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Frédéric M.
190 abonnés
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4,0
Publiée le 29 juin 2023
Une vision différente et intéressante de l'univers Batman. On retrouve beaucoup de personnages dans des nouvelles variantes. Certains evenements sont différents, la mort des parents de batman poignardés, l'origine de certains méchants. Je ne connais pas le roman graphique à l'origine, donc je ne peux savoir si c'est correctement adapté. En tout cas, ça vaut le coup d'oeil
"Batman: The Doom That Came To Gotham" est une adaptation d'un comics portant le même nom. Personnellement, je ne connais pas vraiment l’œuvre originale et j’aurais donc assez de mal à parler du travail d’adaptation. Cependant, en matière de film à part entière, je trouve l’ensemble un peu faible, même si les idées étaient présentes. Sur le papier, voir un Batman à une autre époque que la nôtre peut apporter certaines séquences assez intéressantes. On a déjà fait cela pour quelques projets d'animation, ce n'est pas une mauvaise idée de retenter l'expérience. Au niveau des décors ou de l’ambiance, on ressent assez bien l’atmosphère qui était recherchée et on comprend où le film veut aller. C’est dans la moyenne de ce qui se fait au niveau de l’animation du côté de chez DC Comics et le début du film laisse présager plusieurs choses assez intrigantes. Malheureusement, une fois que les trente premières minutes seront passées, l’ensemble va finalement rapidement s’essouffler. On aura du mal à vraiment rester investi devant tout cela tant le rythme souffre parfois de grosses longueurs. Et à l’inverse, certains éléments du scénario sont assez vite balayés, notamment tout ce qui concerne le personnage d’Harvey Dent. L’histoire aurait pu être intéressante, mais j’avoue ne pas avoir réussi à accrocher à cet ensemble. Peut-être ai-je une vision trop terre-à-terre de ce qu’est Batman, mais même en enlevant cela, j’arrive à y trouver des défauts. Sur le principe, j’étais vraiment partant pour voir une histoire totalement différente de ce que l’on connaît de l’homme chauve-souris. Mais dans les faits, hormis une introduction pleine de suspens, le reste du film m’a bien trop dérangé. J’apprécie l’initiative de faire durer le film plus longtemps qu’un long-métrage habituel de la firme, ce qui gêne généralement le bon développement de l’intrigue, mais je pense juste que le projet n’était pas fait pour moi. Pour conclure, des idées, mais qui ne sont pas ma tasse de thé.
Batman - The Doom That Came to Gotham se déroule dans les années 20 et possède une direction artistique soignée qui plonge le public dans l'époque. La ville de Gotham est représentée avec un style rétro génial. Les bâtiments sont majestueux, les rues sont sombres, et la ville est constamment plongée dans une ambiance de mystère. Le film est graphiquement intéressant, avec des couleurs sombres qui renforcent l'atmosphère sinistre de la ville corrompue. L'histoire est captivante et maintient l'attention du début à la fin, avec des rebondissements inattendus et une intrigue bien développée. Le personnage de Bruce Wayne est bien développé et offre des moments émotionnels forts, en particulier lors de scènes avec son père. Le film offre une grande variété d'émotions, allant de la tristesse à la colère en passant par l'espoir et la détermination. Les scènes d'action sont nombreuses et bien réalisées, offrant une belle variété avec le mysticisme. Le film est rythmé et ne souffre pas de temps morts, maintenant l'attention du public tout au long.
