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Spider cineman
157 abonnés
2 050 critiques
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0,5
Publiée le 17 novembre 2024
Film destiné à remplir les heures de visionnage de Netflix : absolument pas original, un peu de casting mais avec une réalisation tellement approximative qu on n en profitera pas, assez entendu sur l intrigue, un thriller sans suspense… une daube en résumé
Au début de ce film, j'ai failli tout arreter et puis je me suis dis allez vas y continue et tu verras bien, et je ne le regrettes pas , c'est un presqu'un huit clos et dans la dernière partie du film , on se pose bcp de questions car l'intrigue est bien présente .
Un scénario convenu et prévisible pour une sombre histoire de manipulation et de faux semblants. Que dire de cet hôpital désert, occupé par une seule infirmière..?! L'interprétation est en outre bien peu convaincante dans ce thriller insipide.
Si ce n’est Alex Hassell, plutôt bon en truculent salopard, il n’y a pas grand-chose à retenir de ce thriller convenu et prévisible. Jeux de dupes, jalousie, manipulations… on a déjà vu ça des milliers de fois et en bien mieux.
Produit par Netflix, "Locked In" se laisse regarder avec plaisir. Les acteurs sont irréprochables, l'intrigue plutôt complexe, avec quelques rebondissements intéressants, et les dialogues assez travaillés. Sauf que l'ensemble est très convenu, et finalement assez prévisible. Nour Wazzi réalise un bon petit téléfilm, en somme, avec un faux air Hitchcockien. Pour ce qui est du scénariste, Rowan Joffé, il semble avoir énormément de mal, en tant que metteur en scène, à marcher dans les pas de son vénérable père, Roland Joffé. En revanche, il semble plus à l'aise pour la conception de scénario. "Transit Palace", "28 Weeks Later", "The American", et "The Informer" peuvent en témoigner.
on reste sur sa faim, c'est ce qu'on retient de ce film, un démarrage prometteur qui ne tient pas ses promesses, on comprend vite l'intrigue et l'évolution de l'histoire, aucun suspens, aucun rebondissement, un rythme assez linéaire
Malgré un casting intéressant et une intrigue qui était captivante au début, le film se perd en longueur. Il est dommage que l'histoire ne s'interesse pas plus à Anna Friel, façon enquete.
Un thriller assez bien fait avec un scénario qu on croit à priori connaître et c est d ailleurs la bonne surprise de ce film . Les apparences sont donc trompeuses . Bien réalisé et rythmé on passe un bon moment . Un film qui tient ses promesses de divertir tout en gardant un climat particulier.
Alors que la première scène de Locked In pouvait laisser espérer un thriller ambitieux porté par un concept, il n’en est rien. Ce film est tout de ce qu’il y a de plus banal. Afin de découvrir les raisons pour lesquelles la patiente est dans ce lit, nous suivrons un flash-back récapitulant tous les événements. Une plongée incessante dans le passé qui bloque l’avancer du présent. Les quelques scènes devant faire progresser l’histoire n’ont pas l’effet escompter. Bien entendu, les événements sont plus que prévisible.
Pour ne rien ranger, rapidement le scénario tourne autour d'une histoire d'amour digne d'une série pour adolescents. Cela n'a strictement aucun intérêt, voir même épuisant. Le travail sur les personnages n’est pas fait pour améliorer la situation. Lina est construite dans un stéréotype d’une jeune femme “enfermée” dans sa situation sans pour autant chercher autre chose. Dans sa peau, la performance de Rose Williams est en dent de scie. Par moments, on y croit vraiment, alors que dans d’autre, cela sonne faux. Pour ses rares apparitions, Famke Janssen est plutôt convaincante, tout comme Finn Cole de la série Animal Kingdom. Pour contre, Alex Hassell ne donne pas satisfaction.
Un peu décevant. J'ai trouvé que les flash back n'étaient pas si judicieux, l'intrigue très moyenne. C'est pourtant bien joué, les décors sont valorisants, et l'ambiance générale attractive.
Locked In est à un thriller psychologique où se mêlent manigances et meurtre. Parce qu'il s'agit d'une production Netflix, on en attend peut-être un peu de trop (ou pas). Sauf que le film ressemble à un téléfilm exécuté à la hâte.
Locked In pêche surtout par son scénario paresseux et prévisible. Une fois les 20 premières minutes de passées, lorsque tous les éléments sont présentés, on sait comment finira le film. Et cela ne va pas aller en s'arrangeant.
On voit arriver les événements à des kilomètres au point d'avoir un certain temps d'avance sur les personnages. D'ailleurs, on a parfois l'impression que l'histoire ne sait tellement pas comment se développer qu'on nous pond une infirmière un peu trop curieuse. Cette dernière pose tout un tas de questions qui tapent juste, permettant ainsi de nous remettre sur les rails de l'histoire. Car les autres personnages sont apathiques... quand ils ne sont pas caricaturaux.
Les informations ne sont dévoilées qu'à travers des flashbacks qui annoncent déjà la conclusion à venir. Le récit est précipité et ne permet pas assez de développer les trames ni les personnages. Alors, on ne s'attache pas. Pendant ce temps, le film se repose sur un faux suspense avec un certain nombre de révélations saccadées mais attendues, qui étirent inutilement le récit.
La dernière partie, plus rythmée, offre tout de même un peu d'intérêt. Même si le film a beaucoup de défauts, il se regarde mais provoque une certaine indifférence au final.
Incroyablement lent, vide et ennuyeux. Il ne se passe strictement rien d'un tant soit peu intéressant dans ce film. Du temps perdu, je ne le conseillerai qu'à quelq'un que je déteste...
L'intrigue est bien montée et les méchants sont multiples et les intérêts croisés. Histoire d'amour ou d'argent ou de pouvoir, tout se mélange... ambiance et lumière bien adapté, casting impeccable. Sans grosse surprise mais se regarde bien.
spoiler: Encore un scénario Netflix complètement exempt d'originalité, qui a déjà été fait mainte et mainte foi. Le streaming et les algorithmes conduisent à un manque d'originalité patent, à une uniformisation des schémas dramatique, c'est consternant. Y compris pour la structure en flashbacks, qui semble être un obligatoire des cahiers des charges Netflix.
Par contre si l'on sort de congélation de plus de soixante ans, le film peut fonctionner, bien que tarabiscoté, invraisemblable et peu crédible, surtout dans son dernier tiers où revirements s’enchaînent pour une escalade du drame. Et ceci, malgré que le type casting nous indique dès le départ que Alex Hassel est le méchant : il est barbu et porte des lunettes. Mais les trois actrices principales font le job. Il faut reconnaître que la direction d'acteur fonctionne : Nour Wazzi connait son métier.
Mais il nous manque cruellement de la perversion, alors que le scénariste pense sûrement avoir conçu quelque chose de machiavélique, c'est à dire de rusé et perfide. Mais le post-modernisme ne peut plus se contenter de cela, il faut de l'autodérision (absente ici) ou de la perversité (pareillement). Ce genre de flm repose soit sur un schéma dramatique particulièrement torve ou sur un méchant charismatique, amusant ou délicieusement pervers, absent ici (normal car le schéma dramatique fait en sorte de maintenir le plus longtemps possible caché la source du mal).