Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
38 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Un bijou de justesse et de sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Léo Ortuno
Louise Courvoisier filme son Jura natal pour nous conter une épopée agricole dotée d’un charme fou. Vingt Dieux est un triple récit de première fois, pour sa réalisatrice, ses comédiens et son personnage principal. Moderne et rustique, local et universel, elle réussit son affinage avec brio.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Totone ce héros incarne une jeunesse enracinée. Pas prisonnière, non : attachée ! Ses liens à la terre ne l’étouffent pas, ils le nourrissent, lui donnent un sens. Louise Courvoisier filme tout cela avec respect. Un monde qu’elle connaît et qu’elle chérit.
La Tribune Dimanche
par Aurélien Cabrol
Vingt Dieux ne cesse ainsi d’épater son spectateur, heureux d’être si bien traité par un film rabelaisien jamais vulgaire. On se dit qu’une cinéaste est née.
La critique complète est disponible sur le site La Tribune Dimanche
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le travail agricole, les gestes artisanaux, la fabrication du comté : tout est célébré, observé, avec une précision minutieuse. La vie aussi. L’amour, la camaraderie, les bals, les bagarres et les chevauchées à moto.
Le Parisien
par Catherine Balle
Brillant, totalement maîtrisé.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
A travers l'histoire d'un jeune homme qui fabrique un fromage, Louise Courvoisier réussi un premier film drôle et vigoureux, sur fond de paysages grandioses. Une bouffée d'air frais.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ouest France
par Pascale Vergereau
Des acteurs non professionnels portent ce portrait, à la fois tendre et rugueux, d'une jeunesse en milieu rural, magnifié par le format cinémascope.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Vibrant et savoureux.
Abus de Ciné
par Amande Dionne
Si on a l’impression d’en apprendre autant sur cet environnement, c’est parce que la réalisatrice, Louise Courvoisier, sait de quoi elle parle. [...] On comprend mieux, alors, d’où vient tout l’amour qui circule dans ce film tendre, sincère, et drôle tout en réussissant à montrer la dureté de la vie rurale et des situations traversées par les personnages.
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Idéalement interprétés par des acteurs non professionnels […], les personnages jouent le drame sans pathos, l’humour sans truculence et la tendresse sans joliesse.
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Sans imposer un quelconque discours hasardeux et sans fantasmer la vie paysanne façon Epinal, Louise Courvoisier nous entraîne dans ce récit d’apprentissage émouvant, bercé par la lumière dorée aindinoise, dont on ressort le cœur serré, la larme à l’œil et le sourire aux lèvres.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Noëlle Girès
La réalisatrice filme ses personnages tambour battant tout en prenant le temps de nous laisser contempler les paysages […] Autour de ce récit se dégage alors une fraîcheur incomparable mêlée de drôlerie et de mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Diverto
par La Rédaction
Lancé à cent à l’heure, aussi touchant que drôle, le film se déguste comme un bon fromage, magnifié par la beauté du Jura, dont est originaire la réalisatrice.
La critique complète est disponible sur le site Diverto
Elle
par Françoise Delbecq
Authentique, cette plongée dans le monde paysan est d'une énergie folle.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un premier film convaincant, dans le registre du drame social.
Franceinfo Culture
par Ariane Combes-Savary
Un portrait drôle et poétique de la jeunesse rurale.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Konbini
par Manon Marcillat
Louise Courvoisier s'intéresse à des enjeux ultra locaux mais parvient à capturer une essence universelle dans un premier film qui sonne vrai.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
N’en déplaise aux esprits chagrins, le cinéma français sait produire des œuvres à la fois exigeantes et populaires, loin des fameux appartements haussmanniens parisiens. Un splendide plan-séquence initial donne d’emblée le ton en promenant la caméra dans une fête rurale. Et déjà pointe l’attachement profond de la cinéaste à son territoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Une comédie loufoque et tendre, parfaitement maîtrisée, qui révèle le talent de sa jeune réalisatrice.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un petit bijou.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Il y a là des gueules, un accent, des expressions et une touchante vérité se dégageant de chaque plan sans que l’ensemble ne cède au folklorisme ou à la sensiblerie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
Vingt dieux nous dit que le monde a mieux à faire que de ressasser les vieilles haines. A l’échelle du village, le film est une ode à la débrouille et à la liberté sexuelle, du moment que personne n’y laisse des plumes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Réalisé en famille avec ses deux frères, sa mère et sa sœur, Vingt Dieux fait mouche grâce au naturel d'acteurs non professionnels, choisis en casting sauvage.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Il y a ici quelque chose de vibrant, de mouvant, de galvanisant, un humanisme sans sentimentalisme, chaleureux, qui procure un plaisir de cinéma intense.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
A l’image de ses chevaux qui s’ébrouent et se lancent au galop au détour d’un plan, ou de cette vache qui semble montrer une voie vers le bonheur simple, Vingt Dieux fait confiance à l’entièreté de l’environnement de Totone pour lui permettre de s’élever, pas socialement mais humainement, pas de beaucoup mais juste assez pour décocher in extremis un franc sourire de vrai héros contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
La dernière bonne nouvelle de l’année du côté du cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Thierry Chèze
Mais la plus grande force de Vingt dieux et de son casting de comédiens non professionnels tous irrésistibles est qu’en dépit de tous les obstacles placés sur la route de son jeune héros, il ne se départit jamais de son aspect lumineux, joyeux, exalté. Un Petit paysan à la sauce Dumont, la foi en l'humanité en plus !
