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    Le Successeur
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    157 critiques spectateurs

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    Juan 75
    Juan 75

    62 abonnés 372 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 février 2024
    J’ai eu l’impression que Legrand a été dépassé par son sujet. Il ne laisse pas le film se déployer et je n’ai pas tout-à-fait saisi la place du monde de la mode qui ouvre le film et ensuite part ailleurs. Le scénario est bancal et la réalisation beaucoup moins saisissante que Jusqu’à la garde. Dommage, il y avait de quoi faire un grand thriller type Le silence des agneaux. Mais là encore il ne laisse pas son personnage principal prendre la place.
    Anne Klimis
    Anne Klimis

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 février 2024
    Juste excellent . Super acteur, suspens incroyable jusqu’à la fin du film, scénario imprévisible, du tout bon cinéma, super divertissant.
    frederic T.
    frederic T.

    17 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 novembre 2024
    Après Jusqu’à la Garde sorti et maintes fois récompensé en 2019, Xavier Legrand signe un nouveau thriller psychologique avec toujours pour thème principal la figure vénéneuse du père. Cette fois il en explore la filiation et ses conséquences. Le Successeur raconte donc le retour d’Elias dans la maison de son père brutalement décédé pour en régler rapidement la succession, alors qu’ils ne s’étaient plus contactés depuis 25 ans.
    Xavier Legrand use avec maitrise des codes du genre – un personnage principal torturé par un malaise inexpliqué, un espace clos très vite anxiogène, une bande-son glaçante - pour faire monter la tension. Hélas ces retrouvailles funestes ne dépassent guère le simple exercice de style faute de scénario vraisemblable.
    Elisabeth T.
    Elisabeth T.

    2 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 février 2024
    Quel film ! C'est superbement bien tourné. Les scènes restent dans mon esprit même 5 heures après l'avoir vu...
    Pierre
    Pierre

    21 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 février 2024
    Une bonne surprise, j'étais pas déçu.
    J’étais surpris par certains passage du film. Des choix qui ne sont pas logique pendant l'histoire. Mais on aurait fait pareil que lui ?
    Je m'attendais pas à cette fin du film.
    2 ambiances dans un seul film.
    Marc-André Grondin à très bien joué son rôle.
    Il doit gérer la succession suite du son décès de son père.
    romain42000
    romain42000

    2 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 février 2024
    On est pas loin du chef-d’œuvre. D’accord il y a des moments surjoués, tout n’est pas parfait. Mais le scénario est littéralement prodigieux, et la mise en scène entretient un tel suspens… C’est insoutenable. On est tenus en haleine du début à la fin. Le film dure 2h mais on ne voit pas le temps passé. Franchement j’y allais sans grande attente et j’en suis ressorti soufflé !
    amour13
    amour13

    48 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2024
    Je ne comprends les 1 et 2 étoiles ! Ce film est excellent suspens avec une tension et le jeux d'acteur de Marc-André Grondin qui est excellent. Une réalisation extrêmement efficace et une histoire extrêmement bien ficelée. Le successeur nous prend par surprise de toute les manière possible avec un conclusion qui nous laisse sur notre faim mais qui boucle parfaitement le film et qui donne envie d'échanger et de s'exprimer.
    Chris58640
    Chris58640

