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29 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
L’Histoire de Souleymane dessille le regard et aide à combattre l’indifférence. Un film important, essentiel même en ces temps de remous démocratiques.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans un film dur et droit, entre l’asphalte et le ciel, Boris Lojkine raconte un jeune clandestin, un livreur sans visage que l’on croise sans jamais le voir vraiment. Abou Sangare, acteur exilé, sans-papiers comme son personnage, habite l’écran avec une intensité rare. Il est déchirant.
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Un film fort, dont les choix esthétiques l’emmènent au-delà du constat documentaire et de la chronique sociale.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un film bouleversant.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Bouleversant, sans angélisme ni sensiblerie.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
On oublie les fictions démagogiques croulant sous le poids de leurs bons sentiments. Dans son nouveau film, un des plus impressionnants de l’année du côté du cinéma français, Boris Lojkine suit à la trace un sans-papiers confronté aux réseaux de l’économie souterraine et à l’absurdité administrative. À découvrir d’urgence.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
On retient notre souffle jusqu'au dénouement bouleversant de ce film d'auteur grand public.
Télérama
par Guillemette Odicino
Un thriller à couper le souffle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Que celui qui ne finit pas dévasté nous jette la première pierre.
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
"L'histoire de Souleymane" est un geste magnifique tendu vers l'Autre. Sa mise en scène conjure le désastre des relations et élève le portrait d'un « condamné » à un récit d'une profonde humanité.[...]Et le film, aussi rude soit-il, est magnifiquement doux.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Ariane Combes-Savary
Un film puissant et haletant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Guillaume Loison
Par là même, « l’Histoire de Souleymane » se distingue des standards du cinéma naturaliste, évoquant la tragédie froide et la tristesse infinie du « Samouraï » de Melville, autre portrait d’un homme en fuite rendu à l’état d’abstraction.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par La Rédaction
Une fiction à l’os, construite comme un documentaire, qui ne verse jamais dans la caricature ou la sensiblerie et portée par ses interprètes, tous non professionnels.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par E. S.
Pas d'artifice, pas de musique, pas d'intrigue secondaire ni de personnage sympathique pour adoucir le propos. L'Histoire de Souleymane a été couvert de lauriers au dernier Festival de Cannes, dans la section Un certain regard (prix du jury, d'interprétation masculine et prix Fipresci de la critique internationale). Tant mieux pour le film.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Bap. T.
Une œuvre aussi immersive que nécessaire, jamais donneuse de leçons ou maladroitement militante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J. Ma.
La durée du film se cale sur les deux jours, de pur suspense, qui séparent Souleymane de cet entretien, dont la mise en scène ne nous prépare pas vraiment au poignant épilogue.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
À travers quelques coups de fil que donne Souleymane à sa famille, le film décrypte avec beaucoup de finesse et d’émotion les raisons qui ont poussé ce tout jeune homme à traverser la Méditerranée au péril de sa vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Solaire et confondant de naturel, déjouant lui aussi tous les poncifs, l'acteur a remporté le prix d'interprétation à Cannes cette année dans la section Un certain regard : c'est entièrement mérité. Une révélation, à l'image de ce film refusant d'asséner à la truelle une doxa politique indigéniste pour se concentrer sur l'humain et la dramaturgie. Bingo : on est conquis.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Construit comme un thriller social, L’Histoire de Souleymane est une puissante réflexion documentaire doublée d’une bouleversante fiction humaniste.
Libération
par Didier Péron
Car, chose rare, si le film est bon, s’il nous plaît, c’est qu’il endure sa condition et la sublime pour nous, mais au risque que ce don ou ce talent ne lui soient d’aucun secours.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Entre documentaire et thriller, un récit haletant qui révèle un comédien saisissant.
Positif
par Louise Dumas
Ce n'est pas peu dire, car L'Histoire de Souleymane est tendu comme un polar.
Première
par Thierry Chèze
Un grand film incarné par un immense acteur non- professionnel (comme 99% du casting à l’exception de Nina Meurisse, déjà héroïne de Camille), Abou Sangaré, lui-même, dans la vraie vie, en quête d’une régularisation qui lui a été refusée…
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Au-delà de cette mise en abyme cinématographique, Boris Lojkine reflète sur l’écran la situation de ces migrants exilés, sans cesse humiliés, mais forcés d’accepter des conditions indécentes de travail pour survivre. Le trafic d’identité, des courses payées à l’emporte-pièce, des timings de livraisons impossibles à tenir sont filmés avec fougue au sein de ce thriller social percutant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé Loisirs
par S.O.
Une plongée captivante.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Derrière le témoignage de Souleymane, non seulement un grand comédien est né, mais en plus, il rend avec ce film de Boris Lojkine toute la dignité et le secours que ces exilés de guerre méritent. L’histoire de Souleymane est une œuvre qui va droit au cœur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Le maintien d’un rythme trépidant (…), s’il fait une certaine efficacité dramatique, constitue aussi une limite. Le film ne dénonce la violence sociale qu’en la redoublant, enfermant et enfonçant son personnage dans les mailles serrées de la représentation.
Critikat.com
par Camille Bouthors
Le spectateur n’est jamais « avec » le héros sur un pied d’égalité, puisqu’il le regarde se débattre comme un insecte pris au piège [...] ; la ruse de la caméra portée consiste simplement à transformer un regard en surplomb en regard « embarqué ».
