Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Souvent attachée à la dimension tragique de l’histoire, la cinéaste polonaise s’inscrit cette fois dans un passé récent mortifère qui ne passe pas. À la déshumanisation des réfugiés, elle oppose la question complexe de l’accueil, du délit de solidarité, de la différence entre la légalité et l’équité. Humaniser pour ne pas banaliser la violence et les incessants refoulements à la frontière.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Filmé dans un noir et blanc funèbre, Green Border est l’œuvre bouleversante d’une réalisatrice révoltée qui, sans prendre de gants, décrit l’horreur et ausculte les dilemmes silencieux.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Marie Claire
par Catherine Durand
Un film en noir et blanc intense qui vrille le cœur et interroge longtemps après sa projection sur ce qu'il reste de notre humanité face à la crise migratoire.
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un film choc. Une charge puissante.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans le no man's land où se joue le drame de l'horreur politique, Agnieszka Holland interroge avec une rigueur morale inébranlable la responsabilité collective.
Elle
par Françoise Delbecq
Une fiction coup de poing sur le drame des migrants.
L'Obs
par François Forestier
Agnieszka Holland raconte, en noir et blanc, le martyre des migrants, la générosité des inconnus qui tentent d’aider, l’immonde cynisme du système. On sort de là éprouvé, secoué, révulsé, avec l’envie de foutre le feu. Le cinéma, ici, est l’arme de la révolte.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La cinéaste polonaise transcende son œuvre en un acte de compassion, un appel vibrant à reconnaître le mal et à mettre fin à la cruauté et à l'indignité.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Agnieszka Holland filme une catastrophe humanitaire à trois heures de Varsovie avec une rage froide.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Avec une approche quasi documentaire, Agnieszka Holland montre l'horreur, mais aussi l'empathie et le courage de ceux qui se dressent contre elle au fil d'un drame bouleversant [...].
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
On peut donc remercier Agnieszka Holland pour ses choix, dont celui de filmer cette incroyable histoire dans un noir et blanc somptueux qui colle parfaitement à l’intrigue et à la topographie des lieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
La réalisatrice polonaise Agnieszka Holland signe un film passionnant et glaçant sur le sort réservé aux réfugiés à la frontière entre son pays et la Biélorussie. Cette fiction documentée ausculte les ambiguïtés de l'Europe sur un sujet capital.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Agnieszka Holland frappe un grand coup avec ce brûlot politique édifiant et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
D’une puissante narrative redoutable, l’éclatement des points de vue permet surtout d’opérer une analyse structurelle, plus à froid et moins manipulatrice qu’une simple stratégie immersive nous mettant exclusivement à la place des victimes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
À la suite de la présentation de Green Border à Venise, plusieurs ministres alors en poste à Varsovie, dont ceux de la Justice et de la Défense, ont dénoncé une fiction qui, selon eux, « attaque l’honneur et la réputation de la Pologne ». Comme une sorte de compliment involontaire adressé à ce film brutalement contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Olivier De Bruyn
Même si ce film documenté et impitoyable, honoré par un prix spécial du jury au dernier festival de Venise, s’abîme parfois dans d’inutiles insistances, il n'en demeure pas moins un témoignage puissant sur certaines réalités accablantes.
Transfuge
par Mathieu Guetta
Décrié par l’ancien gouvernement d’extrême droite en Pologne, le film "Green Border" d’Agnieszka Holland est une fresque humaniste et un éclairage nécessaire dans un monde que l’on voit sans cesse s’obscurcir.
Télérama
par Marie Sauvion
Un film poignant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
POUR : Dans la continuité de ses grandes œuvres politiques et humanistes, Agnieszka Holland franchit encore un pas vers une tentative de réparation aux discriminations et aux barbaries qui balayent le monde.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Cl. F.
Née en 1948, se revendiquant d’un cinéma politique, posant des questions existentielles, notamment sur le devenir de l’Europe qui se barricade de plus en plus, Agnieszka Holland signe un film suffocant, à l’image de l’époque.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Éprouvant mais hélas nécessaire.