    215 abonnés 761 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 février 2024
    Xavier Legrand choisit d’adapter librement un roman que je ne connais pas, « L’ascendant » d’Alexandre Postel. Impossible pour moi donc de juger l’adaptation en tant que telle. Je retrouve dans « Le Successeur » ce qui m’avait particulièrement marqué dans son premier film : le soin apporté au son et au hors champs. Il y a de la musique dans « Le Successeur », mais seulement dans les scènes sans enjeux, sans suspens. Ces scènes là sont écrasantes de bruits ou bien au contraire écrasantes de silence. Et puis, il se passe beaucoup de choses hors-champs de la caméra, et des choses capitales. En fait, c’est comme si ce qui était crucial dans le film n’était jamais montré frontalement : spoiler: la découverte du « secret » paternel, la scène de nuit dans les bois, ou alors la toute fin, qui n’a pas finit de faire parler.
    C’est une manière simple mais redoutable pour créer la tension. Et de la tension, il y en a beaucoup dans ce film qui plonge le spectateur dans une malaise grandissant avec comme point d’orgue spoiler: une séance de projection de photographies (pendant les funérailles)
    qui vous met le dernier uppercut. Après cette scène, le spectateur un peu anesthésié avale les toutes dernières scènes, comme on boit un calice, c'est-à-dire jusqu’à la lie. La dernière image nous offre une fin en forme e point d’interrogation, uniquement interprétable par le son, et qu’on peut comprendre comme on veut, ou plutôt comme on peut. Il y a de jolis plans, de beaux travelling, des transitions soignées, tout cela est fait avec application et confirme tout le bien que je pense de Xavier Legrand. Mention spéciale à son générique de début, un défilé de mode sous forme de spirale spoiler: (la spirale, c’est ce qui va happer le personnage,
    c’est malin que ce soit la toute première image) avec des mannequins maigres et blafardes, visages fermés et démarches saccadées, c’est presque hypnotique. Le personnage principal, sur lequel tout le film repose, est presque une petite caricature de créateur de mode : crane rasé, boucles d’oreilles, quasiment toujours habillé de noir comme une sorte d’uniforme, c’est Marc-André Grondin qui lui donne corps. Ce rôle est maigre en dialogue, il passe beaucoup de son temps mutique les sourcils froncés, écrasé par la succession de ce père à qui il ne parlait plus. spoiler: Déjà sujet aux crises d’asthmes et aux crises d’angoisses, Elias aura l’occasion de pleurer, de suffoquer, de sangloter, et de paniquer.
    Et autant il parle peu et bas, autant quand il pleure il est assourdissant. C’est un rôle difficile que Mars-André Grondin tient. On peut peut-être trouver qu’il a le chagrin un peu trop expressif, mais la réalité c’est que personne, mais alors personne n’a envie de se retrouver dans sa position. Qui peut savoir comment nous tiendrions nos nerfs dans une situation comme la sienne ? A ses côtés, Yves Jacques incarne fort bien un ami du père d’Elias, que l’on trouve envahissant et pénible (du point de vue d’Elias), alors qu’à bien y réfléchir c’est un homme qui se comporte normalement. Mais la normalité, elle a volé en éclat lorsqu’Elias, en rangeant la maison paternelle, spoiler: découvre qui était réellement son père. Ce coup de théâtre n’en n’est pas réellement un dans le sens où on devine, plus ou moins, ce dont il est question : qui trouve normal de maintenir fermé à clef (et la clef dans un trousseau à part) un cellier à l’intérieur d’une maison, franchement ? Pas besoin d’avoir vu et lu beaucoup de polar pour voir arriver l’inéluctable, avec effarement.
    A partir de ce moment clef (sans jeu de mot), le film bascule de la chronique familiale au thriller pur sucre. spoiler: Elias prends une mauvaise décision qui en entraine fatalement une autre puis une autre, et scelle son destin
    . Il n’est pas évident de comprendre ce personnage à partir de là, car on ne sait pas ce qui motive réellement ses actes : la peur certainement, mais la peur de « qui », la peur de « quoi » ? spoiler: Le film tends à dire qu’Elias est comptable des actes de son pères, qu’il est « obligés » à sa succession, presque que l’hérédité le force à achever ce que son père à commencer. Or il n’y a rien de plus faux que cela !
    C’est un peu l’incompréhension de ce personnage qui me perturbe. A moins qu’il n’ait été conduit à faire ce qu’il fait par peur de perdre sa toute nouvelles célébrité, auquel cas je comprends mieux son attitude, spoiler: qui reste malgré tout difficilement pardonnable
    . « Le Successeur » est un film oppressant qui ne laisse pas indifférent, c’est un film qui laisse le spectateur sur une sensation très ambivalente et inconfortable. Si c’était le but recherché par Xavier Legrand, alors c’est parfaitement réussi.
    Hélène D.
    Hélène D.