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
En surdramatisant lourdement la trajectoire de son personnage, le film de Boris Lojkine vire à la chronique rédemptrice et perd toute portée politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Bande à part
L’Histoire de Souleymane dessille le regard et aide à combattre l’indifférence. Un film important, essentiel même en ces temps de remous démocratiques.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans un film dur et droit, entre l’asphalte et le ciel, Boris Lojkine raconte un jeune clandestin, un livreur sans visage que l’on croise sans jamais le voir vraiment. Abou Sangare, acteur exilé, sans-papiers comme son personnage, habite l’écran avec une intensité rare. Il est déchirant.
La Voix du Nord
Un film fort, dont les choix esthétiques l’emmènent au-delà du constat documentaire et de la chronique sociale.
Le Dauphiné Libéré
Un film bouleversant.
Les Echos
Bouleversant, sans angélisme ni sensiblerie.
Marianne
On oublie les fictions démagogiques croulant sous le poids de leurs bons sentiments. Dans son nouveau film, un des plus impressionnants de l’année du côté du cinéma français, Boris Lojkine suit à la trace un sans-papiers confronté aux réseaux de l’économie souterraine et à l’absurdité administrative. À découvrir d’urgence.
Télé 7 Jours
On retient notre souffle jusqu'au dénouement bouleversant de ce film d'auteur grand public.
Télérama
Un thriller à couper le souffle.
CinemaTeaser
Que celui qui ne finit pas dévasté nous jette la première pierre.
Culturopoing.com
"L'histoire de Souleymane" est un geste magnifique tendu vers l'Autre. Sa mise en scène conjure le désastre des relations et élève le portrait d'un « condamné » à un récit d'une profonde humanité.[...]Et le film, aussi rude soit-il, est magnifiquement doux.
Franceinfo Culture
Un film puissant et haletant.
L'Obs
Par là même, « l’Histoire de Souleymane » se distingue des standards du cinéma naturaliste, évoquant la tragédie froide et la tristesse infinie du « Samouraï » de Melville, autre portrait d’un homme en fuite rendu à l’état d’abstraction.
La Croix
Une fiction à l’os, construite comme un documentaire, qui ne verse jamais dans la caricature ou la sensiblerie et portée par ses interprètes, tous non professionnels.
Le Figaro
Pas d'artifice, pas de musique, pas d'intrigue secondaire ni de personnage sympathique pour adoucir le propos. L'Histoire de Souleymane a été couvert de lauriers au dernier Festival de Cannes, dans la section Un certain regard (prix du jury, d'interprétation masculine et prix Fipresci de la critique internationale). Tant mieux pour le film.
Le Journal du Dimanche
Une œuvre aussi immersive que nécessaire, jamais donneuse de leçons ou maladroitement militante.
Le Monde
La durée du film se cale sur les deux jours, de pur suspense, qui séparent Souleymane de cet entretien, dont la mise en scène ne nous prépare pas vraiment au poignant épilogue.
Le Parisien
À travers quelques coups de fil que donne Souleymane à sa famille, le film décrypte avec beaucoup de finesse et d’émotion les raisons qui ont poussé ce tout jeune homme à traverser la Méditerranée au péril de sa vie.
Le Point
Solaire et confondant de naturel, déjouant lui aussi tous les poncifs, l'acteur a remporté le prix d'interprétation à Cannes cette année dans la section Un certain regard : c'est entièrement mérité. Une révélation, à l'image de ce film refusant d'asséner à la truelle une doxa politique indigéniste pour se concentrer sur l'humain et la dramaturgie. Bingo : on est conquis.
Les Fiches du Cinéma
Construit comme un thriller social, L’Histoire de Souleymane est une puissante réflexion documentaire doublée d’une bouleversante fiction humaniste.
Libération
Car, chose rare, si le film est bon, s’il nous plaît, c’est qu’il endure sa condition et la sublime pour nous, mais au risque que ce don ou ce talent ne lui soient d’aucun secours.
Ouest France
Entre documentaire et thriller, un récit haletant qui révèle un comédien saisissant.
Positif
Ce n'est pas peu dire, car L'Histoire de Souleymane est tendu comme un polar.
Première
Un grand film incarné par un immense acteur non- professionnel (comme 99% du casting à l’exception de Nina Meurisse, déjà héroïne de Camille), Abou Sangaré, lui-même, dans la vraie vie, en quête d’une régularisation qui lui a été refusée…
Sud Ouest
Au-delà de cette mise en abyme cinématographique, Boris Lojkine reflète sur l’écran la situation de ces migrants exilés, sans cesse humiliés, mais forcés d’accepter des conditions indécentes de travail pour survivre. Le trafic d’identité, des courses payées à l’emporte-pièce, des timings de livraisons impossibles à tenir sont filmés avec fougue au sein de ce thriller social percutant.
Télé Loisirs
Une plongée captivante.
aVoir-aLire.com
Derrière le témoignage de Souleymane, non seulement un grand comédien est né, mais en plus, il rend avec ce film de Boris Lojkine toute la dignité et le secours que ces exilés de guerre méritent. L’histoire de Souleymane est une œuvre qui va droit au cœur.
Cahiers du Cinéma
Le maintien d’un rythme trépidant (…), s’il fait une certaine efficacité dramatique, constitue aussi une limite. Le film ne dénonce la violence sociale qu’en la redoublant, enfermant et enfonçant son personnage dans les mailles serrées de la représentation.
Critikat.com
Le spectateur n’est jamais « avec » le héros sur un pied d’égalité, puisqu’il le regarde se débattre comme un insecte pris au piège [...] ; la ruse de la caméra portée consiste simplement à transformer un regard en surplomb en regard « embarqué ».
Les Inrockuptibles
En surdramatisant lourdement la trajectoire de son personnage, le film de Boris Lojkine vire à la chronique rédemptrice et perd toute portée politique.