Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le Procès du chien regorge d’une humanité admirable qui ne tombe jamais dans la mièvrerie.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Si le récit semble s’encombrer de détours, d’apartés plus ou moins à-propos – dont une histoire de jeune garçon maltraité – Le Procès du chien ne perd jamais la petite musique qui fait tout son charme.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Elle
par Françoise Delbecq
Un film loufoque et philosophique.
Femme Actuelle
par La Rédaction
C'est fin drôle, moderne et plein de charme.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Pour son premier long métrage en tant que réalisatrice, elle partage l’affiche avec Kodi, un griffon fauve lauréat de la Palm Dog à Cannes. « Dramédie » aux couleurs de bonbon anglais, le Procès du chien interroge la redéfinition du statut de l’animal dans un contexte de montée du populisme d’extrême droite en Suisse.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Autour de Laetita Dosch brille toute une constellation d’acteurs formidables : François Damiens (Dariuch), Anne Dorval (l’avocate générale d’extrême droite), Mathieu Demy (le juge dépassé), Tom Fiszelson (le petit voisin punk et maltraité d’Avril), ainsi que Jean-Pascal Zadi en éthologue qui décrypte le comportement de Cosmos pour l’audience et Avril.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
C'est original, barré, touchant et porté par un casting convaincant.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Petite merveille de premier film qui connaît, depuis sa sélection à Cannes en mai, un grand succès dans les festivals, cette comédie sociale, canine et féministe, première réalisation de la comédienne Lætitia Dosch, distille un humour raccord avec celui de son autrice - qui joue également le rôle d’Avril.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par La Rédaction
Un humour est dévastateur.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Maud Tenda
À cheval entre la fable, la comédie et le film social, "Le Procès du chien" se nourrit intelligemment de l’esprit décalé de son autrice, qui libère son récit et ses personnages de toutes cases prédéfinies.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Catherine Castro
Une comédie déroutante, philosophique et barrée. Et une dentelle d'écriture.
Ouest France
par Pascale Vergereau
Une comédie complètement loufoque, un peu brouillonne, mais qui a indéniablement du chien.
Sud Ouest
par Julien Rousset
La comédienne Laetitia Dosch signe une comédie loufoque, inventive, percutante.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
Laetitia Dosch signe un délire joyeusement surréaliste qui, au-delà de l'humour, pose des questions de fond sur la responsabilité.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Une production atypique, ambitieuse et en tout point réussie.
Télérama
par Jérémie Couston
Pour sa première réalisation, l’actrice Laetitia Dosch signe une comédie philosophico-poilante pas si absurde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par D.B.
Très drôle, Le Procès du chien est aussi bouleversant, car il soulève des questions essentielles. A ne pas rater !
L'Obs
par Nicolas Schaller
La justice spectacle, le spécisme, le féminisme à double vitesse, le cynisme des uns, la naïveté des autres et le sens commun qui se perd : Dosch s’amuse de la folie de notre époque dans une comédie farfelue et formellement foutraque, pleine de doux dingues (Zadi en maître-chien sensible, François Damiens avec les cheveux de Philippe Garrel).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
L’actrice Laetitia Dosch passe derrière la caméra avec une fable sympathique et bon enfant. Si le début est mordant, la suite ronronne malheureusement.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par M. Jo.
Ici, désirs de pédagogie et de clarté se percutent, ouvrant sur une grande dissertation juridico-philosophique : qui est le chien pour l’homme ? Dans son grand brouillon, le film finit par ne ressembler à rien de connu, échappant à tous les formatages qui le menaçaient, inventant quelque chose de sincèrement foutraque.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Bien vu et hilarant.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Jef Marcadé
La première réalisation de Laetitia Dosch est une pure comédie de situations, inspirée d’évènements réels. Le pari de la vivacité et d’une certaine drôlerie est tenu. La pléthore de thèmes contemporains abordés en dilue pourtant la force satirique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Damien Leblanc
La cinéaste réussit par là une œuvre autant attachante que déroutante qui nous rappelle que l’humanité gagnerait à envisager les animaux comme des personnes à part entière et non comme des objets à asservir, histoire que les nombreuses crises planétaires soient à l’avenir appréhendées avec davantage de sérénité et d’harmonie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Aussi singulier que stimulant.
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
À force de multiplier les registres et les pistes narratives (les relations d’Avril avec un jeune voisin maltraité et avec un dresseur incarné par Jean-Pascal Zadi s’ajoutent à la tambouille), Le Procès du chien finit par ressembler à une pelote de fils emmêlés, dont chaque extrémité mène rapidement à un nœud.
Critikat.com
par Robin Vaz
Finalement, la mise en scène explore peu l’horizon burlesque qu’ouvre en principe la présence de l'animal dans le cadre policé du procès
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Foutraque, léger, sans peur du ridicule, parfois superficiel, un coup de gueule jubilatoire, une morsure dans la conscience collective, un rappel cinglant de notre responsabilité envers les autres êtres vivants.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un canidé-film, drôle et cruel, qui laisse un goût amer dans la gueule.
Libération
par Clément Colliaux
Si l’on peut apprécier la fantaisie de Lætitia Dosch-actrice, Dosch-cinéaste déploie ici une excentricité stérile, qui confond rythme comique enlevé et empilement de pitreries basses du front, assurées par des acteurs en roue libre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
À part quelques scènes vraiment drôle mettant en scène à chaque fois le chien, cette première comédie de Laëtitia Dosch ressemble à un foutraque d’invraisemblances et de blagues qui tombent à plat.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
Le Procès du chien regorge d’une humanité admirable qui ne tombe jamais dans la mièvrerie.
