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La réalisation et la mise en scène minimaliste, tout en restant fidèle à une belle reconstitution historique, va au bénéfice d’un film très sensible où l’on sent tout l’intérêt porté par Gianluca Jodice à son sujet.
Et grâce à l’interprétation juste, aussi bien pour Mélanie Laurent que pour Guillaume Canet, l’empathie avec ces figures honnies se crée, sans pour autant que leurs fautes soient dédouanées.
Dans "Le Déluge", Gianluca Jodice dévoile l’intimité déchirante du couple royal, transformant ces figures historiques monumentales en êtres humains vulnérables.
Entre un roi désinvolte et déchu, une reine tourmentée et manipulatrice, ce Déluge raconte à la fois avec ravissement et gravité le passage d’un dictat politique à un autre. Un film percutant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le récit s'inspire des carnets de Cléry, valet de chambre du Roi, mais préfère souvent le romanesque à la vérité historique. [...] Si l'on accepte cette liberté, alors on se laisse volontiers charmer par la beauté de l'image, la finesse des lumières et des couleurs.
Il faut passer outre l’épaisse couche de maquillage qui défigure inutilement Guillaume Canet et les dialogues au propos philosophiques souvent sentencieux pour apprécier cette évocation à la fois intime et métaphysique de la Révolution française [...].
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La singularité scénaristique du film permet à l'audacieux Guillaume Canet de jongler subtilement avec les facettes pathétiques et poignantes de son illustre personnage, et à la puissante Mélanie Laurent de dévoiler un visage inédit de la reine, aussi bouleversante en femme lucide qu'en mère courage.
La critique complète est disponible sur le site Version Femina
La tonalité discrètement émouvante des moments de complicité familiale à la lueur de la bougie et la soumission benoîte qui émane de l’excellent jeu de Guillaume Canet pourraient bien fleurer bon un argumentaire particulièrement saugrenu : le digne roi martyr de la République.
Du début à la fin du "Déluge", le réalisateur a l’air de clamer : voyez comme je suis original, notez mon audace, applaudissez ma singularité. Il en fait trop.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Gianluca Jodice signe une sorte de huis clos théâtral en multipliant les effets de lumière et les cadrages stylisés. Le tout manque un peu de souffle [...].
La critique complète est disponible sur le site Le Point
C’est donc sans jamais omettre le caractère révisionniste de l’œuvre qu’il faut regarder "Le Déluge" pour ce qu’il est : le récit d’une apocalypse, de l’anéantissement d’un monde.
Gianluca Jodice entend synthétiser via un prisme intime la désacralisation du pouvoir et de l’aura de Louis XVI. Un projet desservi par son sentimentalisme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Dernières Nouvelles d'Alsace
Plus qu’un film historique, "Le Déluge" est surtout une fable amère, dont la leçon est tristement ironique : apprendre à vivre à la veille de mourir.
Franceinfo Culture
La réalisation et la mise en scène minimaliste, tout en restant fidèle à une belle reconstitution historique, va au bénéfice d’un film très sensible où l’on sent tout l’intérêt porté par Gianluca Jodice à son sujet.
La Croix
Découpé habilement en trois parties, "Le Déluge" passionne par les portraits qu’il dresse des souverains et par leur évolution psychologique.
Le Dauphiné Libéré
Et grâce à l’interprétation juste, aussi bien pour Mélanie Laurent que pour Guillaume Canet, l’empathie avec ces figures honnies se crée, sans pour autant que leurs fautes soient dédouanées.
Les Fiches du Cinéma
Dans "Le Déluge", Gianluca Jodice dévoile l’intimité déchirante du couple royal, transformant ces figures historiques monumentales en êtres humains vulnérables.
Marianne
Résistons à la tentation de juger l'ensemble d'un œil trop idéologique, car ce beau film empreint de langueur et que guette l'effondrement le mérite.
Public
La photographie est magnifique, digne d'une peinture de maître.
Télé 7 Jours
[Un] film historique passionnant.
aVoir-aLire.com
Entre un roi désinvolte et déchu, une reine tourmentée et manipulatrice, ce Déluge raconte à la fois avec ravissement et gravité le passage d’un dictat politique à un autre. Un film percutant.
Femme Actuelle
Le récit s'inspire des carnets de Cléry, valet de chambre du Roi, mais préfère souvent le romanesque à la vérité historique. [...] Si l'on accepte cette liberté, alors on se laisse volontiers charmer par la beauté de l'image, la finesse des lumières et des couleurs.
Le Parisien
Les deux acteurs livrent une très bonne prestation au sein d’un film assez froid, âpre, nébuleux, voire vaporeux par moments.
Première
Le ridicule affleure souvent. Mais la croyance de Judice en ce qu’il fait l’empêche d’y succomber.
Télé 2 semaines
[...] un film mortifère et parfois pesant qui vaut beaucoup pour les interprétations de Guillaume Canet [...] et de Mélanie Laurent [...].
Télérama
Il faut passer outre l’épaisse couche de maquillage qui défigure inutilement Guillaume Canet et les dialogues au propos philosophiques souvent sentencieux pour apprécier cette évocation à la fois intime et métaphysique de la Révolution française [...].
Version Femina
La singularité scénaristique du film permet à l'audacieux Guillaume Canet de jongler subtilement avec les facettes pathétiques et poignantes de son illustre personnage, et à la puissante Mélanie Laurent de dévoiler un visage inédit de la reine, aussi bouleversante en femme lucide qu'en mère courage.
Cahiers du Cinéma
La tonalité discrètement émouvante des moments de complicité familiale à la lueur de la bougie et la soumission benoîte qui émane de l’excellent jeu de Guillaume Canet pourraient bien fleurer bon un argumentaire particulièrement saugrenu : le digne roi martyr de la République.
L'Obs
Pesamment théâtral, le huis clos se montre en décalage avec son dépouillement visuel et ses beaux plans crépusculaires.
Le Figaro
Du début à la fin du "Déluge", le réalisateur a l’air de clamer : voyez comme je suis original, notez mon audace, applaudissez ma singularité. Il en fait trop.
Le Journal du Dimanche
Une plongée dans l’histoire sans grand intérêt.
Le Point
Gianluca Jodice signe une sorte de huis clos théâtral en multipliant les effets de lumière et les cadrages stylisés. Le tout manque un peu de souffle [...].
Les Inrockuptibles
C’est donc sans jamais omettre le caractère révisionniste de l’œuvre qu’il faut regarder "Le Déluge" pour ce qu’il est : le récit d’une apocalypse, de l’anéantissement d’un monde.
Libération
Gianluca Jodice entend synthétiser via un prisme intime la désacralisation du pouvoir et de l’aura de Louis XVI. Un projet desservi par son sentimentalisme.
Nice-Matin
[...] un film maladroit et poussif, malgré quelques scènes intéressantes.
Ouest France
Ce film très esthétisant du cinéaste italien Gianluca Jodice raconte les derniers jours de la famille royale à la prison du Temple.