Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Portrait au vitriol d'une famille de riches magnats [...], ce film intrigue de bout en bout par son écriture et sa mise en scène, ceci, pourtant, malgré un choix de narration maladroit qui menace d'emblée de le faire tomber comme un château de cartes.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
De fait, dans la famille Maynard, le père de famille assassine les gens à coups de fusil, pour passer le temps. Comme il est ami avec la première ministre et qu’il se met aussi dans la poche le journaliste indépendant qui l’a démasqué, tout va pour le mieux dans le monde des super-riches. Dans le nôtre, en revanche, à la vision de ce film qui ressemble à du Ruben Östlund (The Square) dévitalisé, ça reste plus dur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les réfractaires aux provocations potaches du trublion suédois, eux, risquent de trouver une fois de plus la plaisanterie un peu longue, et la satire, très convenue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Quand on est très, très riche, on fait ce qu’on veut. C’est en substance la morale de ce long métrage qui imagine les caprices d’un jeune investisseur qui séduit les puissants pour mieux écraser les plus pauvres. Cruel, bête et racoleur.
Cette fiction – se vantant dès le titre d’être une grande satire sociale sur l’impunité des ultra-riches prête à gifler les spectateur·ices en pleine figure – loupe son objectif pourtant d’au moins quelques mètres.
Il faudrait rire des goûts du père pour la chasse à l’homme (envers les pauvres, donc) ou des différents problèmes familiaux rencontrés par la mère ou la fille… au pire, on quitte la salle avant la fin, au mieux on souffle d’exaspération jusqu’au bout.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Portrait au vitriol d'une famille de riches magnats [...], ce film intrigue de bout en bout par son écriture et sa mise en scène, ceci, pourtant, malgré un choix de narration maladroit qui menace d'emblée de le faire tomber comme un château de cartes.
L'Obs
En dépit d’une dénonciation un rien surlignée, voici une fable cynique à l’humour frigorifique savamment glaçante.
Le Monde
De fait, dans la famille Maynard, le père de famille assassine les gens à coups de fusil, pour passer le temps. Comme il est ami avec la première ministre et qu’il se met aussi dans la poche le journaliste indépendant qui l’a démasqué, tout va pour le mieux dans le monde des super-riches. Dans le nôtre, en revanche, à la vision de ce film qui ressemble à du Ruben Östlund (The Square) dévitalisé, ça reste plus dur.
Télérama
Les réfractaires aux provocations potaches du trublion suédois, eux, risquent de trouver une fois de plus la plaisanterie un peu longue, et la satire, très convenue.
Les Fiches du Cinéma
Quand on est très, très riche, on fait ce qu’on veut. C’est en substance la morale de ce long métrage qui imagine les caprices d’un jeune investisseur qui séduit les puissants pour mieux écraser les plus pauvres. Cruel, bête et racoleur.
Les Inrockuptibles
Cette fiction – se vantant dès le titre d’être une grande satire sociale sur l’impunité des ultra-riches prête à gifler les spectateur·ices en pleine figure – loupe son objectif pourtant d’au moins quelques mètres.
Ouest France
Une charge contre les ultra-riches d'une lourdeur épuisante.
Première
Il faudrait rire des goûts du père pour la chasse à l’homme (envers les pauvres, donc) ou des différents problèmes familiaux rencontrés par la mère ou la fille… au pire, on quitte la salle avant la fin, au mieux on souffle d’exaspération jusqu’au bout.