Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Un biopic formidable.
La critique complète est disponible sur le site Elle
20 Minutes
par Caroline Vié
Un parti pris qu’embrasse la performance intense et sensible de Charlotte Le Bon dont la complicité avec la cinéaste déteint sur le film. Sans qu’on voie le résultat, elle donne l’impression d’assister à la magie d’une création salvatrice.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Du cinéma en majesté.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Charlotte Le Bon, comme son modèle, est intense, intuitive, viscérale.
Femme Actuelle
par La Rédaction
La beauté de l'image sert l'utilité du propos, qui peut aider d'autres victimes à trouver leur propre clé.
Franceinfo Culture
par Odile Morain
La mise en scène de Céline Sallette suit avec délicatesse l'éclosion progressive de ce papillon. Tel un kaléidoscope dans lequel plusieurs reflets se superposent, la véritable Niki se dévoile pleinement grâce aux artistes du mouvement du Nouveau réalisme qu'elle côtoie dans l'impasse Ronsin, à Paris.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Une sacrée nana, Niki de Saint Phalle (1930-2002) : Céline Sallette raconte la naissance d’une artiste, féministe avant-gardiste qui utilisait l’art comme catharsis et moyen d’expression politique. Charlotte Le Bon, comme son modèle, est intense, intuitive, viscérale.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Céline Sallette brosse avec fougue et brio l’éclosion artistique de Niki de Saint Phalle, étonnante Charlotte Le Bon.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Renaud Baronian
Ce portrait aussi passionnant est transcendé par celle qui interprète le rôle-titre : Charlotte Le Bon livre une incarnation si électrisante et émouvante qu’elle sonne comme le plus bel hommage que l’on pouvait rendre à l’artiste.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
La comédienne Céline Sallette passe derrière la caméra pour évoquer la personnalité complexe de la plasticienne Niki de Saint Phalle. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un biopic inspiré sur Niki de Saint Phalle
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par J.H
Certaines scènes sont dures, parce que la misogynie, les crises suicidaires, les violences sexuelles, et la négation de celles-ci, le sont. D'autres sont bouleversantes de poésie, grâce à ses choix de réalisation. Finalement, nul besoin de connaître, adorer ou avoir en horreur ses peintures
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un portrait psychologique un peu sage mais instructif, dans une reconstitution léchée des années 1950-60.
Positif
par Frédérique Ballion
La présence lumineuse de Charlotte Le Bon amène une sensibilité visuelle saisissante à ce portrait de femme.
Sud Ouest
par Stéphane C. Jonathan
Un film dense et puissant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
En même temps qu'à la naissance émouvante d'une artiste majeure du 20ème siècle, on assiste à celle d'une très prometteuse réalisatrice.
Télé Loisirs
par C.M.
Une réussite à ne pas manquer, et ce malgré quelques lenteurs.
Voici
par Daniel Bois
Un point de vue singulier et fort, auquel s'ajoute l'interprétation de Charlotte Le Bon, toujours sur un fil émotionnel terrassant.
L'Obs
par Isabelle Danel
Charlotte Le Bon, fantasque et torturée, est de tous les plans, dans des décors de plus en plus lumineux et colorés. Il y a ici, parfois contraint ou trop sage, un élan vrai pour narrer l’éclatement et les éclats d’une vie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Niki manque cruellement des tableaux et sculptures, dont Céline Sallette n’a hélas pas obtenu les droits de reproduction. Mais la cinéaste en tire une force : faute d’œuvres, c’est une artiste à l’œuvre qu’elle filme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par M. Jo.
