Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Xavier Legrand continue de puiser dans la critique familiale et sociétale pour son nouveau film, qui se révèle être un thriller redoutable porté par une mise en scène ambitieuse.
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Embrassant le genre du thriller, Le Successeur dévoile une mise en scène très ambitieuse, qui nous accompagne jusqu’à une séquence finale d’une cruelle ironie.
Le Parisien
par Catherine Balle
Un drame terrifiant et virtuose.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
Une œuvre impressionnante de maîtrise.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Isabelle Danel
Entre thriller, film d’horreur et tragédie grecque, le deuxième long de Xavier Legrand, après Jusqu’à la garde, nous entraîne dans un maelström d’émotions. Terrifiant et fondamental.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Closer
par J.B.
Jouissif, sensationnel et glaçant.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Également ambitieux dans ses décors et ses ambiances, Le Successeur confirme l’attachement du cinéma français aux films de genre, dans une œuvre sophistiquée et originale.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par Laurent Silvestrini
(...) Xavier Legrand frappe un grand coup en approfondissant son exploration des liens familiaux toxiques et violents tout en recourant ici à certains codes fort appréciables du cinéma de genre, permettant de muscler et noircir encore un peu plus son thriller psychologique aux allures de tragédie grecque.
L'Humanité
par Emilio Meslet
Après l’époustouflant Jusqu’à la garde, en 2019, Xavier Legrand revient avec un implacable thriller sur la violence masculine.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Grâce à une mise en scène redoutablement pertinente dans son jeu entre champ et hors-champ, il séquestre son héros (et le spectateur) dans les tréfonds d’un thriller familial et psychanalytique à l’infernale noirceur. Vertigineux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le cinéaste braque toujours sa caméra sur ces hommes qui font du mal aux femmes. Mais s’éloigne de la démonstration sociétale pour investir plus volontiers le pur film de terreur psychologique.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Six ans après le succès de « Jusqu'à la garde », Xavier Legrand revient avec un thriller psychologique audacieux et déroutant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Mad Movies
par Gilles Esposito
Surgi sur la scène avec "Jusqu'à la garde", le réalisateur français persévère avec son second long-métrage, qui marie les zones les plus noires du thriller avec le portrait d'un personnage en pleine déroute morale.
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un film tragique et saisissant.
Sud Ouest
par Stéphane C. Jonathan
Une plongée horrifique dans les affres de la psyché humaine. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
POUR : Face au remarquable Yves Jacques – le meilleur ami du père, tellement gentil qu’il en devient suspect –, Marc-André Grondin se fond dans la mise en scène chirurgicale, la toile funeste de Xavier Legrand, marionnette consentante de ce jeu de massacre du patriarcat et de la violence masculine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Le Successeur fonctionne surtout sur le mystère, et le choc. Une idée savoureuse et cruelle, qui condamne malheureusement la deuxième partie du film à perdre une (grande) partie de sa force.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Avec cette libre adaptation du roman L’Ascendant d’Alexandre Postel, le réalisateur de Jusqu’à la garde confirme se sentir à son aise dans le genre du thriller vénéneux, avec la chute inéluctable du personnage principal entraîné dans une spirale funeste sans espoir de rédemption. Tout en interrogeant l’hérédité du crime.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Après Jusqu’à la garde, Xavier Legrand signe un nouveau cauchemar autour de la figure du père. Un exercice de style hitchcocko-freudien pas toujours formidablement habile ni léger, mais suffisamment têtu et habité pour s’imposer finalement comme assez troublant.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Ce film étouffant et anxiogène surprend avec ses audaces, mais déçoit avec ses invraisemblances.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Un thriller haletant qui questionne la filiation (le mal se transmet-il de père en fils ?) mais abuse un peu trop de "cliffhangers".
Première
par Damien Leblanc
Adoptant à nouveau le genre du thriller psychologique, le cinéaste réussit une captivante première partie où le créateur de mode joué par Marc-André Grondin vit le retour à ses origines comme une étouffante corvée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Même si Legrand s’évertue à supprimer toute extériorité pittoresque et suscite des ellipses brutales pour mieux enfermer le spectateur, il n’arrive ni à bien doser la tension ni même à la justifier : défilé de mode en ouverture dont l’explicitation programmatique oublie totalement le récit ; décisions aberrantes d’Ellias, entre lâcheté et inquiétude, qui gèlent toute empathie à son égard ; parasitages sonores qui tournent à vide.
