Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
La première réalisation de Ninna Pálmadóttir traite de la solitude avec pudeur et distance, conjuguant économie de la forme et universalité du propos.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un joli film sans esbroufe.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
"Le Vieil homme et l’enfant", au-delà de son double récit initiatique, compose un poème sur la solitude, porté par la mélopée du déracinement, de la mélancolie de l’absence, des illusions naissantes et brisées.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Isabelle Danel
A bas bruit et presque sans aspérités (sauf une, à ne pas dévoiler), ce premier film un peu lent tient de la miniature en peinture. Un portrait d’homme désespérément bon qui repose les yeux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Jolie fable contemporaine où le personnage principal échappe aux archétypes. L
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
[Une] fable empathique sans être naïve, tendre et triste à la fois.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
Mais hélas Ninna Palmadottir botte en touche et ne questionne jamais le pourquoi de la trahison de cet enfant envers cet homme qui lui avait redonné le sourire mais conscient que ce sacrifice allait resouder ses parents. Jusque dans une scène finale maladroite qui semble tout remettre en cause. Comme si la cinéaste avait eu peur de sa propre audace. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Yohan Haddad
Le film se révèle vaguement touchant dans la peinture qu’il fait de son personnage principal, ermite déraciné à qui les moments partagés à l’improviste avec l’enfant procurent un certain vague à l’âme. Hélas, une comparaison douteuse entre la trajectoire de l’homme et le sort des migrants et un renversement de perspective final très maladroit viennent desservir l’ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
La première réalisation de Ninna Pálmadóttir traite de la solitude avec pudeur et distance, conjuguant économie de la forme et universalité du propos.
aVoir-aLire.com
Un joli film sans esbroufe.
Culturopoing.com
"Le Vieil homme et l’enfant", au-delà de son double récit initiatique, compose un poème sur la solitude, porté par la mélopée du déracinement, de la mélancolie de l’absence, des illusions naissantes et brisées.
L'Obs
A bas bruit et presque sans aspérités (sauf une, à ne pas dévoiler), ce premier film un peu lent tient de la miniature en peinture. Un portrait d’homme désespérément bon qui repose les yeux.
La Voix du Nord
Jolie fable contemporaine où le personnage principal échappe aux archétypes. L
Le Journal du Dimanche
[Une] fable empathique sans être naïve, tendre et triste à la fois.
Première
Mais hélas Ninna Palmadottir botte en touche et ne questionne jamais le pourquoi de la trahison de cet enfant envers cet homme qui lui avait redonné le sourire mais conscient que ce sacrifice allait resouder ses parents. Jusque dans une scène finale maladroite qui semble tout remettre en cause. Comme si la cinéaste avait eu peur de sa propre audace. Dommage.
Télérama
Le film se révèle vaguement touchant dans la peinture qu’il fait de son personnage principal, ermite déraciné à qui les moments partagés à l’improviste avec l’enfant procurent un certain vague à l’âme. Hélas, une comparaison douteuse entre la trajectoire de l’homme et le sort des migrants et un renversement de perspective final très maladroit viennent desservir l’ensemble.