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Niki de St Phalle interprétée par Charlotte Le Bon, magnifique et rayonnante dans son rôle, est hantée par son enfance, victime d'inceste. Elle trouve dans l'art, un éxecutoire de cette période difficile. Dommage que ses œuvres ne se divulguent pas à l'écran.
Un film important dans ce qu’il véhicule, très subtilement réalisé avec des acteurs talentueux. A voir !
Excellent...acteurs incroyables.une reflexion sur lart et la psychiatrie dont on resort vraiment chamboules
Una actrice principale très bien , les autres comédiens également bon dans l’ensemble. Plusieurs sujet abordés dans ce biopic , l'inceste , la folie , la creation comme exutoire. Bon film , bien réalisé , bonne surprise.
Incroyable actrice pour un destin incroyable. J'ai tout adoré, le jeu sublime de Charlotte plein de vérités, de sensibilités, de cris, de profondeur ; puissante. Bravo ! Effectivement pas une seule de ses œuvres ; tout est concentré sur la profondeur de son âme. J'ai eu la chance de voir la magnifique exposition à Toulouse mais j'étais bien loin de m'imaginer la réalité d'une artiste touchée en plein cœur et en pleine âme à ce point. Un magnifique film que je recommande pour sa vérité, sa cruauté, sa beauté et le jeu parfait des acteurs.
La mise en scène est belle et soignée, l'actrice parfaite et le récit intelligent, le processus de création passionnant et le tout bien mené. Il reste cependant une petite frustration, on aimerait voir son travail mais le parti pris est défendable. L'ensemble est néanmoins très beau.
Que ça fait du bien de voir d autres comédiens que ceux qu on a marre de voir toujours à l écran. Bien sûr Charlotte le Bon est incroyable de justesse mais elle est entourée par de grands talents. La mise e´ scène est inspirée, soignée, innovante. Bravo !
Très bien interpréte par Chalrlotte Lebon
Le film est très stressant, ou plutôt c'est sa vie qui l'est...
On reste sur notre faim car on ne voit pas ses oeuvres et le film s'arrête qyand sa carrière s'envole
Cependant, bien realisé, instructif, bon exemple de psychotrauma et d'art therapie
Le film est très stressant, ou plutôt c'est sa vie qui l'est...
On reste sur notre faim car on ne voit pas ses oeuvres et le film s'arrête qyand sa carrière s'envole
Cependant, bien realisé, instructif, bon exemple de psychotrauma et d'art therapie
Ai vu « Niki » premier film de la comédienne Céline Sallette. « Niki » est un biopic assez original sur la jeunesse de la plasticienne Niki de Saint-Phalle qui se cherche artistiquement et stylistiquement tout en se partageant entre son mari, ses enfants et des séjours en hôpital psychiatrique.
spoiler:
Moi qui ne vais jamais souvent dans les musées j’ai été saisi par les larmes lors de la dernière retrospective de l’artiste à Paris (2014) devant les autels sur lesquels elle tirait à la carabine pour faire éclater des poches de peinture, datant de 1970… d’une puissance effroyable ces installations m’ont ému au plus profond de mon être spoiler:
. Céline Sallette n’a pas obtenu l’autorisation de montrer les oeuvres de l’artiste, cette contrainte l’a obligée à une mise en scène astucieuse et originale et de mettre la caméra à la place du tableau où de l’installation, ce qui fait que le spectateur voit l’artiste en pleine création au premier plan et au plus près de son exaltation, de sa fièvre. La réalisatrice utilise le split-screen avec ingéniosité et la construction du film en trois chapitres thématiques si elle n’a rien de novateur est efficace. Charlotte Le Bon n’a ni postiche, ni prothèses en latex pour ressembler de près où de loin à Niki de Saint-Phalle et c’est tant mieux. Cela ne l’empêche pas de déployer un jeu très intense et toujours crédible, la palette des affects à interpréter étant très large, de la prostration à l’euphorie et de la ferveur à la fureur. Nous voyons défiler trop brièvement mais avec intérêt le sculpteur Jean Tinguely (parfait Damien Bonnard), la dessinatrice Eva Aeppli (Judith Chemla très intense comme à son habitude) et le peintre-sculpteur Arman (Hugo Brunswick). L’idée géniale du film est spoiler:
de s’arrêter là où tout commence en février 1961, lorsque l’artiste trouve enfin son style et son mode d’expression grâce à une carabine spoiler:
. Un vrai film singulier à tous les niveaux.
