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    Bilitis
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    chrischambers86
    chrischambers86

    13 980 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2024
    Pour tous les amoureux d'èrotisme esthètique, le nom de Patti D'Arbanville èvoque de bien nombreux souvenirs d'adolescence! L'oeuvre marque les dèbuts du controversè et cèlèbre photographe David Hamilton qui n'a que faire du 7e art et se moque un tantinet de sa technique! Et pourtant "Bilitis" (1977) est un rèel succès à sa sortie grâce au minois et à la plastique de Patti D'Arbanville, l'ex petite-amie de Cat Stevens! Pour sa première rèalisation, Hamilton choisit cette adolescente qui dècouvre le goût du plaisir sexuel dans les bras d'une camarade et dans les splendides yeux bleus d'un photographe incarnè par Bernard Giraudeau! Loin d'être une « Bilitis » qui se dèvêtit avec un enthousiasme dèbordant (contrairement aux jeunes pensionnaires), Patti D'Arbanville a su tirer le maximum de son personnage de fille en fleur avec une vulnèrabilitè que l'on n'attendait pas ici! Les flous artistiques et les synthès du regrettè Francis Lai ont rendu le film culte...
    CamilleGMD
    CamilleGMD

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 octobre 2023
    Un véritable chef d'oeuvre esthétique, le style Hamilton est fidèlement respecté et le travaille du directeur de la photographie est remarquable. Pour vraiment apprécier le film aujourd'hui il convient toutefois de tenir compte de l'époque où il a été tourné. En effet à l'époque les moeurs et la morale étaient plus "libre", et il n'y avait rien de choquant à voir des jeunes filles nues et s'embrasser car il était considérer comme normal que les adolescents aient des flirt homosexuelles. Une fois cela pris en compte le film montre les premiers émois d'une jeune fille qui voit son coeur osciller entre Lucas le photographe et la belle Mélissa. Tendre, beau et émouvant, Bilitis est une ode à l'amour sur la musique envoûtante de Francis Lai.
    Michel Le goff
    Michel Le goff

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 novembre 2022
    Excellent chef d'oeuvre . David Hamilton et son style est clairement reconnaissable, notamment par son usage du flou artistique. Les critiques parlent de « flou hamiltonien » ou de « lumière hamiltonienne ». Le photographe crée un effet de craquelures aux couleurs pastel, de halo de pâleur d'inspiration impressionniste qui sont sa marque de fabrique. Contrairement à la plupart de ses films qui ont suivi, Bilitis est un film consacré à la puberté et au passage à l'âge adulte,Mis à part la qualité des images, je trouve qu'il est plein de sensibilité. Il est même très intéressant à regarder. Essayer de comprendre ce qu'est l'amour et sans grand tabou en fait. Car cette Bilitis n'a pas peur d'embrasser des filles ni même des garçons contrairement à tous les tabous actuels. Ce film est à voir. Enfin, le tabou de la nudité n'est même pas évoqué car ces filles d'internat se mettent à nue sans problème.D'ailleurs les scènes de nue sont exactement comme des tableaux artistiques de nues. Vraiment on a là de très belles images de ces corps nus, fébrile et jeune.
    stans007
    stans007