Après le Batman réalisé par des Japonais qui s’étaient incroyablement bien débrouillés pour transposer tout le bestiaire de Gotham dans les poncifs de l’animation japonaise, en mêlant joyeusement le chambara, les Mecha et les monstres géants pour un résultat aussi barré que jouissif, c’est un autre univers que le justicier masqué rencontre ici, celui de H.P. Lovecraft avec ses sorciers, ses cultes secrets et ses abominations interdimensionnelles menaçantes. Le scénario est certes parfois un peu confus et lacunaire mais Lovecraft n’a jamais été le plus explicite des romanciers et la reprise de nombreux clichés de l’auteur est plutôt savoureuse, même si j’ai personnellement regretté qu’au niveau du décor, la métropole de Gotham prenne le pas sur les petits ports de Nouvelle-Angleterre peuplés de citoyens dégénérés que Batman aurait pu trucider à coup de batarangs. Une fois de plus, on s’amusera à repérer comment les figures familières du Batman-lore, amicales comme hostiles, ont été recyclés dans ce nouveau contexte…mais la principale source de curiosité tient à la nécessité, pour respecter l’atmosphère des écrits de Lovecraft, que Batman évolue cette fois dans l’Amérique des années qui suivent immédiatement la Première guerre mondiale, un contexte historique et culturel totalement inédit puisqu’il est antérieur d’une quinzaine d’années aux plus anciens récits mettant en scène le justicier masqué.
Une histoire qui tien en haleine jusqu'à la fin. Les dialogues sont très propre et les personnages fidèle a eux même. Une direction artistique plus sombre que d'habitude, c'est très plaisant et ca comle d'autan plus a un gotham des années 1920. Un très bon long métrage sur Batman, l'un des meilleurs pour moi.
Bonne alternative aux origines de Batman. Très originale et servie par un dessin sombre , soigné et un scénario très Lovecraftien. Qui plus est , un très bon divertissement.
L'histoire combine tout les défauts possibles, c'est frustrant quant on a une licence aussi incroyable que Batman. Le premier défaut arrive au début et est une erreur de débutant spoiler: la mort de 2 larbins, ils ne sont pas caractérisé , on les connait depuis 5 secondes et leur mort n'a aucun impact sur l'histoire ni sur les personnages la seconde erreur est la spoiler: folie de batman qui n' aucun intérêt, et qui est mal mis en place scenaristiquement : il voit un truc , il devient fou d'un coup et son état ne change pas la fin est très décevante c'est un flash-back deus ex machina nul mais le plus gros problème du film c'est la probable méconnaissance des 2 univers : batman est un rationel qui trouveras toujours un moye de se battre contre une force même surnaturelle spoiler: comme durant le combat contre le lézard mais de batman on voit seulement les ennemis qui te sont balancé à la gueule comme si on voulait tous les caler pour les fans. Lovecraft dans son univers joue beaucoup sur les ambiance et les personnages devenant fou mais les ennemis sont manichéen dans ses œuvres, ce qui n'est pas important car il sont peu nombreux et supérieur et c'est la descente aux enfers des hero et l'ambiance qui se dégage d'euxqui la rend fascinant ,dans ce film vous n'aurez rien de tout ça : spoiler: batman devient en 5 secondes un croyant new age alors que 20 minutes avant il tuait des lezard mutant avec la ''science'' les ennemis sont random a en crever malgré leurs origines que l'on connaît grâce aux autres film de DC, les vrais méchant sont 2 et on ne s'attache pas au gentils. Mais le malgré tout on voit la silhouette d'un bon film : le début est trop rapide dans ce film et décrédibilise batman mais on sent que si il avait été plus long spoiler: et qui'il n'y avait pas qu'un p*tain de livre sur lequel repose le destin de l'humanité on aurait pu s'attacher au personnages spoiler: surtout aux 2 garçons qui crèvent au début, green arrow qui dans ce film est juste un alcoolique a moitié fou et la famille gordon qui n'apparaissentque 2 secondes a l'écran , les méchant ne fonctionnent pas mais après avoir remodelé leur origin-story, pourquoi ne pas les remodeler : j'imagine bien les fusionner pour leur donner plus de temps d'écran spoiler: comme double face et freeze qui sont ''la clé et la porte" qui ne pourrait être qu'une entité à 2 personnalité et pouvoir
Bref il y a des bonnes idée mais là durée du film et l'amateurisme du scénario gâche vraiment le film
Je ne parle pas de l'adaptation car je n'ai pas lu les comics et je ne peut pas en dire grand chose