Moi qui ne vais jamais souvent dans les musées j’ai été saisi par les larmes lors de la dernière retrospective de l’artiste à Paris (2014) devant les autels sur lesquels elle tirait à la carabine pour faire éclater des poches de peinture, datant de 1970… d’une puissance effroyable ces installations m’ont ému au plus profond de mon être spoiler:
. Céline Sallette n’a pas obtenu l’autorisation de montrer les oeuvres de l’artiste, cette contrainte l’a obligée à une mise en scène astucieuse et originale et de mettre la caméra à la place du tableau où de l’installation, ce qui fait que le spectateur voit l’artiste en pleine création au premier plan et au plus près de son exaltation, de sa fièvre. La réalisatrice utilise le split-screen avec ingéniosité et la construction du film en trois chapitres thématiques si elle n’a rien de novateur est efficace. Charlotte Le Bon n’a ni postiche, ni prothèses en latex pour ressembler de près où de loin à Niki de Saint-Phalle et c’est tant mieux. Cela ne l’empêche pas de déployer un jeu très intense et toujours crédible, la palette des affects à interpréter étant très large, de la prostration à l’euphorie et de la ferveur à la fureur. Nous voyons défiler trop brièvement mais avec intérêt le sculpteur Jean Tinguely (parfait Damien Bonnard), la dessinatrice Eva Aeppli (Judith Chemla très intense comme à son habitude) et le peintre-sculpteur Arman (Hugo Brunswick). L’idée géniale du film est spoiler:
de s’arrêter là où tout commence en février 1961, lorsque l’artiste trouve enfin son style et son mode d’expression grâce à une carabine spoiler:
. Un vrai film singulier à tous les niveaux.
Film assez prenant étonnamment et touchant, de l'histoire d'une femme ayant des problèmes psy suite à des abus dans sa jeunesse
Très bon biopic sur la naissance artistique d'une femme qui marqua son temps et notre espace de son talent. C'est bien réalisé et interprété et bien qu'ils n'aient pas eu les droits de présenter les œuvres à l'écran, le processus créatif est bien rendu. Mais c'est en même temps sa limite car qui ne connait pas ses créations sort de la salle un rien déçu et frustré.
Un beau manifeste féministe en tout cas.
Un beau manifeste féministe en tout cas.
La Justesse et l'nterprétation de l'actrice principale sauvent un peu le film qui s'avère ennuyeux et sans grand intérêt.
J'ai apprécié ce biopic qui nous plonge dans l'émergence artistique de Niki de Saint Phalle, comment renaître grâce à l'art après un traumatisme... Justement ce biopic évite les clichés. On s'attache à ce personnage et Charlotte Le bon est très touchante de vérité. On a juste envie en sortant de la salle d'aller découvrir les œuvres de l'artiste !
De retour du magnifique Jardin des Tarots au nord de Rome, j'avais envie de connaitre l'artiste.
J'ai été un peu déçu par le film.
Ne voir aucune œuvre est très frustrant.
Et donc le film se concentre sur la névrose d'une femme ... c'est bien interprété ... mais vite fatiguant.
J'ai été un peu déçu par le film.
Ne voir aucune œuvre est très frustrant.
Et donc le film se concentre sur la névrose d'une femme ... c'est bien interprété ... mais vite fatiguant.
Charlotte Le Bon est de presque tous les plans. C'est très bien filmé. C'est l'histoire d'une émancipation des traumas, du patriarcat et le parcours vers la rédemption par l'art. C'est un très bon premier film.. C'est vrai que les oeuvres qu'on ne voit pas manquent quand même pas mal.
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