Critikat.com
par Josué Morel
Si le film parvient tout de même à distiller ici et là des idées plus intrigantes, il s'avère toujours en deçà de ses modèles et paraît compenser son manque d’envergure par la multiplication de twists émotionnels et de ficelles scénaristiques.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
Six ans après Jusqu’à la garde, Xavier Legrand revient avec un thriller hitchcockien qui creuse le sillon de la violence des hommes mais pèche par un scénario bancal et une mise en scène grandiloquente.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par M. Jo.
Mais c’est comme si Xavier Legrand (Jusqu’à la garde, 2017) ne se laissait jamais l’occasion de jouir de son dispositif, tant le sujet ici évoqué se veut sérieux et écrasant : le patriarcat et la manière dont les hommes le perpétuent de père en fils. Aux joies cathartiques du film de genre, Le Successeur préfère la lourdeur d’une dissertation un peu trop doloriste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le Successeur contient deux films si dissemblables qu’ils peinent totalement à communiquer l’un avec l’autre, et cohabitent hermétiquement, semblant aussi surpris que nous d’avoir à se partager l’écran. On pourrait le regretter si l’un des deux faisait état d’une quelconque réussite, mais l’ensemble est si convenu qu’on se contentera de s’étonner poliment d’une telle cuisine.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Un film qui épouse toutes les règles du thriller, parfois jusqu’à l’excès, dans un exercice totalement maîtrisé en matière de cinéma mais aux effets appuyés.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Transfuge
par Frédéric Mercier
Ce n'est peut-être pas un bon film mais assurément l'œuvre douloureuse d'un artiste qui cherche ses moyens d'expression.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Après l’excellent Jusqu’à la garde, le réalisateur déçoit avec l’histoire d’un styliste confronté à la mort de son père dont il s’était éloigné.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Michel Bezbakh
CONTRE : Rien ne sauve Le Successeur. Au-delà d’un scénario invraisemblable, et d’un renversement de perspective qui donne une scène terriblement grotesque, le plus stupéfiant est de ne jamais trouver la moindre idée de mise en scène un peu maline, alors que Jusqu’à la garde en regorgeait – le corps de Denis Ménochet saturait les plans, pour dire la menace du prédateur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
Xavier Legrand continue de puiser dans la critique familiale et sociétale pour son nouveau film, qui se révèle être un thriller redoutable porté par une mise en scène ambitieuse.
Le Dauphiné Libéré
Embrassant le genre du thriller, Le Successeur dévoile une mise en scène très ambitieuse, qui nous accompagne jusqu’à une séquence finale d’une cruelle ironie.
Le Parisien
Un drame terrifiant et virtuose.
aVoir-aLire.com
Une œuvre impressionnante de maîtrise.
Bande à part
Entre thriller, film d’horreur et tragédie grecque, le deuxième long de Xavier Legrand, après Jusqu’à la garde, nous entraîne dans un maelström d’émotions. Terrifiant et fondamental.
Closer
Jouissif, sensationnel et glaçant.
Franceinfo Culture
Également ambitieux dans ses décors et ses ambiances, Le Successeur confirme l’attachement du cinéma français aux films de genre, dans une œuvre sophistiquée et originale.
L'Ecran Fantastique
(...) Xavier Legrand frappe un grand coup en approfondissant son exploration des liens familiaux toxiques et violents tout en recourant ici à certains codes fort appréciables du cinéma de genre, permettant de muscler et noircir encore un peu plus son thriller psychologique aux allures de tragédie grecque.
L'Humanité
Après l’époustouflant Jusqu’à la garde, en 2019, Xavier Legrand revient avec un implacable thriller sur la violence masculine.
L'Obs
Grâce à une mise en scène redoutablement pertinente dans son jeu entre champ et hors-champ, il séquestre son héros (et le spectateur) dans les tréfonds d’un thriller familial et psychanalytique à l’infernale noirceur. Vertigineux.
La Voix du Nord
Le cinéaste braque toujours sa caméra sur ces hommes qui font du mal aux femmes. Mais s’éloigne de la démonstration sociétale pour investir plus volontiers le pur film de terreur psychologique.
Les Echos
Six ans après le succès de « Jusqu'à la garde », Xavier Legrand revient avec un thriller psychologique audacieux et déroutant.
Mad Movies
Surgi sur la scène avec "Jusqu'à la garde", le réalisateur français persévère avec son second long-métrage, qui marie les zones les plus noires du thriller avec le portrait d'un personnage en pleine déroute morale.
Ouest France
Un film tragique et saisissant.