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Serge Kaganski
Avec "Vingt dieux", le réalisme français retrouve de l'éclat, quelque part entre Pagnol et Pialat.
Télérama
par Jacques Morice
Une fable initiatique tendre et fruitée, entre comédie et néo-western.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Version Femina
par Hadrien Machart
Le premier long-métrage de Louise Courvoisier, primé au Festival de Cannes et à celui d’Angoulême, est l’une de ces pépites qui touchent en plein cœur. Porté par l’énergie désarmante du jeune Clément Faveau, il trouve sa grâce dans la peinture d’une ruralité âpre et joyeuse, et dans la détermination d’une jeunesse bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Version Femina
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un récit initiatique qui conjugue avec efficacité et sans artifices générosité et authenticité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Louise Bertin
Si le scénario s'avère légèrement balisé, le film trouve sa singularité dans sa manière d'observer les personnages avec une distance qui permet tout à la fois l’intimité et la pudeur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Guillaume Loison
Plus qu’une ode un peu déglinguée à la gloire du terroir, c’est la camaraderie émanant de ce petit foyer humain qui fait le charme de « Vingt Dieux ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le spectateur ne peut qu’être touché par la maladroite romance s’épanouissant dans le fourrage et hypnotisé par la coagulation du lait dans son chaudron fumant. Premier long-métrage qui aurait sans doute mérité un affinage plus prolongé, cette modeste fresque n’en demeure pas moins une très jolie surprise.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Tourné dans le village natal de la réalisatrice, "Vingt dieux" brosse un portrait tendre et malicieux de la jeunesse rurale jurassienne, dans un style naturaliste bienveillant qui évoque le cinéma humaniste de Loach. Un premier film aussi charmant que fragile.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Nice-Matin
par Aurore Harrouis
La jeune réalisatrice vise droit au cœur avec cette aventure fromagère colorée d’amours purs naissants. Et ça se savoure comme du petit-lait…
La critique complète est disponible sur le site Nice-Matin
Télé Loisirs
par S.O.
Un premier film inégal qui, porté par des acteurs non professionnels criant de vérité, nous dit tout sur la fabrication du comté.
20 Minutes
Un bijou de justesse et de sensibilité.
Bande à part
Louise Courvoisier filme son Jura natal pour nous conter une épopée agricole dotée d’un charme fou. Vingt Dieux est un triple récit de première fois, pour sa réalisatrice, ses comédiens et son personnage principal. Moderne et rustique, local et universel, elle réussit son affinage avec brio.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Totone ce héros incarne une jeunesse enracinée. Pas prisonnière, non : attachée ! Ses liens à la terre ne l’étouffent pas, ils le nourrissent, lui donnent un sens. Louise Courvoisier filme tout cela avec respect. Un monde qu’elle connaît et qu’elle chérit.
La Tribune Dimanche
Vingt Dieux ne cesse ainsi d’épater son spectateur, heureux d’être si bien traité par un film rabelaisien jamais vulgaire. On se dit qu’une cinéaste est née.
Le Dauphiné Libéré
Le travail agricole, les gestes artisanaux, la fabrication du comté : tout est célébré, observé, avec une précision minutieuse. La vie aussi. L’amour, la camaraderie, les bals, les bagarres et les chevauchées à moto.
Le Parisien
Brillant, totalement maîtrisé.
Les Echos
A travers l'histoire d'un jeune homme qui fabrique un fromage, Louise Courvoisier réussi un premier film drôle et vigoureux, sur fond de paysages grandioses. Une bouffée d'air frais.
Ouest France
Des acteurs non professionnels portent ce portrait, à la fois tendre et rugueux, d'une jeunesse en milieu rural, magnifié par le format cinémascope.
Télé 7 Jours
Vibrant et savoureux.
Abus de Ciné
Si on a l’impression d’en apprendre autant sur cet environnement, c’est parce que la réalisatrice, Louise Courvoisier, sait de quoi elle parle. [...] On comprend mieux, alors, d’où vient tout l’amour qui circule dans ce film tendre, sincère, et drôle tout en réussissant à montrer la dureté de la vie rurale et des situations traversées par les personnages.
Cahiers du Cinéma
Idéalement interprétés par des acteurs non professionnels […], les personnages jouent le drame sans pathos, l’humour sans truculence et la tendresse sans joliesse.
CinemaTeaser
Sans imposer un quelconque discours hasardeux et sans fantasmer la vie paysanne façon Epinal, Louise Courvoisier nous entraîne dans ce récit d’apprentissage émouvant, bercé par la lumière dorée aindinoise, dont on ressort le cœur serré, la larme à l’œil et le sourire aux lèvres.
