Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Cette narration cohérente, éclatée et cette mise en scène de l’intime captivante construisent une œuvre fascinante avec son approche inclusive de la vieillesse et la réflexion sur la mémoire sélective. C’est aussi une délicate manière d’appréhender les dysfonctionnements d’un cerveau qui, malgré ses nouvelles limites, n’entame en rien l’amour que se porte ce couple.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par F.D.
La réussite de ce documentaire tient à son montage délicat qui alterne les séquences actuelles et les films d'époque, les archives télévisées qui montrent le Chili de Pinochet et le journaliste au travail. Une délicatesse qui fait que le spectateur ne se sent jamais voyeur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Marianne
par Olivier De Bruyn
Augusto Gongora, figure du journalisme chilien et opposant historique à Pinochet, est désormais atteint de la maladie d’Alzheimer. Ce documentaire pudique réalisé par Maite Alberdi témoigne de son combat contre l’amnésie et évoque la mémoire politique brinquebalante d’un pays.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Gaël Golhen
Un documentaire chilien inspiré, émouvant, mais jamais larmoyant sur la maladie d'Alzheimer, à travers l'histoire d'un couple, l'actrice-politicienne Paulina Urrutia et un journaliste Augusto Gongora, qui lutte contre la perte progressive et irréversible de sa mémoire.
Positif
par Inès Hamdi
La belle proposition de La Mémoire éternelle est de nous inviter à suivre le récit de deux êtres d'art et d'images dans un pays qui semble s'oublier lui-même, à l'instar d'Augusto qui voit ses souvenirs se diluer peu à peu.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
La Mémoire Éternelle s’impose comme un documentaire les plus importants sur les maladies neurodégénératives sous couvert de la mémoire du peuple chilien ces cinquante dernières années.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Helene Boons
Selon Nietzsche, sans faculté d’oubli, toute jouissance et toute action sont impossibles. Autrement dit : pour vivre heureux, vivons oublieux. Le documentaire La Mémoire éternelle prend en apparence Nietzsche au mot. Frontal dans son désir de susciter l’émotion, il expose le pouvoir insolent de l’eau de rose lorsqu’elle amène à envisager l’oubli avec confiance.
L'Obs
par Isabelle Danel
Peu à peu, l’état d’Augusto se dégrade, on sent que le montage nous épargne le plus dur, et pourtant il y a, dans le film, témoignage très perturbant et bouleversant, des moments terribles. On n’est pas obligé d’avoir envie d’assister à cette douleur, mais ce qu’elle dit de notre impermanence, de la puissance de l’amour mis à l’épreuve et de l’importance qu’il y a à savourer chaque instant est essentiel.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par V. Cau.
Cette perte de mémoire renvoie à celle de tout un pays. Elle scelle aussi un amour que ce film (...) rend éternel. Nous offrant un cadeau qui réchauffe le cœur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par I.B.
Quatre ans de la vie du couple formé par Augusto Góngora et Paulina Urrutia, éminents journaliste et actrice chiliens, confronté à la maladie d’Alzheimer. Si la mémoire du premier chancelle, comme celle de son pays, l’amour qui les unit bouleverse par sa force.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Lucie Chiquer
Plutôt que de dramatiser la maladie, la réalisatrice l’aborde avec légèreté et ausculte le dévouement sans faille de Paulina. Et de ces moments de tendresse et de rire, parsemés d’une affliction déchirante, seul l’amour inconditionnel demeure.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par La rédaction
Son dernier combat, mené avec sa compagne, l’actrice Paulina Urrutia, appelait un traitement moins plat.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Cette narration cohérente, éclatée et cette mise en scène de l’intime captivante construisent une œuvre fascinante avec son approche inclusive de la vieillesse et la réflexion sur la mémoire sélective. C’est aussi une délicate manière d’appréhender les dysfonctionnements d’un cerveau qui, malgré ses nouvelles limites, n’entame en rien l’amour que se porte ce couple.
Le Figaro
La réussite de ce documentaire tient à son montage délicat qui alterne les séquences actuelles et les films d'époque, les archives télévisées qui montrent le Chili de Pinochet et le journaliste au travail. Une délicatesse qui fait que le spectateur ne se sent jamais voyeur.
Marianne
Augusto Gongora, figure du journalisme chilien et opposant historique à Pinochet, est désormais atteint de la maladie d’Alzheimer. Ce documentaire pudique réalisé par Maite Alberdi témoigne de son combat contre l’amnésie et évoque la mémoire politique brinquebalante d’un pays.
Ouest France
Un documentaire chilien inspiré, émouvant, mais jamais larmoyant sur la maladie d'Alzheimer, à travers l'histoire d'un couple, l'actrice-politicienne Paulina Urrutia et un journaliste Augusto Gongora, qui lutte contre la perte progressive et irréversible de sa mémoire.
Positif
La belle proposition de La Mémoire éternelle est de nous inviter à suivre le récit de deux êtres d'art et d'images dans un pays qui semble s'oublier lui-même, à l'instar d'Augusto qui voit ses souvenirs se diluer peu à peu.
aVoir-aLire.com
La Mémoire Éternelle s’impose comme un documentaire les plus importants sur les maladies neurodégénératives sous couvert de la mémoire du peuple chilien ces cinquante dernières années.
Cahiers du Cinéma
Selon Nietzsche, sans faculté d’oubli, toute jouissance et toute action sont impossibles. Autrement dit : pour vivre heureux, vivons oublieux. Le documentaire La Mémoire éternelle prend en apparence Nietzsche au mot. Frontal dans son désir de susciter l’émotion, il expose le pouvoir insolent de l’eau de rose lorsqu’elle amène à envisager l’oubli avec confiance.
L'Obs
Peu à peu, l’état d’Augusto se dégrade, on sent que le montage nous épargne le plus dur, et pourtant il y a, dans le film, témoignage très perturbant et bouleversant, des moments terribles. On n’est pas obligé d’avoir envie d’assister à cette douleur, mais ce qu’elle dit de notre impermanence, de la puissance de l’amour mis à l’épreuve et de l’importance qu’il y a à savourer chaque instant est essentiel.
Le Monde
Cette perte de mémoire renvoie à celle de tout un pays. Elle scelle aussi un amour que ce film (...) rend éternel. Nous offrant un cadeau qui réchauffe le cœur.
Les Fiches du Cinéma
Quatre ans de la vie du couple formé par Augusto Góngora et Paulina Urrutia, éminents journaliste et actrice chiliens, confronté à la maladie d’Alzheimer. Si la mémoire du premier chancelle, comme celle de son pays, l’amour qui les unit bouleverse par sa force.
Première
Plutôt que de dramatiser la maladie, la réalisatrice l’aborde avec légèreté et ausculte le dévouement sans faille de Paulina. Et de ces moments de tendresse et de rire, parsemés d’une affliction déchirante, seul l’amour inconditionnel demeure.
Télérama
Son dernier combat, mené avec sa compagne, l’actrice Paulina Urrutia, appelait un traitement moins plat.