En choisissant de filmer « du point de vue des œuvres », la caméra s’accroche de manière assoiffée au visage de son actrice, Charlotte Le Bon, impressionnante de justesse et qui livre à la caméra son visage traversé par une météo d’affects imprévisibles. De là, surgit une belle idée : si on ne peut pas filmer les œuvres, alors le visage d’une femme tiendra lieu de toile vierge.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Céline Sallette stimule notre imaginaire et nous donne envie de redécouvrir l'œuvre monumentale d'une des plus grandes artistes du siècle.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Jef Marcadé
S’appuyant sur le jeu des acteurs et une mise en scène économe de ses effets, Céline Salette propose une évocation sensible, voire impressionniste des difficiles années de formation de Niki de Saint-Phalle, avant la reconnaissance artistique.
Les Inrockuptibles
par Maud Tenda
Céline Sallette réussit le pari du biopic, car Niki nous laisse dans l’âme une certaine empreinte de l’artiste et le désir de s’y intéresser davantage.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Mettre en scène le destin passionnant de Niki de Saint-Phalle sur près de dix ans de sa vie est une expérience extraordinaire de cinéma. Le premier film de Céline Sallette ne résiste pas toujours à des maladresses scénaristiques.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Si la mise en scène s’attache à décrire le processus créatif, on ne voit jamais les œuvres ! Le scénario reste à la surface, suggérant l’émulation entre Niki et ses contemporains (Tinguely, Mitchell, Arman…) et fragmenté à l’image de la mémoire qui fait défaut à l’héroïne, incarnée avec aplomb par Charlotte Le Bon.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Laura Tuillier
Il y a dans ce contrechamp impossible comme un aveu de la paralysie dans laquelle est enfermée Niki : la déférence du film vis-à-vis de son héroïne n’autorise pour elle qu’un horizon paradoxalement très limité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Damien Leblanc
N’ayant pu utiliser les œuvres de Niki de Saint Phalle, la cinéaste se concentre ici sur un portrait psychologique intense dans lequel la comédienne s’investit à corps perdu. Mais à force de coups d’éclat et de cris célébrant l’élan créatif, cet affranchissement par l’art en devient trop systématique et cadenassé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
Faute de chambouler la matière même d’un film sagement chronologique, la nécessité de dynamiter les codes reste ici pure théorie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
Un biopic formidable.
20 Minutes
Un parti pris qu’embrasse la performance intense et sensible de Charlotte Le Bon dont la complicité avec la cinéaste déteint sur le film. Sans qu’on voie le résultat, elle donne l’impression d’assister à la magie d’une création salvatrice.
CinemaTeaser
Du cinéma en majesté.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Charlotte Le Bon, comme son modèle, est intense, intuitive, viscérale.
Femme Actuelle
La beauté de l'image sert l'utilité du propos, qui peut aider d'autres victimes à trouver leur propre clé.
Franceinfo Culture
La mise en scène de Céline Sallette suit avec délicatesse l'éclosion progressive de ce papillon. Tel un kaléidoscope dans lequel plusieurs reflets se superposent, la véritable Niki se dévoile pleinement grâce aux artistes du mouvement du Nouveau réalisme qu'elle côtoie dans l'impasse Ronsin, à Paris.
Le Dauphiné Libéré
Une sacrée nana, Niki de Saint Phalle (1930-2002) : Céline Sallette raconte la naissance d’une artiste, féministe avant-gardiste qui utilisait l’art comme catharsis et moyen d’expression politique. Charlotte Le Bon, comme son modèle, est intense, intuitive, viscérale.
Le Figaro
Céline Sallette brosse avec fougue et brio l’éclosion artistique de Niki de Saint Phalle, étonnante Charlotte Le Bon.
Le Parisien
Ce portrait aussi passionnant est transcendé par celle qui interprète le rôle-titre : Charlotte Le Bon livre une incarnation si électrisante et émouvante qu’elle sonne comme le plus bel hommage que l’on pouvait rendre à l’artiste.
Les Echos
La comédienne Céline Sallette passe derrière la caméra pour évoquer la personnalité complexe de la plasticienne Niki de Saint Phalle. Une réussite.
