Note moyenne
3,3
8 titres de presse
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Culturopoing.com
Un plaidoyer poétique et spirituel à la gloire du cinéma, de l’art et de la mémoire.
L'Obs
C’est prenant, chaleureux, émouvant.
aVoir-aLire.com
Jeune cinéaste, Thierno Souleymane Diallo part à la recherche du premier film (perdu) de l’histoire du cinéma guinéen. Une épopée picaresque, faussement légère et vraiment passionnante.
Le Monde
On peut raisonnablement escompter que Diallo, averti de son existence durant ses études de cinéma, n’est pas sans savoir que le film est désormais considéré comme perdu. S’il n’en dit rien, c’est que sa quête lui permet de dresser un bilan, assez amer, de la situation du septième art dans son pays.
Les Fiches du Cinéma
Thierno Souleymane Diallo décide ici d’explorer, avec sincérité et passion, l’Histoire de son art en Guinée. On peut toutefois regretter que la quête d’un film perdu occulte les autres sujets.
Libération
Derrière la chasse à l’œuvre, dont l’avancée vouée à l’échec ressemble fort à un prétexte, se tient dès lors un récit plus grand qu’elle. Celui d’un champ de ruines où la Guinée, pays sans archives, a historiquement dû voir mourir son cinéma, parti en cendres après l’invasion portugaise de 1970 et la purge des fabricants d’images.
Première
Thierno Souleymane Diallo se lance dans la quête passionnée – et passionnante - de ce film fantôme et redonne vie aux racines du cinéma d’Afrique noire et à l’expérience collective de l’image.
Télérama
Si elle éveille notre curiosité et n’est pas dépourvue d’humour, cette quête documentaire, qui oblige l’auteur à se rendre à Paris, ne creuse pas assez son sujet pour le rendre vraiment intéressant.