Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Habité de personnages pittoresques, un peu long, mais intelligent, avec un filmage peaufiné, plongez avec Le Plongeur.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Sensible, délicat et nuancé, Le Plongeur parle d’une certaine jeunesse québecoise tout autant déterminée à faire grandir sa vie qu’à lutter contre ses démons. Indéniablement un très beau film porté par un jeune comédien formidable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Jean-Michel Pignol
Le scénario a l’intelligence de ne pas tomber dans le tempo spectaculaire et convenu de ce type de parcours, en aplanissant les montagnes russes entre les rares phases de succès et les inévitables désillusions.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par F. F.
Adapté d’un best-seller canadien, le film de Francis Leclerc démarre sur un tempo de film noir, continue sur une bande-son griffue et, peu à peu, perd son énergie. Dommage : la première partie était très prometteuse, dans le bordel fiévreux du commerce de bouche et l’ambiance toxique du jeu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Entre drame et polar, une “plongée” psychologique angoissante et sous tension.
Positif
par Yannick Lemarié
Le réalisateur réussit à donner à son personnage de sous-fifre une réelle importance, non seulement par la place qu'il lui accorde dans le scénario et dans la brigade, mais également grâce à son traitement cinématographique [...].
Le Journal du Dimanche
par Bap.T.
Le réalisateur lorgne du côté de Martin Scorsese. S'il ne manque pas de talent, son récit sur le milieu de la restauration et la dépendance au jeu se disperse et peine à embrasser les sujets qu'il convoque malgré sa durée.
Le Monde
par V. Cau.
L’alternance systématique des séquences dans l’arrière-cuisine et des virées nocturnes, qu’unifie une esthétique inspirée des années 1970 façon Scorsese, finit cependant par provoquer le sentiment d’un jour sans fin. Et le jeune Henri Picard, hélas, n’a pas la carrure d’un Al Pacino.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Là où on sortait du livre sonné par l’enfer des tâches répétitives, l’épuisement, les soirées de cauchemar et les situations inextricables, le film donne l’impression d’une gentille récréation en demi-teinte, qui peine à trouver son rythme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Le récit d'une addiction et d'une descente aux enfers trop maladroite dans son écriture pour tenir la distance.
Télérama
par Guillemette Odicino
Hélas, trop de linéarité et de redites finissent par banaliser cette chronique de deux trop longues heures, en route vers une rédemption un peu fade.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Lucie Chiquer
Problème, le film s’étoffe autour d’un protagoniste qui n’inspire aucune sympathie : en plus d’être un menteur doublé d’un manipulateur, il enchaîne les décisions douteuses.
La critique complète est disponible sur le site Première
Franceinfo Culture
Habité de personnages pittoresques, un peu long, mais intelligent, avec un filmage peaufiné, plongez avec Le Plongeur.
aVoir-aLire.com
Sensible, délicat et nuancé, Le Plongeur parle d’une certaine jeunesse québecoise tout autant déterminée à faire grandir sa vie qu’à lutter contre ses démons. Indéniablement un très beau film porté par un jeune comédien formidable.
Culturopoing.com
Le scénario a l’intelligence de ne pas tomber dans le tempo spectaculaire et convenu de ce type de parcours, en aplanissant les montagnes russes entre les rares phases de succès et les inévitables désillusions.
L'Obs
Adapté d’un best-seller canadien, le film de Francis Leclerc démarre sur un tempo de film noir, continue sur une bande-son griffue et, peu à peu, perd son énergie. Dommage : la première partie était très prometteuse, dans le bordel fiévreux du commerce de bouche et l’ambiance toxique du jeu.
Les Fiches du Cinéma
Entre drame et polar, une “plongée” psychologique angoissante et sous tension.
Positif
Le réalisateur réussit à donner à son personnage de sous-fifre une réelle importance, non seulement par la place qu'il lui accorde dans le scénario et dans la brigade, mais également grâce à son traitement cinématographique [...].
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur lorgne du côté de Martin Scorsese. S'il ne manque pas de talent, son récit sur le milieu de la restauration et la dépendance au jeu se disperse et peine à embrasser les sujets qu'il convoque malgré sa durée.
Le Monde
L’alternance systématique des séquences dans l’arrière-cuisine et des virées nocturnes, qu’unifie une esthétique inspirée des années 1970 façon Scorsese, finit cependant par provoquer le sentiment d’un jour sans fin. Et le jeune Henri Picard, hélas, n’a pas la carrure d’un Al Pacino.
Libération
Là où on sortait du livre sonné par l’enfer des tâches répétitives, l’épuisement, les soirées de cauchemar et les situations inextricables, le film donne l’impression d’une gentille récréation en demi-teinte, qui peine à trouver son rythme.
Ouest France
Le récit d'une addiction et d'une descente aux enfers trop maladroite dans son écriture pour tenir la distance.
Télérama
Hélas, trop de linéarité et de redites finissent par banaliser cette chronique de deux trop longues heures, en route vers une rédemption un peu fade.
Première
Problème, le film s’étoffe autour d’un protagoniste qui n’inspire aucune sympathie : en plus d’être un menteur doublé d’un manipulateur, il enchaîne les décisions douteuses.