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DRI75
13 abonnés
134 critiques
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1,5
Publiée le 2 décembre 2024
Scénario élémentaire, prises de vues classiques d’E. BESNARD et répétées dans l’obscurité, sous la pluie, la neige, … qui n’apportent rien et dialogues plats et G GADEBOIS y rejoue le même rôle ; Bis repetita de « Délicieux ». Même le monde de la paysannerie n’est pas mis en avant en restant sur des clichés éculés… Le village présenté et les scènes filmées ne correspondent pas. Il y manque beaucoup pour être intéressant, un minimum réaliste, pour nous faire ressentir des émotions. Film sans âme, sans message. Ennuyeux et inutile.
très bien joué mais on n'apprend pas grand chose .. Il manque l'histoire de Louise Violet que l'on découvre au milieu du film sans bcp de précisions. Evidemment, ce film montre l'accueil glacial des paysans, pour la plupart illettrés et rustres et le bienfait de l'éducation dans les familles mais pour moi c'est un film TV, pas plus
Je suis pas fervent des films français mais le sujet me touchait particulièrement. J'ai passé un bon moment devant le film. Il mérite ses 4 étoiles. Et Alexandra Lamy tient très bien son rôle de l'institutrice. Je m'attendais à plus de détails et d'informations concernant le rôle de l'institutrice et sur le déroulement de la classe, à cette époque. Il s'agit surtout de l'intégration d'une institutrice dans un village encore fermée à l'école laïque. Ce qui n'en reste pas moins très intéressant.
Un film qui fait du bien, qui raconte le début de l'école et ramène à la réalité de la vie. Alexandra Lamy très convaincante dans son rôle d'institut rice. On a passé un bon moment
Un film sympa qui nous découvrir l arrivée de l école laïque gratuite et obligatoire dans un petit village du puy du dôme à la fin du 19eme siècle après les événements de la commune un beau décor une belle photo Des acteurs qui jouent juste notamment l institutrice et le maire Un scénario peut être trop classique et une voix off qui aurait dû se faire plus discrète Une réelle découverte de ce moment de notre histoire V est aussi ça la magie du cinéma
Un magnifique film, parlant de feminisme, de l'importance de l'éducation, de l'instruction. Parlant des oublié.es de la bourgeoisie bien pensante. Un film de gauche, une gauche populaire mais instruite, une gauche feministe qu'interprete merveilleusement bien Alexandra Lamy. Ce film est touchant, les décors sont extraordinaires. Non vraiment rien à dire, si vous êtes humaniste allez le voir, sinon passez votre chemin. Merci madame Lamy pour ce genre de pépite.
Après le précédent film du réalisateur, Délicieux, on me permettra cette comparaison culinaire : un repas honnête, complet, qui sent son terroir et sa France d'autrefois et qu'on avale dans un relais de campagne. On peut préférer plus épicé, plus surprenant, plus cuisine nouvelle mais si on est venu là et que l’appétit vient en mangeant autant lever sa fourchette. Donc tous les ingrédients sont réunis : de bons acteurs (Alexandra Lamy m'a surpris, je l'avoue, par sa maitrise), des enjeux intéressants (l'arrivée de l'école, donc de la modernité, dans un coin reculé où l'on parle encore le patois et où se méfie des autres) et une dramaturgie classique. A la fin, la digestion est étonnamment rapide (pourtant entrée-plat-dessert parfaitement calibré) et on oublie vite.
Film super chouette, il touche à pleins de sujets de société (la place des femmes, des agriculteurs, de l'éducation...) et puis on est vraiment plongé dans la Haute-Loire d'il y a 100ans !
Eric besnard à le goût pour filmer la campagne. La nature mais de surcroît une très bonne reconstitution historique, pour ce film, et le précédent "délicieux. Louise violet se situe au début du 19 ème siècle, dàs les cendres de la terreur et la commune, des progres sociaux sont timidement introduit, notamment l école républicaine, gratuite et obligatoire, ce qui est suivie dans les grandes villes, ce n est pas le cas dans la province profonde, ou les enfants travaille au champs. Louise violet, institutrice mute dans un village reculé pour y enseigner, pleine de bonne volonté au départ va peu à peu dechanter mais grâce à sa pugnacité elle va réussir à se faire accepter et surtout de changer de mentalité. Un film attendrissant, dont j ai apprécié le jeu d alexandre lamy qui incarne ce rôle chaleureux et idealiste, mais aussi gadebois qui joue un maire bourru avec un fond génereux. Une très belle reussite
histoire de l'institutrice en charge de scolarisé un village au moment de la loi d'obligation de scolariser les enfants Alexandra Lamy et gadebois très justes dans leurs rôles respectifs
Je m’attendais simplement à un bon film Français, et je suis tombé sur un chef d’œuvre !
Je ne connaissais pas très bien Alexandra Lamy, et encore moins dans un rôle comme celui-là, mais je dois avouer rester sans voix tant sa performance est bluffante.
L’Histoire autour de l’apprentissage des enfants et de certains parents à travers le drame qu’a vécu Louise est déchirante et touchante. Le genre de film qui donne envie tout de suite d’ouvrir un livre, et de se rendre compte de la chance qu’on a eu d’avoir appris à lire, écrire, compter …. La connaissance et l’apprentissage.
Bref un film à voir et revoir sans modération, tout en rendant hommage au talent des acteurs (ce qui est assez rare dans les films français).
Retour au cinéma pour un chouette film qui fait du bien. Louise Violet, c’est une histoire qui nous immerge en 1889, à l’aube des lois Jules Ferry, au sein d’un village champêtre bien loin des récentes mesures sur l’éducation, alors qu’une certaine Louise Violet, enseignante charismatique et indépendante, y est envoyée pour instruire les jeunes enfants. On découvre une vieille France aussi douce qu’austère qui flirte avec le récit historique pour nous livrer une véritable immersion dans notre pays, à un moment où nous ne le foulions pas encore. Le film m’a envahi tout au long de mon visionnage, de cette allégresse d’antan, mêlée de doutes, d’espoirs et d’une sensation de vie inachevée. Le scénario et la psychologie des personnages sont simples, bien que bien pensés et les décors nous font voir en toute simplicité une excellente représentation rurale, si précieuse au cinéma. Mais là où le tout excelle, c’est grâce à ses acteurs. Le jeu est toujours juste. Autant auprès d’Alexandra Lamy qui fait de Louise Violet, ses cours et ses récits, une femme forte respectable, que Grégory Gadebois, signant ici un énième second-rôle dans lequel on retrouve sa capacité à jouer avec l’émotion, la douceur et le côté bourru de ses personnages qui cachent souvent quelque chose de plus sensible : on est en plein dedans. Mention à Jérémy Lopez qui livre une performance véritablement prenante. Un joli moment.