Culturopoing.com
La réalisatrice filme ses personnages tambour battant tout en prenant le temps de nous laisser contempler les paysages […] Autour de ce récit se dégage alors une fraîcheur incomparable mêlée de drôlerie et de mélancolie.
Diverto
Lancé à cent à l’heure, aussi touchant que drôle, le film se déguste comme un bon fromage, magnifié par la beauté du Jura, dont est originaire la réalisatrice.
Elle
Authentique, cette plongée dans le monde paysan est d'une énergie folle.
Femme Actuelle
Un premier film convaincant, dans le registre du drame social.
Franceinfo Culture
Un portrait drôle et poétique de la jeunesse rurale.
Konbini
Louise Courvoisier s'intéresse à des enjeux ultra locaux mais parvient à capturer une essence universelle dans un premier film qui sonne vrai.
L'Humanité
N’en déplaise aux esprits chagrins, le cinéma français sait produire des œuvres à la fois exigeantes et populaires, loin des fameux appartements haussmanniens parisiens. Un splendide plan-séquence initial donne d’emblée le ton en promenant la caméra dans une fête rurale. Et déjà pointe l’attachement profond de la cinéaste à son territoire.
La Croix
Une comédie loufoque et tendre, parfaitement maîtrisée, qui révèle le talent de sa jeune réalisatrice.
Le Figaro
Un petit bijou.
Le Journal du Dimanche
Il y a là des gueules, un accent, des expressions et une touchante vérité se dégageant de chaque plan sans que l’ensemble ne cède au folklorisme ou à la sensiblerie.
Le Monde
Vingt dieux nous dit que le monde a mieux à faire que de ressasser les vieilles haines. A l’échelle du village, le film est une ode à la débrouille et à la liberté sexuelle, du moment que personne n’y laisse des plumes.
Le Point
Réalisé en famille avec ses deux frères, sa mère et sa sœur, Vingt Dieux fait mouche grâce au naturel d'acteurs non professionnels, choisis en casting sauvage.
Les Inrockuptibles
Il y a ici quelque chose de vibrant, de mouvant, de galvanisant, un humanisme sans sentimentalisme, chaleureux, qui procure un plaisir de cinéma intense.
Libération
A l’image de ses chevaux qui s’ébrouent et se lancent au galop au détour d’un plan, ou de cette vache qui semble montrer une voie vers le bonheur simple, Vingt Dieux fait confiance à l’entièreté de l’environnement de Totone pour lui permettre de s’élever, pas socialement mais humainement, pas de beaucoup mais juste assez pour décocher in extremis un franc sourire de vrai héros contemporain.
Marianne
La dernière bonne nouvelle de l’année du côté du cinéma français.
Première
Mais la plus grande force de Vingt dieux et de son casting de comédiens non professionnels tous irrésistibles est qu’en dépit de tous les obstacles placés sur la route de son jeune héros, il ne se départit jamais de son aspect lumineux, joyeux, exalté. Un Petit paysan à la sauce Dumont, la foi en l'humanité en plus !
Transfuge
Avec "Vingt dieux", le réalisme français retrouve de l'éclat, quelque part entre Pagnol et Pialat.
Télérama
Une fable initiatique tendre et fruitée, entre comédie et néo-western.
Version Femina
Le premier long-métrage de Louise Courvoisier, primé au Festival de Cannes et à celui d’Angoulême, est l’une de ces pépites qui touchent en plein cœur. Porté par l’énergie désarmante du jeune Clément Faveau, il trouve sa grâce dans la peinture d’une ruralité âpre et joyeuse, et dans la détermination d’une jeunesse bouleversante.
aVoir-aLire.com
Un récit initiatique qui conjugue avec efficacité et sans artifices générosité et authenticité.
Critikat.com
Si le scénario s'avère légèrement balisé, le film trouve sa singularité dans sa manière d'observer les personnages avec une distance qui permet tout à la fois l’intimité et la pudeur.
L'Obs
Plus qu’une ode un peu déglinguée à la gloire du terroir, c’est la camaraderie émanant de ce petit foyer humain qui fait le charme de « Vingt Dieux ».
La Voix du Nord
Le spectateur ne peut qu’être touché par la maladroite romance s’épanouissant dans le fourrage et hypnotisé par la coagulation du lait dans son chaudron fumant. Premier long-métrage qui aurait sans doute mérité un affinage plus prolongé, cette modeste fresque n’en demeure pas moins une très jolie surprise.
Les Fiches du Cinéma
Tourné dans le village natal de la réalisatrice, "Vingt dieux" brosse un portrait tendre et malicieux de la jeunesse rurale jurassienne, dans un style naturaliste bienveillant qui évoque le cinéma humaniste de Loach. Un premier film aussi charmant que fragile.
Nice-Matin
La jeune réalisatrice vise droit au cœur avec cette aventure fromagère colorée d’amours purs naissants. Et ça se savoure comme du petit-lait…
Télé Loisirs
Un premier film inégal qui, porté par des acteurs non professionnels criant de vérité, nous dit tout sur la fabrication du comté.