    31 abonnés 85 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 février 2024
    5 étoiles pour ce film. Excellent, on se demande où va nous emmener l’histoire et on se prend une première claque au vu de l’intrigue et une deuxième claque à la fin . Des rebondissements parfaitement mis en scène! Sublime film! À ne pas rater !
    Guiciné
    Guiciné

    165 abonnés 1 242 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 février 2024
    Déception importante pour ce film où le scénario ne sait pas trop par quel genre il pense amener le spectateur.
    C’est souvent ennuyeux et il décontenance en rapport aux réactions de ses personnages totalement dépourvus de logique.
    L’intérêt est franchement réduit.
    Salle très obscure
    Salle très obscure

    6 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2024
    Excellente dernière heure de film.
    L'intrigue, l'intensité,le dénouement c'est très bon.
    La première partie ne semble rien apporter....le film aurait été merveilleux si le début avait eu la même intensité que la fin .
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    114 abonnés 335 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 février 2024
    A vu "Le successeur" le deuxième film du réalisateur Xavier Legrand qui avait signé le redoutable et indispensable "Jusqu'à la garde". Sans aucun doute possible Legrand est un très grand metteur en scène. Il propose de vraies trouvailles cinématographiques, maitrise l'ellipse et le montage avec brio, sa caméra et son sens du cadre racontent toujours plus que les mots. Elias Barnès est le nouveau Directeur Artistique d'une grande maison de haute couture parisienne. Il se rend à Montréal où son père qui vient de décéder vivait. Il y a plus de 20 ans qu'ils ne se sont pas vus. Le fils prodige doit régler la succession de cet homme inconnu. Elias est dans l'angoisse d'avoir hérité des fragilités cardiaques paternelles, voir bien plus... La scène d'ouverture est un défilé de mode filmé en plongé sur une musique métronomique. Le placement des spectateurs évoque une étrange spirale, symbole que l'on retrouvera à plusieurs reprises dans le film sous forme architecturale, rotation de caméra et scénaristique. Tout de suite le spectateur est projeté dans une atmosphère pesante où le moindre geste, la moindre réplique, le moindre mouvement de caméra a du sens. L'histoire est très inattendue et puissante. Hélas, le scénario s'embourbe à cause de nombreuses invraisemblances au milieu du film pendant une vingtaine de minutes. Le dernier quart du long métrage retrouve la puissance et la maitrise du commencement. Ces facilités de scénario sont inexplicables sachant que Xavier Legrand est souvent très précis et juste à propos de la psychologie de ses personnages, il sait très bien doser les zones d'ombres et les mises en lumières des affects, sauf au coeur de ce film où les agissement du personnage principal sont injustifiables. Marc-André Grondin est excellent dans le rôle d'Elias et sa palette interprétative passe de la plus grande joie à l'abattement avec subtilité. Yves Jacques déploie sa partition inattendue avec magnétisme et discrétion. La photographie est magnifique et Xavier Legrand utile la musique avec parcimonie et souvent choisi le réel silence, là où tout autre réalisateur noierait les oreilles du spectateur sous une partition redondante et invasive. Malgré toutes ses immenses qualités "Le successeur" reste un très grand film loupé à voir.
    Michel C.
    Michel C.