Sud Ouest
Une plongée horrifique dans les affres de la psyché humaine. Une réussite.
Télérama
POUR : Face au remarquable Yves Jacques – le meilleur ami du père, tellement gentil qu’il en devient suspect –, Marc-André Grondin se fond dans la mise en scène chirurgicale, la toile funeste de Xavier Legrand, marionnette consentante de ce jeu de massacre du patriarcat et de la violence masculine.
Ecran Large
Le Successeur fonctionne surtout sur le mystère, et le choc. Une idée savoureuse et cruelle, qui condamne malheureusement la deuxième partie du film à perdre une (grande) partie de sa force.
Le Journal du Dimanche
Avec cette libre adaptation du roman L’Ascendant d’Alexandre Postel, le réalisateur de Jusqu’à la garde confirme se sentir à son aise dans le genre du thriller vénéneux, avec la chute inéluctable du personnage principal entraîné dans une spirale funeste sans espoir de rédemption. Tout en interrogeant l’hérédité du crime.
Les Fiches du Cinéma
Après Jusqu’à la garde, Xavier Legrand signe un nouveau cauchemar autour de la figure du père. Un exercice de style hitchcocko-freudien pas toujours formidablement habile ni léger, mais suffisamment têtu et habité pour s’imposer finalement comme assez troublant.
Marianne
Ce film étouffant et anxiogène surprend avec ses audaces, mais déçoit avec ses invraisemblances.
Marie Claire
Un thriller haletant qui questionne la filiation (le mal se transmet-il de père en fils ?) mais abuse un peu trop de "cliffhangers".
Première
Adoptant à nouveau le genre du thriller psychologique, le cinéaste réussit une captivante première partie où le créateur de mode joué par Marc-André Grondin vit le retour à ses origines comme une étouffante corvée.
Cahiers du Cinéma
Même si Legrand s’évertue à supprimer toute extériorité pittoresque et suscite des ellipses brutales pour mieux enfermer le spectateur, il n’arrive ni à bien doser la tension ni même à la justifier : défilé de mode en ouverture dont l’explicitation programmatique oublie totalement le récit ; décisions aberrantes d’Ellias, entre lâcheté et inquiétude, qui gèlent toute empathie à son égard ; parasitages sonores qui tournent à vide.
Critikat.com
Si le film parvient tout de même à distiller ici et là des idées plus intrigantes, il s'avère toujours en deçà de ses modèles et paraît compenser son manque d’envergure par la multiplication de twists émotionnels et de ficelles scénaristiques.
La Croix
Six ans après Jusqu’à la garde, Xavier Legrand revient avec un thriller hitchcockien qui creuse le sillon de la violence des hommes mais pèche par un scénario bancal et une mise en scène grandiloquente.
Le Monde
Mais c’est comme si Xavier Legrand (Jusqu’à la garde, 2017) ne se laissait jamais l’occasion de jouir de son dispositif, tant le sujet ici évoqué se veut sérieux et écrasant : le patriarcat et la manière dont les hommes le perpétuent de père en fils. Aux joies cathartiques du film de genre, Le Successeur préfère la lourdeur d’une dissertation un peu trop doloriste.
Les Inrockuptibles
Le Successeur contient deux films si dissemblables qu’ils peinent totalement à communiquer l’un avec l’autre, et cohabitent hermétiquement, semblant aussi surpris que nous d’avoir à se partager l’écran. On pourrait le regretter si l’un des deux faisait état d’une quelconque réussite, mais l’ensemble est si convenu qu’on se contentera de s’étonner poliment d’une telle cuisine.
Paris Match
Un film qui épouse toutes les règles du thriller, parfois jusqu’à l’excès, dans un exercice totalement maîtrisé en matière de cinéma mais aux effets appuyés.
Transfuge
Ce n'est peut-être pas un bon film mais assurément l'œuvre douloureuse d'un artiste qui cherche ses moyens d'expression.
Le Figaro
Après l’excellent Jusqu’à la garde, le réalisateur déçoit avec l’histoire d’un styliste confronté à la mort de son père dont il s’était éloigné.
Télérama
CONTRE : Rien ne sauve Le Successeur. Au-delà d’un scénario invraisemblable, et d’un renversement de perspective qui donne une scène terriblement grotesque, le plus stupéfiant est de ne jamais trouver la moindre idée de mise en scène un peu maline, alors que Jusqu’à la garde en regorgeait – le corps de Denis Ménochet saturait les plans, pour dire la menace du prédateur.