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FredManga
68 critiques
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2,0
Publiée le 28 juillet 2024
Pas de grosses surprises , plein d'idées toutes faites , filmé à l'avenant , sans une once d'humour ou de beaux paysages scandinaves..........la fin est , comment dire.......bah!!!! oubliable !! 2 pour le loup , bien réalisé , et les Vikings bien mystérieux !!!! Dommage que le réalisateur ne soit pas resté à cette époque.......il est mouignon le petit démon loup-garou !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Le cinéma Nordique peu se planter 1 fois sur 2, avoir livré 2 grand films catastrophe aussi intimiste que visuellement grandiose mis pour celui-ci, fantastique / horreur, livré un véritable navet dont les longueurs viscérales, vides sidéraux et jeu sans âme de ses "star" nationales font coulées la boutique. Les 5% d'action et de visuel mordant sont assez limites et ne parviennent en conséquence, ni à redonner un semblant d'énergie, ni à nous réveiller. En conclusion, le titre faisant échos aux ancêtres Norvégien et Suédois donnaient un risque possible, il n'aura été qu'une chute plus vertigineuse. En morale de l'histoire, laissons les loups-garous à l'Europe de l'est ou aux U.S..
L'histoire est pas très captivante je m'attendais à ce que le loup-garou soit plus terrifiant surtout que au début des films des Vikings disent qu'ils ont trouvé un chien de l'enfer je pensais qu'il serait plus difficile à tuer et que ce serait plus sanglant pour être franc je me suis endormi devant ça vaut pas le loup-garou de Paris tu es où ça pêche c'est le langage des signes qui marche sur le loup garou comme si on pouvait raisonner un animal sauvage
Bien que des preuves existent que ce phénomène existe bel et bien, il me semble impossible d’avoir peur d’un film de loup-garou : dès lors, son intérêt se situe ailleurs, par exemple dans une atmosphère gothique probante comme le ‘Wolfman’ de Joe Johnston, ou dans une métaphore teen bien sentie comme dans le premier ‘Ginger snaps’. ‘Viking wolf’, lui, ne peut pas trop compter là-dessus : il s’inscrit plutôt dans la vague des monster-movies tirés du folklore nordique, qu’il s’agisse de trolls ou de dieux réincarnés. Dans ‘Viking wolf’, la créature ne peut pas changer de forme à volonté : une fois lancée dans son évolution animale, elle est condamnée à perdre toute humanité, ce qui donne l’occasion au réalisateur de ne pas lésiner sur le gore lorsque le monstre passe à l’attaque. Le résultat global est peut-être moins original et exotique que les productions consacrées aux trolls puisque des lycanthropes, on en a déjà vu de toutes les tailles et de toutes les sortes dans tous les coins du monde. En tant que film de monstre, ‘Viking wolf’ n’est pas mauvais pour autant: il n’est pas cheap, son scénario se concentre sur l’essentiel tout en bénéficiant d’une écriture assez juste, il ne cherche presque jamais à humaniser le prédateur et même la facture numérique de l’animal ne jure pas trop (ce qui n’empêche pas de constater que le cadrage rapproché n’est jamais une bonne idée). Sans défauts rédhibitoires, divertissant avec son amour sincère du film de genre mais totalement oubliable, il s’agit encore une fois d’une “production Netflix” interchangeable par excellence.
Dans la lignée des films de loup-garou qui ne sont souvent pas bien reluisants, honnêtement celui élève vraiment le niveau. La touche scandinave propose une lecture différente des blockbusters américains, les paysages et l’ambiance / culture locale. Très honnêtement je ne comprends pas pourquoi ce film est si mal noté. La narration respecte d’une logique, il est assez triste et poignant, pour ma part, ça serait la fable la mieux ficelée de la lycanthropie à ce jour avec peut-être celle du sud de l’Espagne.
Pas une réussite. La bande annonce est bonne (un peu dans l'ambiance de "Morse") et désillusion au visionnage. La partie dramatique est gâchée par un scénario souvent ubuesque. Heureusement que le jeu de la mère sauve l'ensemble. 2/5 !
Le mythe du loup-garou est un puits infini de séries, de films ou autres version artistiques depuis que le cinématographe existe. Certes, peut-être moins que ses illustres cousins les vampires et leur côté glamour mais quand même. L’histoire a voulu que le côté peut-être plus kitsch de cette légende issue du folklore a entraîné bon nombre de productions sur les terres du second degré plutôt que celles du premier. Et on ne peut pas dire que la bête a eu droit à beaucoup d’œuvres lui rendant honneur hormis le culte « Le loup-garou de Londres ». Il est donc plutôt courageux – voire casse-gueule – que de s’essayer à réaliser un film d’horreur sur ce thème de manière sérieuse. Mais « Viking Wolf » saute le pas et ne s’en sort pas trop mal à défaut de réellement nous emballer. Après, le tout juste sympathique « Troll Hunter », cela montre que le cinéma scandinave, norvégien pour être plus précis ici, ose le cinéma de genre et s’en donne les moyens.
