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Classique dans sa forme, simple et limpide, le film a le mérite de rappeler qu'à chaque époque, le progrès rencontre forcément des freins et des oppositions.
Après Délicieux, Éric Besnard revient au film historique avec «Louise Violet», portrait d’un beau personnage d’institutrice dans un village d’Auvergne à la fin du XIXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Eric Besnard invite Alexandra Lamy à offrir son énergie solaire à un rôle grave en portant une œuvre historique, esthétique et familiale. Il a eu raison tant elle incarne Louise Violet avec force. Mieux, elle y excelle.
La critique complète est disponible sur le site Version Femina
Si l’intention du film est noble, à savoir le témoignage de la difficulté pour les instituteurs à la fin du XIXe siècle à faire vivre l’instruction obligatoire pour tous les enfants, la mise en scène assez emphatique enferme les acteurs dans un jeu caricatural qui nuit hélas à l’intérêt du sujet.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Sensible aux formes de l’identité française, le réalisateur Éric Besnard (Délicieux, sur la naissance du premier restaurant, au XVIIIe siècle) signe une première partie assez édifiante et scolaire (mais pourquoi cette voix off redondante ?), avant de donner une réelle épaisseur à son personnage principal (...).
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Une ode appliquée à l’école de la République, et un récit de facture très classique, porté par des interprètes attachants, mais qui manque de corps, d’aspérités et d’émotion.
Malgré les efforts des acteurs principaux, le film reste un portrait appliqué mais insuffisant, où l’école, pourtant au cœur du récit, ne prend jamais vraiment vie.
Le sujet est passionnant ; son traitement un peu moins tant la mise en scène manque de tonus, joue les situations convenues, malgré les efforts d'Alexandra Lamy et de Grégory Gadebois, crédibles mais empêtrés dans des dialogues souvent plats. On reste sur sa faim.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Mais, en dépit d’une interprétation solide, le résultat ne se hisse jamais vraiment au niveau de ces nobles intention. La faute à un scénario trop scolaire qui en surexpliquant tout, allonge un film qui aurait gagné à être grandement resserré.
La critique complète est disponible sur le site Première
Portrait d’une missionnaire laïque habitée par ses idéaux et hantée par un passé violent, ce film très classique, sinon scolaire, traite son beau sujet historique avec application, en l’enfermant dans une ambiance de crèche rurale, peuplée de santons pittoresques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
Classique dans sa forme, simple et limpide, le film a le mérite de rappeler qu'à chaque époque, le progrès rencontre forcément des freins et des oppositions.
Franceinfo Culture
Alexandra Lamy a rarement eu des rôles en costume d'époque et jouer dans un film historique comme "Louise Violet" lui va le mieux du monde.
La Croix
Après Délicieux, Éric Besnard revient au film historique avec «Louise Violet», portrait d’un beau personnage d’institutrice dans un village d’Auvergne à la fin du XIXe siècle.
Ouest France
Un film d'histoire qui rappelle les fondements de l’Éducation nationale et ce n'est pas forcément inutile.
Version Femina
Eric Besnard invite Alexandra Lamy à offrir son énergie solaire à un rôle grave en portant une œuvre historique, esthétique et familiale. Il a eu raison tant elle incarne Louise Violet avec force. Mieux, elle y excelle.
aVoir-aLire.com
Si l’intention du film est noble, à savoir le témoignage de la difficulté pour les instituteurs à la fin du XIXe siècle à faire vivre l’instruction obligatoire pour tous les enfants, la mise en scène assez emphatique enferme les acteurs dans un jeu caricatural qui nuit hélas à l’intérêt du sujet.
La Voix du Nord
Sensible aux formes de l’identité française, le réalisateur Éric Besnard (Délicieux, sur la naissance du premier restaurant, au XVIIIe siècle) signe une première partie assez édifiante et scolaire (mais pourquoi cette voix off redondante ?), avant de donner une réelle épaisseur à son personnage principal (...).
Le Parisien
Un film classique mais édifiant.
Les Fiches du Cinéma
Une ode appliquée à l’école de la République, et un récit de facture très classique, porté par des interprètes attachants, mais qui manque de corps, d’aspérités et d’émotion.
Télé 7 Jours
Un hymne à l'école républicaine d'une pertinente actualité, doublé d'un beau portrait de femme à l'avant-garde de son temps [...].
Le Dauphiné Libéré
Malgré les efforts des acteurs principaux, le film reste un portrait appliqué mais insuffisant, où l’école, pourtant au cœur du récit, ne prend jamais vraiment vie.
Le Point
Le sujet est passionnant ; son traitement un peu moins tant la mise en scène manque de tonus, joue les situations convenues, malgré les efforts d'Alexandra Lamy et de Grégory Gadebois, crédibles mais empêtrés dans des dialogues souvent plats. On reste sur sa faim.
Première
Mais, en dépit d’une interprétation solide, le résultat ne se hisse jamais vraiment au niveau de ces nobles intention. La faute à un scénario trop scolaire qui en surexpliquant tout, allonge un film qui aurait gagné à être grandement resserré.
Télé Loisirs
Trop prévisible et peu passionnant.
Télérama
Portrait d’une missionnaire laïque habitée par ses idéaux et hantée par un passé violent, ce film très classique, sinon scolaire, traite son beau sujet historique avec application, en l’enfermant dans une ambiance de crèche rurale, peuplée de santons pittoresques.