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(...) ce film d'animation familial évoque d'une façon délicate les maladies psychiatriques… Et montre que des profondeurs peut toujours jaillir la lumière.
Le ton très paillard et les scènes d'action fabuleuses (...) font de Goodbye Monster l'alternative idéale aux autres blockbusters animés de cet été, tous aussi formatés mais bien moins délirants.
Le design des personnages est remarquable, l'écriture ménage avec habileté la comédie et le drame, le propos sur l'estime de soi est assez touchant : Goodbye Monster est un bon spectacle familial, qui saura autant parler aux adultes qu'à leurs enfants.
(...) Goodbye Monster frappe par son foisonnement esthétique. On écarquille les yeux devant cet univers protéiforme constitué d’îles merveilleuses, à mi-chemin entre l’imaginaire asiatique et la fantasy pure.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Sur le fond comme sur la forme, Goodbye Monster semble hésiter entre des schémas académiques et des gestes plus atypiques. Malgré un cœur attendrissant, un ensemble inégal.
Valeurs spirituelles et humour pipi-caca, décors chatoyants et bestiaire ingrat, combats survoltés et péripéties sans grande surprise, voilà un drôle de salmigondis, sorte de version Chinawood de Kung Fu Panda où le héros fort en gueule à tête de tigre, disciple des sages rejeté par sa communauté, est devenu… vendeur de laxatifs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Si la métaphore de base est compréhensible (la noirceur représente la souffrance d’autrui, voire la dépression), le scénario part hélas dans tous les sens, la confusion compensée par une action frénétique.
Convainc moins l’argument métaphorique du film (...) qui, à trop s’illustrer par l’action, finit par s’émousser. À mesure, le propos s’appauvrit, au profit d’un divertissement qui vise d’abord à en mettre plein les yeux. On peut s’en lasser.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Closer
(...) ce film d'animation familial évoque d'une façon délicate les maladies psychiatriques… Et montre que des profondeurs peut toujours jaillir la lumière.
Le Parisien
(...) une histoire électrisante, chatoyante de couleurs, bourrée de dialogues hilarants et de bagarres épiques : étonnant !
Ouest France
Le ton très paillard et les scènes d'action fabuleuses (...) font de Goodbye Monster l'alternative idéale aux autres blockbusters animés de cet été, tous aussi formatés mais bien moins délirants.
Voici
Le design des personnages est remarquable, l'écriture ménage avec habileté la comédie et le drame, le propos sur l'estime de soi est assez touchant : Goodbye Monster est un bon spectacle familial, qui saura autant parler aux adultes qu'à leurs enfants.
La Voix du Nord
(...) Goodbye Monster frappe par son foisonnement esthétique. On écarquille les yeux devant cet univers protéiforme constitué d’îles merveilleuses, à mi-chemin entre l’imaginaire asiatique et la fantasy pure.
Les Fiches du Cinéma
Sur le fond comme sur la forme, Goodbye Monster semble hésiter entre des schémas académiques et des gestes plus atypiques. Malgré un cœur attendrissant, un ensemble inégal.
Mad Movies
Vous pouvez donc aller voir Goodbye Monster avec les enfants les plus petits, qui apprécieront sans doute le délire visuel du truc.
Télé Loisirs
(...) si l'aventure ne manque pas de rythme ni d'humour, elle risque d'être trop complexe pour séduire les plus jeunes.
L'Obs
Valeurs spirituelles et humour pipi-caca, décors chatoyants et bestiaire ingrat, combats survoltés et péripéties sans grande surprise, voilà un drôle de salmigondis, sorte de version Chinawood de Kung Fu Panda où le héros fort en gueule à tête de tigre, disciple des sages rejeté par sa communauté, est devenu… vendeur de laxatifs.
Le Journal du Dimanche
Si la métaphore de base est compréhensible (la noirceur représente la souffrance d’autrui, voire la dépression), le scénario part hélas dans tous les sens, la confusion compensée par une action frénétique.
Le Monde
Convainc moins l’argument métaphorique du film (...) qui, à trop s’illustrer par l’action, finit par s’émousser. À mesure, le propos s’appauvrit, au profit d’un divertissement qui vise d’abord à en mettre plein les yeux. On peut s’en lasser.