    25 abonnés 1 325 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 mars 2021
    Scénario et dialogues faibles. Heureusement il y a la musique de Francis Lai, de beaux acteur(e)s et quelques images superbes. Avec Bernard Giraudeau.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    705 abonnés 3 067 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mai 2018
    Plongée dans un temps hors du temps curieusement transposé dans le Sud de la France, cette relecture de l’œuvre de Pierre Louÿs ne manque ni de charme ni de suavité. Les corps décrits par le poète jaillissent ici dans leur splendide pureté où l’innocence cède peu à peu à mesure que s’installe le désir et que se répercutent les accès charnels de l’homme. Reprenant au recueil des Chansons de Bilitis ses motifs les plus picturaux tels « L’arbre » ou « La comparaison », David Hamilton consacre le saphisme et, au-delà, la complexité des relations par sa magnifique photographie. Pourtant, le film semble accumuler ses scènes sans les relier entre elles comme un catalogue artistique ferait se suivre les photographies – certes superbes – en guise de pure dramaturgie. On aurait aimé cette œuvre plus cinématographique ; l’exercice de style autosuffisant n’est pas loin et affaiblit l’impact que l’œuvre louÿsienne, à sa lecture, produit. En outre, si la première moitié de Bilitis passionne, le reste souffre d’un manque de rythme et d’enjeux qui risque de désintéresser le spectateur. À voir pour la composition de ses images et la qualité de sa musique originale signée Francis Lai.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 mai 2017
    une bonne adaptation du recueil de poèmes de Pierre Louÿs intitulé "Les Chansons de Bilitis" par le cinéaste controversé david halmilton une réussite avec en prime une musique de Francis Lai inoubliable
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 21 janvier 2017
    Très belles sensations esthétiques de ces si gracieuses blondes aux tendances saphiques marquées et en même temps, qu'est-ce qu'on s'ennuie là-dedans ! une impression de trop peu qui ne fait que vaguement titiller, la niaiserie incommensurable des dialogues et la musique Bontempi d'ascenseur sont insupportables. Et cela dure tout de même une heure et demi pour peut-être un quart d'heure de corps dénudés. Très insuffisant tout cela, remboursez !
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 443 abonnés 4 467 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 décembre 2016
    Le cinéma de David Hamilton a une tendance fâcheuse, c’est la lenteur et le propos souvent très superficiel. Franchement, même si ce Bilitis n’est pas sans qualité, je l’ai trouvé d’un ennui profond !
    A l’écriture il y a Catherine Breillat, et ça ne m’étonne guère car malheureusement cette dernière a le don pour offrir (en général) des films marquants par leur longueur, leur superficialité, et ici, que c’est long ! Ça dure 1 heure 30 mais le film en parait le double tellement ça se traine, tellement la petite base scénaristique est expansée au maximum jusqu’à la déraison. Bilitis est un film à l’histoire simple, que je ne résume pas car elle l’est très bien sur allocine, et il aurait vraiment fallu venir la nourrir davantage. Ce n’est pas avec un peu d’érotisme et de saphisme qu’une telle histoire peut suffire à passionner le spectateur. En plus ça n’a pas d’intensité sentimentale, Hamilton est ici au sommet de son style contemplatif, faisant en effet œuvre de photographe, mais alors de narrateur, ouch ! En fait ça ne vibre pas, il n’y a pas de sentiments, d’émotions, ou alors c’est tout vaporeux comme la photographie.
    Formellement Bilitis c’est du Hamilton pur jus. Photographie floutée, décors d’une élégance académique, renforcée ici par le fait qu’il s’agit d’un film en costumes, et mise en scène très (trop) démonstrative. C’est joli, mais c’est en effet un film qui reste surtout un catalogue d’images papier glacé, et l’on sent le photographe mais pas le cinéaste. Il filme, et ok c’est raffiné, mais il n’y a pas réellement d’âme, ça ne respire pas, c’est techniquement bon mais émotionnellement c’est fade. La bande son pour sa part est très agréable, Francis Lai est un compositeur de talent et il livre une musique soignée, dans le ton du film, et souvent présente, mais qui manque sans doute de peps vu que le film est déjà lourd à digérer.
    Le casting présente des acteurs à leurs débuts, une Patti d’Arbanville charmante et dont je reconnais que le jeu est assez subtil. Elle apporte un peu de consistance à ce personnage qui n’aurait pu être qu’une nymphette de plus dans le monde de l’érotisme ! Reste que Mona Kristensen n’est pas mal du tout non plus. Côté masculin, Bernard Giraudeau est un peu tiédasse. C’est le cas d’ailleurs aussi de Mathieu Carrière. J’ai trouvé les prestations masculines sans grand relief, Bernard Giraudeau semblant un peu là comme dans Les Vacances de l’amour quoi !
    Franchement, Bilitis est un petit Hamilton. S’il n’a pas de films de génie, ici c’est juste un bel essai papier glacé mais dépourvu d’âme, et, c’est dommage, c’est sûrement le film du réalisateur qui se veut le plus profond, le plus sensible, avec une histoire d’amour à quatre qui pouvait promettre. Si seulement il y avait eu des émotions, des sentiments, du rythme, bref, ce qui fait un bon film. On pourrait même dire d’érotisme, car ici Hamilton est des plus sages. 1.5
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 24 août 2015
    par curiosité je l'ai vue j'ai préféré plus la musique(comme tout le monde en général merci Mr lai d'avoir pondue une B.O qui reste graver dans le cerveau) l'histoire pas plus que ca sans spoiler je suis rester sur ma fin le jeux d'acteur et un peut plat giraudeau sauve un peut le film
    artaud
    artaud