    276 abonnés 1 474 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2024
    Magnifique drame de Xavier Legrand, qui plonge Ellias Barnès ( Marc André Grondin ) dans 2 ambiances diamétralement opposées. D'ailleurs, on en parle rarement, l'affiche est sidérante d'expression. La spirale sur la tête s'inspirant du défilé jubilatoire du début du film, avec encore l'opposition de couleur, un jaune intense avec un noir "mode" pas sans rappeler un certain "K L", dans un superbe défilé à la mise en scène artistique parfaite. Son look déjà sombre dans la reprise de l'entreprise de Haute Couture, et ses craintes d'une hérédité cause d'ennuis cardiaques, va littéralement passer un noir intense dans la découverte des secrets de son père disparu au Québec, d'un A.V.C., et de son quotidien glacial. Nous sommes embarqués dans une bascule soudaine, proche de l'horreur après l'incompréhension..... Bravo à X Legrand qui brosse un portrait du père disparu, sans avoir besoin de le voir, par les yeux d' Ellias, et les images subtiles de l'intérieur inquiétant de cette maison... La tension qui agite notre personnage principal est superbement rendue. Digne d'un thriller des plus affutés, cette réalisation est bouleversante, à l'intrigue extrêmement bien ficelée. Film déroutant, c'est ce qu'on aime aussi au grand écran.....!!**
    Yves G.
    Yves G.

    1 493 abonnés 3 510 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 février 2024
    Ellias Barnès (Marc-André Grondin) est la star montante de la haute couture parisienne. Ce jeune Québécois a coupé tous les ponts avec ses origines. Mais son passé se rappelle à lui quand on lui apprend le décès de son père. Il doit rentrer à Montréal pour organiser ses obsèques et vider sa maison. Il n’imaginait pas ce qu’il allait y découvrir.

    Après "Jusqu’à la garde", un drame étouffant sur les violences domestiques, couvert de prix (César 2018 du meilleur film et de la meilleure actrice pour Léa Drucker), plébiscité par le public (378.000 entrées), il a fallu attendre six ans le deuxième long métrage de Xavier Legrand. Il nous prend à contre-pied, par son sujet et plus encore par son cadre : Xavier Legrand a traversé l’Atlantique pour tourner au Canada avec des acteurs québécois, tels que Marc-André Grondin ("C.R.A.Z.Y.", "Le Premier Jour du reste de ta vie"…) et Yves Jacques ("Laurence Anyway", "Les Invasions barbares"…), qui nous sont familiers pour les avoir vus souvent à l’écran tout en restant délicieusement exotiques avec leur accent.

    Je suis allé voir "Le Successeur" sans en rien savoir. Et c’était fort bien ainsi. J’en dirai donc le moins possible, sinon que j’imaginais à son titre que Ellias serait amené, à la mort de son père, à prendre sa succession à la tête d’une entreprise mafieuse. Je me trompais du tout au tout.

    "Le Successeur" est un thriller oppressant dont l’action se déroule en l’espace de deux journées à peine. Il suit pas à pas Ellias – dont on apprendra qu’il a changé de prénom en changeant de vie et en quittant le Québec – depuis son atterrissage à Montréal jusqu’à la crémation de son père, dans chacune des démarches obligées que l’organisation de ses funérailles appelle. Les actes anodins – passer aux pompes funèbres, récupérer les clés de la voiture de son père, celles de sa maison… – qu’effectue Ellias dans le brouillard du jetlag sont brutalement interrompus par une découverte stupéfiante.

    Rajouté à cela, avant que j’en dise trop, que le film se termine sur une révélation tout aussi stupéfiante, "Le Successeur" m’aura cloué à mon siège. Que demander de plus ?
    Paulin S.
    Paulin S.

    5 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2024
    Legrand nous offre en drame asphyxiant qui s'inscrit dans la continuité de jusqu'à la garde.
    Dans un registre différent certes, mais il parvient comme dans son précédent long-métrage à étouffer ses personnages et par extension à nous étouffer en tant que spectateur.
    Le scénario prend aux tripes, et l'on en vient à ressentir horreur et fascination sur cette histoire glaçante.
    Le film a une rythmique efficace, et il parvient à nous surprendre jusqu'au bout. Marc-André Gondrin est extrêmement convaincant dans ce rôle de couturier sous ventoline, il touche juste.
    Le grand bémol du film se trouve dans l'imagerie et la composition. Les cadrages sont timides et plutôt plats. J'en attendais plus après jusqu'à la garde. Hormis les scènes marquantes du scénario le remplissage adjacent nous offre des scènes en champs-contre champs bien ennuyeuses et sans plus value esthétiquement parlant.
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