Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Cela tient du journal intime, de la déclaration d'amour à la capitale, d'un hymne à la fantaisie et à la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Arnaud Viard signe un film farfelu et sensible sur un Parisien qui vit en solitaire avec ses jeunes enfants pendant le premier confinement. Une réussite mineure, mais réelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Un petit bijou.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
L’ensemble, filmé en noir et blanc et montrant les rues désertes de Paris, est poétique, plein d’authenticité et de mélancolie. Même si le spectateur n’est pas forcément passionné par le récit, une certaine beauté se dégage de ce film.
L'Obs
par Sophie Grassin
Ces déambulations germanopratines, ce presque rien qui débouchera sur une promesse de presque tout ont un charme fou.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
On n’avait pas forcément envie d’y retourner. Le 17 mars 2020 a marqué pour beaucoup le début d’une période difficile, voire douloureuse. Pour Arnaud Viard, réalisateur de Clara et moi, cette pause dans le temps a été bénéfique et il nous en dévoile la beauté, laissant la pandémie derrière lui.
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Cette chronique de confinement est aussi, pour l’acteur-réalisateur Arnaud Viard, l’occasion de filmer ses propres enfants. Il se dégage du film, court (1h15), positif et printanier, la promesse d’une nouvelle naissance pour le cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
D’une certaine façon, sa banalité parfaite constitue son originalité. La petite chronique déroule, avec des moments proches des Super 8 de l’enfance, un film de famille le plus doux possible, dans un beau noir et blanc dépouillé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Cheze
Un journal intime à la mélancolie jamais passéiste.
Première
par Thierry Chèze
Après sa transparente adaptation du Je voudrais qu’on m’attende quelque part d’Anna Gavalda, Arnaud Viard revient à la veine autobiographique de son Arnaud fait son 2ème film. Et son aisance à entremêler réalité et fiction donne naissance à une des rares réussites de film de confinement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Un autoportrait modeste et tendre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un film gai et spontané qui profite de ce temps suspendu que fut le confinement dû au Covid pour s’interroger sur l’amour, celui que l’on reçoit autant que celui que l’on donne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Zoé Lhuillier
Mais ce qu’oublie Arnaud lorsqu’il écoute religieusement Macron faire ses discours au 20 heures, c’est que se reconnecter au réel loin de toute forme de réseau social, c’est aussi s’ancrer dans une pensée politique du monde [...].
Le Figaro
Cela tient du journal intime, de la déclaration d'amour à la capitale, d'un hymne à la fantaisie et à la liberté.
Les Echos
Arnaud Viard signe un film farfelu et sensible sur un Parisien qui vit en solitaire avec ses jeunes enfants pendant le premier confinement. Une réussite mineure, mais réelle.
Paris Match
Un petit bijou.
Dernières Nouvelles d'Alsace
L’ensemble, filmé en noir et blanc et montrant les rues désertes de Paris, est poétique, plein d’authenticité et de mélancolie. Même si le spectateur n’est pas forcément passionné par le récit, une certaine beauté se dégage de ce film.
L'Obs
Ces déambulations germanopratines, ce presque rien qui débouchera sur une promesse de presque tout ont un charme fou.
Le Dauphiné Libéré
On n’avait pas forcément envie d’y retourner. Le 17 mars 2020 a marqué pour beaucoup le début d’une période difficile, voire douloureuse. Pour Arnaud Viard, réalisateur de Clara et moi, cette pause dans le temps a été bénéfique et il nous en dévoile la beauté, laissant la pandémie derrière lui.
Les Fiches du Cinéma
Cette chronique de confinement est aussi, pour l’acteur-réalisateur Arnaud Viard, l’occasion de filmer ses propres enfants. Il se dégage du film, court (1h15), positif et printanier, la promesse d’une nouvelle naissance pour le cinéaste.
Libération
D’une certaine façon, sa banalité parfaite constitue son originalité. La petite chronique déroule, avec des moments proches des Super 8 de l’enfance, un film de famille le plus doux possible, dans un beau noir et blanc dépouillé.
Ouest France
Un journal intime à la mélancolie jamais passéiste.
Première
Après sa transparente adaptation du Je voudrais qu’on m’attende quelque part d’Anna Gavalda, Arnaud Viard revient à la veine autobiographique de son Arnaud fait son 2ème film. Et son aisance à entremêler réalité et fiction donne naissance à une des rares réussites de film de confinement.
Télérama
Un autoportrait modeste et tendre.
aVoir-aLire.com
Un film gai et spontané qui profite de ce temps suspendu que fut le confinement dû au Covid pour s’interroger sur l’amour, celui que l’on reçoit autant que celui que l’on donne.
Cahiers du Cinéma
Mais ce qu’oublie Arnaud lorsqu’il écoute religieusement Macron faire ses discours au 20 heures, c’est que se reconnecter au réel loin de toute forme de réseau social, c’est aussi s’ancrer dans une pensée politique du monde [...].