    26 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 août 2012
    Bilitis est une supercherie à double titre. Si vous vous êtes intéressés à ce film, vous y avez été par trois chemins. Le premier est celui du photographe David Hamilton, idéalement trouvé pour représenter Bilitis sur grand écran dans les traits de Patti d'Arbanville qui, soit dit en passant incarne Bilitis merveilleusement bien avec le peu qu'on lui donne. Hamilton est un photographe mais pas un cinéaste et même dans la photographie de son film, il n'arrive pas à trouver le mouvement de la sensualité formée au sein de la féminité. On aurait souhaité une étreinte chaude et non une luminosité à la D'amato, ou une luminosité qu'il a voulu adapter automatiquement à la cinématographie. La mise en scène manque de classe et n'émeut pas. L'émotion, c'est le deuxième chemin : si vous avez vu Bilitis, vous avez lu cette supercherie - l'autre - Les Chansons de Bilitis de Pierre Louys, auteur qui inventa de toutes pièces, à l'aide d'un archéologue imaginaire, une jeune fille qui, désabusée par la paresse et la violence des hommes, se tourne vers les femmes, leur vie et leur chair. Je ne peux que faire la promotion de cette lecture qui, avec le Cantique des cantiques, suscitera quelques émois sensuels. Des paroles d'anges m'en restent encore en mémoire, seule manière d'imprégner durablement la chair ; soit il faut la meurtrir soit il faut s'en souvenir. Du coup, j'en viens à l'histoire, celle de l'adaptation des Chansons, écrite par... une certaine Catherine Breillat. C'est le troisième chemin. Force est de constater qu'elle s'est dépatouillée comme elle pouvait pour dresser une unité dans ce film : c'est réussi pour cela mais... en plaçant, le récit à une époque moderne, Breillat omet le sacré, l'esclavagisme sexuel et la nature qui ont une charge d'enjeu et de sensualité : Bilitis vit dans l'antiquité grecque dans une époque où l'homosexualité est admise ; limite je trouve le film prude. Etonnant pour un Hamilton qui suscite la controverse. Le rapport avec Nikias, Mnasidika (qui donnera lieu à un film particulier elle aussi...) et Lukas est à côté de la plaque mais on retrouve ou plutôt on devine les phases phares et les enjeux qui animèrent l'existence de cette jeune et tendre Bilitis.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 décembre 2009
    Bilitis est un très beau film sur le plaisir et la sensualité.
    Il est un peu sombre, mais il est aussi frais. Le casting est parfait.
    Il est classé comme érotique mais il parle seulement d'une découverte et il est touchant.
    Si vous voulez sourire devant une jeunesse en découverte du corps, je vous le conseille.
    Roy Batty
    Roy Batty

    164 abonnés 215 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 août 2020
    "Bilitis" est l'adaptation modernisée d'un recueil de poèmes de Pierre Louÿs intitulé "Les Chansons de Bilitis". Ecrit par Catherine Breillat et réalisé par le photographe David Hamilton, ce film se passe dans le sud de la France et suit l'éveil amoureux de Bilitis (Patti D'Arbanville), une jeune pensionnaire d'un internat, auprès de Mélissa (Mona Kristensen), une femme mûre, et de Lucas (Bernard Giraudeau), un jeune photographe. Autant le dire tout de suite, ce long-métrage est plus à voir comme un beau roman-photo que comme un film de cinéma. Le scénario manque en effet cruellement d'intérêt et sert surtout de prétexte à une succession de jolis plans bien éclairés, mais qui provoquent très vite un certain ennui. Et, pour un film érotique, "Bilitis" est finalement bien sage. Néanmoins, les acteurs s'en sortent plutôt bien, notamment la mignonne Patti D'Arbanville (qui a inspiré à Cat Stevens sa célèbre chanson "My Lady D'Arbanville"), Bernard Giraudeau (le parfait french lover avec sa voix suave et son regard de braise) et Mona Kristensen (le seul rôle de cette jolie actrice). Quant à la musique magnifique de Francis Lai, elle est presque plus célèbre que le film lui-même et compte au moins pour un point dans ma note ! Le thème principal et le morceau "Scène d'amour" sont parmi les plus beaux de la carrière du compositeur français.
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