Première
par Thierry Chèze
Une œuvre évidemment engagée mais sans verser dans la facilité manichéenne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Dramaturgie du calvaire, écorchures sanguinolentes, défilé de pietàs : cette imagerie catholique n’offre au spectateur que la place du témoin impuissant, les paupières comme épinglées pour garder les yeux grands ouverts sur un naufrage démocratique.
Critikat.com
par Valentine Guégan
Par excès de zèle à combattre l'indifférenciation au cœur de l'horreur décrite, le film s’appuie hélas sur un scénario surligné, qui cherche à tout prix à identifier des héros pour s’assurer l’adhésion du spectateur à leurs causes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
La réalisatrice signe un film-choc sur le sort des réfugiés échoués à la frontière polonaise en 2021, victimes involontaires d’enjeux politiques qui les dépassent. Mais, malgré de bonnes intentions, il délivre une vision crue et sans beaucoup de nuances des événements.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Didier Péron
[...] Holland cherche d’évidence à montrer que la crise des valeurs se propage comme un acide détruisant l’ensemble du tissu social. Mais le dolorisme de la mise en scène, sa fringale de malheurs dont elle semble n’être jamais rassasiée, de même qu’on ne sait trop à force si notre révolte intérieure est suscitée par le sentiment du trop-plein ou par la gravité des calamités décrites.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Julien Rousset
On sent, et comprend bien sûr, la colère de la réalisatrice face à la tragédie que vivent ces exilés. Mais la mise en scène sombre dans la démonstration, et les travers du "film choc".
Télé Loisirs
par S.O.
Aux atrocités infligées aux réfugiés, ce film choc oppose la prise de conscience d'un garde-frontière, érigeant ce cas particulier en archétype. Le propos en est moins désespéré mais fait preuve d'un angélisme dérangeant.
aVoir-aLire.com
par Jean-Baptiste Doulcet
CONTRE : Œuvre éprouvante, Green Border laisse le spectateur subir l’efficacité de ses images. Une mise en lumière importante mais bien trop impudique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
Souvent attachée à la dimension tragique de l’histoire, la cinéaste polonaise s’inscrit cette fois dans un passé récent mortifère qui ne passe pas. À la déshumanisation des réfugiés, elle oppose la question complexe de l’accueil, du délit de solidarité, de la différence entre la légalité et l’équité. Humaniser pour ne pas banaliser la violence et les incessants refoulements à la frontière.
La Voix du Nord
Filmé dans un noir et blanc funèbre, Green Border est l’œuvre bouleversante d’une réalisatrice révoltée qui, sans prendre de gants, décrit l’horreur et ausculte les dilemmes silencieux.
Marie Claire
Un film en noir et blanc intense qui vrille le cœur et interroge longtemps après sa projection sur ce qu'il reste de notre humanité face à la crise migratoire.
Ouest France
Un film choc. Une charge puissante.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans le no man's land où se joue le drame de l'horreur politique, Agnieszka Holland interroge avec une rigueur morale inébranlable la responsabilité collective.
Elle
Une fiction coup de poing sur le drame des migrants.
L'Obs
Agnieszka Holland raconte, en noir et blanc, le martyre des migrants, la générosité des inconnus qui tentent d’aider, l’immonde cynisme du système. On sort de là éprouvé, secoué, révulsé, avec l’envie de foutre le feu. Le cinéma, ici, est l’arme de la révolte.
Le Dauphiné Libéré
La cinéaste polonaise transcende son œuvre en un acte de compassion, un appel vibrant à reconnaître le mal et à mettre fin à la cruauté et à l'indignité.
Le Figaro
Agnieszka Holland filme une catastrophe humanitaire à trois heures de Varsovie avec une rage froide.
Le Journal du Dimanche
Avec une approche quasi documentaire, Agnieszka Holland montre l'horreur, mais aussi l'empathie et le courage de ceux qui se dressent contre elle au fil d'un drame bouleversant [...].
Le Parisien
On peut donc remercier Agnieszka Holland pour ses choix, dont celui de filmer cette incroyable histoire dans un noir et blanc somptueux qui colle parfaitement à l’intrigue et à la topographie des lieux.