Marianne
Un biopic inspiré sur Niki de Saint Phalle
Marie Claire
Certaines scènes sont dures, parce que la misogynie, les crises suicidaires, les violences sexuelles, et la négation de celles-ci, le sont. D'autres sont bouleversantes de poésie, grâce à ses choix de réalisation. Finalement, nul besoin de connaître, adorer ou avoir en horreur ses peintures
Ouest France
Un portrait psychologique un peu sage mais instructif, dans une reconstitution léchée des années 1950-60.
Positif
La présence lumineuse de Charlotte Le Bon amène une sensibilité visuelle saisissante à ce portrait de femme.
Sud Ouest
Un film dense et puissant.
Télé 7 Jours
En même temps qu'à la naissance émouvante d'une artiste majeure du 20ème siècle, on assiste à celle d'une très prometteuse réalisatrice.
Télé Loisirs
Une réussite à ne pas manquer, et ce malgré quelques lenteurs.
Voici
Un point de vue singulier et fort, auquel s'ajoute l'interprétation de Charlotte Le Bon, toujours sur un fil émotionnel terrassant.
L'Obs
Charlotte Le Bon, fantasque et torturée, est de tous les plans, dans des décors de plus en plus lumineux et colorés. Il y a ici, parfois contraint ou trop sage, un élan vrai pour narrer l’éclatement et les éclats d’une vie.
La Croix
Niki manque cruellement des tableaux et sculptures, dont Céline Sallette n’a hélas pas obtenu les droits de reproduction. Mais la cinéaste en tire une force : faute d’œuvres, c’est une artiste à l’œuvre qu’elle filme.
Le Monde
En choisissant de filmer « du point de vue des œuvres », la caméra s’accroche de manière assoiffée au visage de son actrice, Charlotte Le Bon, impressionnante de justesse et qui livre à la caméra son visage traversé par une météo d’affects imprévisibles. De là, surgit une belle idée : si on ne peut pas filmer les œuvres, alors le visage d’une femme tiendra lieu de toile vierge.
Le Point
Céline Sallette stimule notre imaginaire et nous donne envie de redécouvrir l'œuvre monumentale d'une des plus grandes artistes du siècle.
Les Fiches du Cinéma
S’appuyant sur le jeu des acteurs et une mise en scène économe de ses effets, Céline Salette propose une évocation sensible, voire impressionniste des difficiles années de formation de Niki de Saint-Phalle, avant la reconnaissance artistique.
Les Inrockuptibles
Céline Sallette réussit le pari du biopic, car Niki nous laisse dans l’âme une certaine empreinte de l’artiste et le désir de s’y intéresser davantage.
aVoir-aLire.com
Mettre en scène le destin passionnant de Niki de Saint-Phalle sur près de dix ans de sa vie est une expérience extraordinaire de cinéma. Le premier film de Céline Sallette ne résiste pas toujours à des maladresses scénaristiques.
Le Journal du Dimanche
Si la mise en scène s’attache à décrire le processus créatif, on ne voit jamais les œuvres ! Le scénario reste à la surface, suggérant l’émulation entre Niki et ses contemporains (Tinguely, Mitchell, Arman…) et fragmenté à l’image de la mémoire qui fait défaut à l’héroïne, incarnée avec aplomb par Charlotte Le Bon.
Libération
Il y a dans ce contrechamp impossible comme un aveu de la paralysie dans laquelle est enfermée Niki : la déférence du film vis-à-vis de son héroïne n’autorise pour elle qu’un horizon paradoxalement très limité.
Première
N’ayant pu utiliser les œuvres de Niki de Saint Phalle, la cinéaste se concentre ici sur un portrait psychologique intense dans lequel la comédienne s’investit à corps perdu. Mais à force de coups d’éclat et de cris célébrant l’élan créatif, cet affranchissement par l’art en devient trop systématique et cadenassé.
Télérama
Faute de chambouler la matière même d’un film sagement chronologique, la nécessité de dynamiter les codes reste ici pure théorie.