Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Amr Gamal ne regarde pas sa ville comme un décor de cinéma, mais comme un lieu où des êtres humains tentent, comme ils le peuvent, de vivre.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
La Septième Obsession
par Jérôme D’Estais
Contre toute attente, le film, digne jusqu’au bout, parvient pourtant à se jouer d’une grande partie des figures imposées, s’emparant de manière concrète - tout en évitant le misérabilisme, le didactisme, voire le pittoresque - du politique (la guerre, la religion, etc.), pour le laisser intelligemment infuser dans la sphère privée.
Le Figaro
par Valérie Beck
Ce film de fiction d’une belle sobriété est l’un des rares témoignages sur le quotidien de ce pays. Et sonne comme un acte de résistance.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Cl. F.
Pour le réalisateur yéménite et sudiste Amr Gamal, tout juste 40 ans, la caméra remplit un besoin urgent de documenter. Son deuxième long-métrage, sélectionné à la Berlinale en 2023 (section Panorama), est un fascinant portrait d’une ville en état de déliquescence.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Dans le premier film yéménite distribué en France, le réalisateur Amr Gamal met en scène le quotidien d'une famille d'Aden en lutte pour sa survie. Une révélation.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
D’une grande délicatesse d’âme et d’une douceur trompeuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Samuel Douhaire
Amr Gamal signe une fiction réussie et sans manichéisme sur l’avortement au Yémen.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Élie Raufaste
Malgré les fréquentes pannes d’électricité, véritables scansions au sein du récit, Les Lueurs d’Aden donne l’impression d’une transparence lumineuse, usant du cadre non comme une prison supplémentaire, mais comme une fenêtre ouverte sur le ressaisissement, l’étincelle de courage, le rebond au fond du gouffre.
L'Obs
par Nicolas Schaller
La mise en scène est épurée, le trait, brut, l’émotion, digne et empathique. Et Aden, ville portuaire au passé socialiste, sous emprise islamiste depuis les années 1990, filmée avec une attention documentaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Privilégiant les plans larges, le réalisateur opte pour une approche quasi-documentaire et livre un récit touchant et subtil qui pêche un peu par excès de sobriété.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Luc Chessel
Avec droiture et sobriété, ce rare film yéménite témoigne de la difficulté d’un couple dont la femme cherche à avorter, dans un pays qui l’interdit.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Lucie Chiquer
En évoquant l’avortement lorsqu’il se heurte aux principes religieux, le réalisateur livre une chronique intrinsèquement politique qui touche du doigt le documentaire sans jamais tomber dans le drame social. D’une poignante véracité.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Anaëlle Paccard
Un film d’une grande sobriété dans sa forme, à la frontière de la fiction et du documentaire, qui transporte le spectateur dans les tourments d’un combat intime, pour la liberté de choix.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
Amr Gamal ne regarde pas sa ville comme un décor de cinéma, mais comme un lieu où des êtres humains tentent, comme ils le peuvent, de vivre.
La Septième Obsession
Contre toute attente, le film, digne jusqu’au bout, parvient pourtant à se jouer d’une grande partie des figures imposées, s’emparant de manière concrète - tout en évitant le misérabilisme, le didactisme, voire le pittoresque - du politique (la guerre, la religion, etc.), pour le laisser intelligemment infuser dans la sphère privée.
Le Figaro
Ce film de fiction d’une belle sobriété est l’un des rares témoignages sur le quotidien de ce pays. Et sonne comme un acte de résistance.
Le Monde
Pour le réalisateur yéménite et sudiste Amr Gamal, tout juste 40 ans, la caméra remplit un besoin urgent de documenter. Son deuxième long-métrage, sélectionné à la Berlinale en 2023 (section Panorama), est un fascinant portrait d’une ville en état de déliquescence.
Les Echos
Dans le premier film yéménite distribué en France, le réalisateur Amr Gamal met en scène le quotidien d'une famille d'Aden en lutte pour sa survie. Une révélation.
Les Fiches du Cinéma
D’une grande délicatesse d’âme et d’une douceur trompeuse.
Télérama
Amr Gamal signe une fiction réussie et sans manichéisme sur l’avortement au Yémen.
Cahiers du Cinéma
Malgré les fréquentes pannes d’électricité, véritables scansions au sein du récit, Les Lueurs d’Aden donne l’impression d’une transparence lumineuse, usant du cadre non comme une prison supplémentaire, mais comme une fenêtre ouverte sur le ressaisissement, l’étincelle de courage, le rebond au fond du gouffre.
L'Obs
La mise en scène est épurée, le trait, brut, l’émotion, digne et empathique. Et Aden, ville portuaire au passé socialiste, sous emprise islamiste depuis les années 1990, filmée avec une attention documentaire.
Le Journal du Dimanche
Privilégiant les plans larges, le réalisateur opte pour une approche quasi-documentaire et livre un récit touchant et subtil qui pêche un peu par excès de sobriété.
Libération
Avec droiture et sobriété, ce rare film yéménite témoigne de la difficulté d’un couple dont la femme cherche à avorter, dans un pays qui l’interdit.
Première
En évoquant l’avortement lorsqu’il se heurte aux principes religieux, le réalisateur livre une chronique intrinsèquement politique qui touche du doigt le documentaire sans jamais tomber dans le drame social. D’une poignante véracité.
aVoir-aLire.com
Un film d’une grande sobriété dans sa forme, à la frontière de la fiction et du documentaire, qui transporte le spectateur dans les tourments d’un combat intime, pour la liberté de choix.