Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Dans une intrigue complexe divisée en chapitres, où se mêlent un récit d’apprentissage concentré sur quelques jours et les conséquences du bobard originel de l’adolescent, transparaît la violence des antagonismes politiques du pays dirigé par Viktor Orban.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ce long métrage à la narration audacieuse saisit avec acuité les divisions d'une société hongroise prompte à l'emballement [...].
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Portrait d’un adolescent qui, en se taisant à son oral de bac, libère une violence sociale larvée dans la Hongrie d’Orban, le film séduit quand il rend palpable l’oblitération adolescente du début de l’été, mais pêche par manque de contours et de recul sur son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Un grand film sur la propagation de la rumeur.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Une satire réjouissante des névroses de la société hongroise et, partant, des ravages du poison distillé par les extrémismes et les excès d’une certaine presse sans éthique. Un régal !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le film donne vie aux histoires individuelles et aux frustrations qui alimentent les tensions sociales.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Dans sa manière de la saisir et dans la vérité de ses personnages, il y a du Joachim Trier (« Oslo, 31 août », « Julie (en 12 chapitres) ») en Gabor Reisz. En plus fauché, moins branché mais prometteur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le récit saisissant de la fracture qui divise la Hongrie clivée par le nationalisme.
Le Monde
par M. Dl.
Alors que le film se garde de trancher, malgré la violente politique antimigrants et le mépris des droits des personnes LGBT de la part du Fidesz, il décrit un face-à-face tendu entre le père d’Abel, un entrepreneur du bâtiment agacé de voir des jeunes gens partir pour l’Europe occidentale, et le professeur de gauche.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Malgré ses longueurs et ses préciosités cette fiction offensive et buissonnière fait preuve d'une heureuse singularité.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Thibault Lucia
Avec ce troisième long métrage, Gábor Reisz explicite les tensions politiques en Hongrie et offre à la jeunesse de son pays une nouvelle perspective, celle de trouver sa place ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Lucie Chiquer
Avec brio, Gábor Reisz explore comment une histoire peut se métamorphoser à force de passer dans la bouche d’intermédiaires que la politique a nécrosés.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Camille Brun
Multipliant les points de vue, ce drame très habilement construit montre bien comment il devient compliqué de communiquer sereinement dans un monde aussi polarisé politiquement.
Télérama
par Joanna Blain
Une plongée éclairante dans la Hongrie populiste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Elie Raufaste
Le jeu de piste est astucieux, d’autant plus qu’on le croit un temps ouvert à l’interprétation : avec ses yeux doux, ses grains de beauté et sa moustache naissante, le jeune Ábel a tout du martyr idéal – un Monsieur Jourdain qui fait de la politique sans le savoir. Et si son acte était prémédité ? De cette possibilité, le scénario fait peu cas, préférant le fil d’un scandale médiatique convenu.
Libération
par Laura Tuillier
N’ayant pas les moyens – autant en matière de production qu’en matière d’écriture – de véritablement construire l’affaire, le film se contente des oripeaux propres au genre : valse des points de vue, poncif du « chacun a ses raisons », final indécidable qui nous laisse les mains vides.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
Dans une intrigue complexe divisée en chapitres, où se mêlent un récit d’apprentissage concentré sur quelques jours et les conséquences du bobard originel de l’adolescent, transparaît la violence des antagonismes politiques du pays dirigé par Viktor Orban.
Le Journal du Dimanche
Ce long métrage à la narration audacieuse saisit avec acuité les divisions d'une société hongroise prompte à l'emballement [...].
Les Fiches du Cinéma
Portrait d’un adolescent qui, en se taisant à son oral de bac, libère une violence sociale larvée dans la Hongrie d’Orban, le film séduit quand il rend palpable l’oblitération adolescente du début de l’été, mais pêche par manque de contours et de recul sur son sujet.
Ouest France
Un grand film sur la propagation de la rumeur.
aVoir-aLire.com
Une satire réjouissante des névroses de la société hongroise et, partant, des ravages du poison distillé par les extrémismes et les excès d’une certaine presse sans éthique. Un régal !
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le film donne vie aux histoires individuelles et aux frustrations qui alimentent les tensions sociales.
L'Obs
Dans sa manière de la saisir et dans la vérité de ses personnages, il y a du Joachim Trier (« Oslo, 31 août », « Julie (en 12 chapitres) ») en Gabor Reisz. En plus fauché, moins branché mais prometteur.
Le Dauphiné Libéré
Le récit saisissant de la fracture qui divise la Hongrie clivée par le nationalisme.
Le Monde
Alors que le film se garde de trancher, malgré la violente politique antimigrants et le mépris des droits des personnes LGBT de la part du Fidesz, il décrit un face-à-face tendu entre le père d’Abel, un entrepreneur du bâtiment agacé de voir des jeunes gens partir pour l’Europe occidentale, et le professeur de gauche.
Les Echos
Malgré ses longueurs et ses préciosités cette fiction offensive et buissonnière fait preuve d'une heureuse singularité.
Les Inrockuptibles
Avec ce troisième long métrage, Gábor Reisz explicite les tensions politiques en Hongrie et offre à la jeunesse de son pays une nouvelle perspective, celle de trouver sa place ailleurs.
Première
Avec brio, Gábor Reisz explore comment une histoire peut se métamorphoser à force de passer dans la bouche d’intermédiaires que la politique a nécrosés.
Télé Loisirs
Multipliant les points de vue, ce drame très habilement construit montre bien comment il devient compliqué de communiquer sereinement dans un monde aussi polarisé politiquement.
Télérama
Une plongée éclairante dans la Hongrie populiste.
Cahiers du Cinéma
Le jeu de piste est astucieux, d’autant plus qu’on le croit un temps ouvert à l’interprétation : avec ses yeux doux, ses grains de beauté et sa moustache naissante, le jeune Ábel a tout du martyr idéal – un Monsieur Jourdain qui fait de la politique sans le savoir. Et si son acte était prémédité ? De cette possibilité, le scénario fait peu cas, préférant le fil d’un scandale médiatique convenu.
Libération
N’ayant pas les moyens – autant en matière de production qu’en matière d’écriture – de véritablement construire l’affaire, le film se contente des oripeaux propres au genre : valse des points de vue, poncif du « chacun a ses raisons », final indécidable qui nous laisse les mains vides.