Les Echos
La réalisatrice polonaise Agnieszka Holland signe un film passionnant et glaçant sur le sort réservé aux réfugiés à la frontière entre son pays et la Biélorussie. Cette fiction documentée ausculte les ambiguïtés de l'Europe sur un sujet capital.
Les Fiches du Cinéma
Agnieszka Holland frappe un grand coup avec ce brûlot politique édifiant et émouvant.
Les Inrockuptibles
D’une puissante narrative redoutable, l’éclatement des points de vue permet surtout d’opérer une analyse structurelle, plus à froid et moins manipulatrice qu’une simple stratégie immersive nous mettant exclusivement à la place des victimes.
Marianne
À la suite de la présentation de Green Border à Venise, plusieurs ministres alors en poste à Varsovie, dont ceux de la Justice et de la Défense, ont dénoncé une fiction qui, selon eux, « attaque l’honneur et la réputation de la Pologne ». Comme une sorte de compliment involontaire adressé à ce film brutalement contemporain.
Positif
Même si ce film documenté et impitoyable, honoré par un prix spécial du jury au dernier festival de Venise, s’abîme parfois dans d’inutiles insistances, il n'en demeure pas moins un témoignage puissant sur certaines réalités accablantes.
Transfuge
Décrié par l’ancien gouvernement d’extrême droite en Pologne, le film "Green Border" d’Agnieszka Holland est une fresque humaniste et un éclairage nécessaire dans un monde que l’on voit sans cesse s’obscurcir.
Télérama
Un film poignant.
aVoir-aLire.com
POUR : Dans la continuité de ses grandes œuvres politiques et humanistes, Agnieszka Holland franchit encore un pas vers une tentative de réparation aux discriminations et aux barbaries qui balayent le monde.
Le Monde
Née en 1948, se revendiquant d’un cinéma politique, posant des questions existentielles, notamment sur le devenir de l’Europe qui se barricade de plus en plus, Agnieszka Holland signe un film suffocant, à l’image de l’époque.
Paris Match
Éprouvant mais hélas nécessaire.
Première
Une œuvre évidemment engagée mais sans verser dans la facilité manichéenne.
Cahiers du Cinéma
Dramaturgie du calvaire, écorchures sanguinolentes, défilé de pietàs : cette imagerie catholique n’offre au spectateur que la place du témoin impuissant, les paupières comme épinglées pour garder les yeux grands ouverts sur un naufrage démocratique.
Critikat.com
Par excès de zèle à combattre l'indifférenciation au cœur de l'horreur décrite, le film s’appuie hélas sur un scénario surligné, qui cherche à tout prix à identifier des héros pour s’assurer l’adhésion du spectateur à leurs causes.
La Croix
La réalisatrice signe un film-choc sur le sort des réfugiés échoués à la frontière polonaise en 2021, victimes involontaires d’enjeux politiques qui les dépassent. Mais, malgré de bonnes intentions, il délivre une vision crue et sans beaucoup de nuances des événements.
Libération
[...] Holland cherche d’évidence à montrer que la crise des valeurs se propage comme un acide détruisant l’ensemble du tissu social. Mais le dolorisme de la mise en scène, sa fringale de malheurs dont elle semble n’être jamais rassasiée, de même qu’on ne sait trop à force si notre révolte intérieure est suscitée par le sentiment du trop-plein ou par la gravité des calamités décrites.
Sud Ouest
On sent, et comprend bien sûr, la colère de la réalisatrice face à la tragédie que vivent ces exilés. Mais la mise en scène sombre dans la démonstration, et les travers du "film choc".
Télé Loisirs
Aux atrocités infligées aux réfugiés, ce film choc oppose la prise de conscience d'un garde-frontière, érigeant ce cas particulier en archétype. Le propos en est moins désespéré mais fait preuve d'un angélisme dérangeant.
aVoir-aLire.com
CONTRE : Œuvre éprouvante, Green Border laisse le spectateur subir l’efficacité de ses images. Une mise en lumière importante mais bien trop impudique.