Cette production Netflix s’avère donc au final peu mémorable mais loin d’être mauvais ou ratée. On peut déjà louer une réalisation assez classique mais de bon goût. Qui sait ménager ses effets et ne pas tomber dans le ridicule. Les plans sont travaillés et le cadre nordique ajoute un côté original à ce sujet maintes fois vu. De plus, la qualité des effets spéciaux concernant la bête est à saluer et, pour une fois, on voit le loup-garou comme il faut. Les plans ne sont pas trop serrés, le montage n’est pas trop syncopé et les images ne sont pas trop sombres. Profiter d’une bête qui n’existe pas dans un film n’est pas toujours aisé, certains réalisateurs confondant suggestion avec brouillard visuel et/ou maladresses de présentation. Également, on peut apprécier que les personnages soient plus profonds et réalistes qu’à l’accoutumée à un ou deux clichés près (le spécialiste du loup-garou à la présence opportune ou le banal trauma mère-fille).
Cependant, on ne peut nier que pour un film horrifique sur un thème censé effrayer, « Viking Wolf » est bien avare en termes de sang, de gore et de sursauts. Chaque attaque de la bête semble être coupée au montage dès lors que cela devient sanglant et écœurant. Une scène est symptomatique ce côté chiche en barbaque : celle du bus. Alors que le nouveau loup-garou mute et se révèle, il attaque tout un bus mais on ne verra absolument rien si ce n’est une main arrachée qui vole. Franchement frustrant et presque insultant pour tout amateur de gore. Idem pour les frissons et sursauts : le film ne nous fera jamais peur. Pourtant, il est plutôt captivant et on suit l’enquête de cette maman flic ainsi que le fardeau de sa fille mordue avec plaisir. Voilà donc un film fantastique sympathique et bien foutu mais qui s’avère bien trop tous publics en rapport à son sujet.
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L'ambiance est bien, ainsi que les effets visuels. Mais le scénario nous montre dès le début les rails qu'il va suivre, et les suit. A plusieurs reprises on se dit : "mais là il va y avoir un rebondissement, quand même, non ?" Et non. La fin spoiler: pseudo-ambiguë à la Netflix est juste à mourir d'ennui .
Et bien ce n'est pas si mal. Une énième variation sur le mythe du loup garou qui nous vient de Norvège cette fois. Le scénario n'est clairement pas le point fort de cette honnête série B mais les comédiens sont plutôt convaincants et la réalisation n'est pas mauvaise. L'avantage est que ça ne dure pas des plombes et il y a finalement assez peu de temps mort, on passe un bon moment, divertissant, et basta.
Quelle drôle d'idée de tourner un film de loup garou quand on n'a pas la moindre idée originale ? A moins que le réalisateur norvégien ait cru que l'évocation des vikings, qui n'apporte pourtant rien, suffirait à offrir une originalité à son navet ? Non seulement, il nous inflige un catalogue de poncifs du genre, mais son film manque cruellement de rythme et d'humour. Or, dans le domaine du fantastique horrifique, l'humour, le clin d'oeil et le deuxième degré sont indispensables, sauf pour ceux bien sûr qui se prennent très au sérieux. Ca semble le cas et c'est raté et ennuyeux.
Je retiens de ce film un trucage bien ficelé du loup enragé et dévoreur.Bien conçu en adéquation avec les mythes de Norvège. La mère a t elle pu tuer sa fille lycantrope?on entend pas le coup partir. Et la balle se retrouve près de sa photo.la même balle??ou la mère mordue pourrait elle devenir le loup garou?Mais étrange elle a été mordue dans la grotte et ne s est pas transformée..Mais si ce mystère reste entier peut être que le réalisateur pourrait donner suite??.
Délocalisé dans les forêts de Norvège, ce petit film sur le thème du loup-garou est assez bien ficelé; on nous explique que la légende trouve ses pas dans l'ère des vikings, et que depuis mille an, le jeune louveteau à su se reproduire et être toujours bien féroce. Pas trop de scènes sanguinaires, même si la bête est omni présente. Ce que cela raconte en toile de fond, c'est le mal-être d'une adolescence qui ne trouve pas sa place dans la société que l'on veut lui imposer, similitude avec la bête marginalisé. Sans surprise mais pas désagréable.
Nul nul nul je suis dégouté moi qui adore les films de loups et bah là je suis sens voix, je suis dégoûté de la fin il aurai pu faire mieux quand même pfff