien que Florent a pu écrire pour ses amis humoristes avec qui il travaille depuis des années, on peut y retrouver alors : Jérôme Niel, Baptiste Lecaplain, Benjamin Tranié, Sophie-Marie Larrouy et encore Vincent Tirel. Le réalisateur confie aussi avoir écrit le film pour José et Charlotte qu’il pensait intouchable, comme quoi rien est impossible ! Donc pour finir, Nous, les Leroy est une des raisons pour laquelle il faut croire au cinéma francophone et au retour du public dans les salles de cinéma, car il vous garantit de vous faire vivre une expérience plus qu’intense, entre rire et larmes.
Vous pouvez retrouver mes critiques sur IG @popcast7 et TikTok @popcast34
Alors déjà : → Allez voir ce film ← Ce film est vraiment vraiment super. Il mérite largement plus que 5/5. (je pense que les mec de Ghostbuster sont venus pourrir les commentaires)
Pourquoi il faut aller le voir ? Parce qu’il vous met super super bien, il vous met dans une sorte d’“état”. Vous êtes tout le temps en train de chavirer, dans un état de facétie, de rire, de plaisir. Vous pleurez sur les vannes, vous rigolez sur la gênance. Si on a fait des cinémas, c’est pour des films comme “nous les leroy”.
La réalisation est incroyable. Les acteurs sont ouf. Le rythme est dingo. Les décors sont magnifiques.
Je note moyen car il s'agit de Flobert et rien que pour son podcast génial, on aime d'emblée, mais le film manque malheureusement de puissance comique et d'imprévus. Il est assez classique, normé pour la télévision et surtout TF1. Du bon sentiment sans prise de risque, académique, presque quelconque. C'est dommage, j'imagine qu'il a dû se faire lisser et relisser par la production TF1 pour faire quelquechose de si ennuyeux. On regrette.
Je consomme beaucoup de cinéma. Ce film a retenu mon attention tant dans le scénario que dans la réalisation. Ce film restera un de mes favoris cette année, tout genre confondu. Bravo Flobert
Comédie familiale aigre-douce, jouant avec réussite sur un panel d'émotions certain: Résignation, lassitude, attachement, tendresse, joies et peines... L'histoire d'une séparation plutôt feelgood au final, avec deux ados convaincants en témoins-protagonistes.