CinemaTeaser
Si le récit semble s’encombrer de détours, d’apartés plus ou moins à-propos – dont une histoire de jeune garçon maltraité – Le Procès du chien ne perd jamais la petite musique qui fait tout son charme.
Elle
Un film loufoque et philosophique.
Femme Actuelle
C'est fin drôle, moderne et plein de charme.
L'Humanité
Pour son premier long métrage en tant que réalisatrice, elle partage l’affiche avec Kodi, un griffon fauve lauréat de la Palm Dog à Cannes. « Dramédie » aux couleurs de bonbon anglais, le Procès du chien interroge la redéfinition du statut de l’animal dans un contexte de montée du populisme d’extrême droite en Suisse.
La Croix
Autour de Laetita Dosch brille toute une constellation d’acteurs formidables : François Damiens (Dariuch), Anne Dorval (l’avocate générale d’extrême droite), Mathieu Demy (le juge dépassé), Tom Fiszelson (le petit voisin punk et maltraité d’Avril), ainsi que Jean-Pascal Zadi en éthologue qui décrypte le comportement de Cosmos pour l’audience et Avril.
Le Journal du Dimanche
C'est original, barré, touchant et porté par un casting convaincant.
Le Parisien
Petite merveille de premier film qui connaît, depuis sa sélection à Cannes en mai, un grand succès dans les festivals, cette comédie sociale, canine et féministe, première réalisation de la comédienne Lætitia Dosch, distille un humour raccord avec celui de son autrice - qui joue également le rôle d’Avril.
Les Echos
Un humour est dévastateur.
Les Inrockuptibles
À cheval entre la fable, la comédie et le film social, "Le Procès du chien" se nourrit intelligemment de l’esprit décalé de son autrice, qui libère son récit et ses personnages de toutes cases prédéfinies.
Marie Claire
Une comédie déroutante, philosophique et barrée. Et une dentelle d'écriture.
Ouest France
Une comédie complètement loufoque, un peu brouillonne, mais qui a indéniablement du chien.
Sud Ouest
La comédienne Laetitia Dosch signe une comédie loufoque, inventive, percutante.
Télé 2 semaines
Laetitia Dosch signe un délire joyeusement surréaliste qui, au-delà de l'humour, pose des questions de fond sur la responsabilité.
Télé Loisirs
Une production atypique, ambitieuse et en tout point réussie.
Télérama
Pour sa première réalisation, l’actrice Laetitia Dosch signe une comédie philosophico-poilante pas si absurde.
Voici
Très drôle, Le Procès du chien est aussi bouleversant, car il soulève des questions essentielles. A ne pas rater !
L'Obs
La justice spectacle, le spécisme, le féminisme à double vitesse, le cynisme des uns, la naïveté des autres et le sens commun qui se perd : Dosch s’amuse de la folie de notre époque dans une comédie farfelue et formellement foutraque, pleine de doux dingues (Zadi en maître-chien sensible, François Damiens avec les cheveux de Philippe Garrel).
Le Figaro
L’actrice Laetitia Dosch passe derrière la caméra avec une fable sympathique et bon enfant. Si le début est mordant, la suite ronronne malheureusement.
Le Monde
Ici, désirs de pédagogie et de clarté se percutent, ouvrant sur une grande dissertation juridico-philosophique : qui est le chien pour l’homme ? Dans son grand brouillon, le film finit par ne ressembler à rien de connu, échappant à tous les formatages qui le menaçaient, inventant quelque chose de sincèrement foutraque.
Le Point
Bien vu et hilarant.
Les Fiches du Cinéma
La première réalisation de Laetitia Dosch est une pure comédie de situations, inspirée d’évènements réels. Le pari de la vivacité et d’une certaine drôlerie est tenu. La pléthore de thèmes contemporains abordés en dilue pourtant la force satirique.
Première
La cinéaste réussit par là une œuvre autant attachante que déroutante qui nous rappelle que l’humanité gagnerait à envisager les animaux comme des personnes à part entière et non comme des objets à asservir, histoire que les nombreuses crises planétaires soient à l’avenir appréhendées avec davantage de sérénité et d’harmonie.
Télé 7 Jours
Aussi singulier que stimulant.
Cahiers du Cinéma
À force de multiplier les registres et les pistes narratives (les relations d’Avril avec un jeune voisin maltraité et avec un dresseur incarné par Jean-Pascal Zadi s’ajoutent à la tambouille), Le Procès du chien finit par ressembler à une pelote de fils emmêlés, dont chaque extrémité mène rapidement à un nœud.
Critikat.com
Finalement, la mise en scène explore peu l’horizon burlesque qu’ouvre en principe la présence de l'animal dans le cadre policé du procès
Dernières Nouvelles d'Alsace
Foutraque, léger, sans peur du ridicule, parfois superficiel, un coup de gueule jubilatoire, une morsure dans la conscience collective, un rappel cinglant de notre responsabilité envers les autres êtres vivants.
Le Dauphiné Libéré
Un canidé-film, drôle et cruel, qui laisse un goût amer dans la gueule.
Libération
Si l’on peut apprécier la fantaisie de Lætitia Dosch-actrice, Dosch-cinéaste déploie ici une excentricité stérile, qui confond rythme comique enlevé et empilement de pitreries basses du front, assurées par des acteurs en roue libre.
aVoir-aLire.com
À part quelques scènes vraiment drôle mettant en scène à chaque fois le chien, cette première comédie de Laëtitia Dosch ressemble à un foutraque d’invraisemblances et de blagues qui tombent à plat.