Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Le nouveau documentaire de Yolande Zauberman fascine autant qu’il émeut. Par sa tentative de réconciliation de l’irréconciliable, par sa générosité humaniste, par son scintillement dans la nuit.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Ces femmes, en quête d’un refuge queer, rappellent que même dans l'ombre, la vie peut éclater.
Franceinfo Culture
par Thierry Fiorile et Matteu Maestracci
La façon de filmer, dans un chaos organisé, où Yolande Zauberman fait confiance au hasard, tend toujours vers la lumière, vers une possible réconciliation. Ces femmes, qu'elles soient juives, chrétiennes ou musulmanes, nous donnent une leçon de vie, de résilience, c'est bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Yolande Zauberman a cet incroyable talent de gagner la confiance de ses interlocutrices, ce qui lui permet de dresser pour ce documentaire des portraits tout en humanité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Gaza, lointaine mais omniprésente, devient une évocation troublante. Mais ce film, apolitique, loin des conflits amers, transcende le contexte, le présent.
Le Monde
par Cl.F.
La cinéaste, qui tient la caméra et filme à distance, éclaire la nuit, faisant jaillir de l’obscurité, comme des flashs, ces corps dénudés, héroïques, exposés au danger.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un film fort au cours duquel la réalisatrice parvient, malgré les conditions difficiles de tournage, à faire du vrai et beau cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Un film brutal et percutant enrobé d'images étrangement douces.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un film qui va vers le politique, mais avec pour guides l’instinct, l’attirance, l’affinité, le goût du beau, l’attrait pour la lumière, le sens du rêve.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Une enquête prétexte à une galerie de portraits nocturnes et sensibles, éclairant les existences transgenres en Israël et Palestine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Un film hypnotique et politique.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un long-métrage d’une profondeur et d’une beauté stupéfiantes.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
Une fois de plus chez Yolande Zauberman, du corps découlent des révélations profondément politiques, voire révolutionnaires.
Première
par Thomas Baurez
Yolande Zauberman avec sa caméra n’est pas une intruse qui viendrait puiser le temps d’une immersion quelques sensations. Tout fait corps à l’image. L’échange se matérialise par la grâce d’une mise en scène proche des êtres d’où émerge une beauté tragique. Puissant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Le montage est vivace, voire brutal, comme si ces moments de partage, arrachés à un quotidien marqué par la solitude, étaient fragiles, fugaces. Un récit incandescent et délicat, au cœur des marges.
Télérama
par François Ekchajzer
Ce partage d’intimité fait la beauté et la force d’un documentaire d’une fulgurante humanité. Un film flamboyant, réalisé avant le 7 octobre 2023, mais qui, à sa manière, traite de bout en bout de passages de frontières.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
C’est un vrai film de cinéma avec des personnes qui rayonnent sur l’écran. C’est un film conçu pour s’ouvrir aux humanités contrariées et à produire du beau, là où l’actualité ne nous ramène que des horreurs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Israël serait le meilleur refuge pour les personnes trans de cette région du monde, affirme l’une d’elles, qui a eu la chance de pouvoir quitter la rue, mais la réalisatrice ne creuse pas vraiment cette piste complexe et ambigüe, préférant maintenir le film dans un flottement politique accordé à la texture de ses images.
Critikat.com
par Bastien Gens
La trajectoire symbolique vers l’émancipation sexuelle – qui se redouble d’un déplacement géographique de Gaza à Tel-Aviv – conduit surtout la cinéaste à sonder la distance qui se creuse entre ces femmes et leur milieu d’origine.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Entre son déluge de péripéties et ses scènes de comédie gore, ce film de casse vampirique se traîne pas mal de défauts, mais parvient à donner le sourire (pointu).
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Xavier Leherpeur
On rêverait de n’avoir aucune réserve devant ce bel objet cinématographique. Mais on peut regretter que ce film ne s’aventure pas plus loin sur le terrain politique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par B. T.
Une balade nocturne et édifiante à travers les destins d’êtres aussi attachants que résilients, à qui l’on donne enfin la parole et qui la prennent avec courage.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Florence Colombani
Au bout du compte, Nathalie, La Belle de Gaza du titre, garde son mystère… et le voile qui lui couvre le visage. Est-elle vraiment venue de Gaza à pied ? Peut-être pas de façon littérale, mais métaphoriquement, elle a assurément accompli un chemin considérable.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans La belle de Gaza, Yolande Zauberman s’intéresse, dans son style fiévreux habituel, au sort « réservé » aux femmes trans en Israël.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Bande à part
Le nouveau documentaire de Yolande Zauberman fascine autant qu’il émeut. Par sa tentative de réconciliation de l’irréconciliable, par sa générosité humaniste, par son scintillement dans la nuit.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ces femmes, en quête d’un refuge queer, rappellent que même dans l'ombre, la vie peut éclater.
Franceinfo Culture
La façon de filmer, dans un chaos organisé, où Yolande Zauberman fait confiance au hasard, tend toujours vers la lumière, vers une possible réconciliation. Ces femmes, qu'elles soient juives, chrétiennes ou musulmanes, nous donnent une leçon de vie, de résilience, c'est bouleversant.
L'Humanité
Yolande Zauberman a cet incroyable talent de gagner la confiance de ses interlocutrices, ce qui lui permet de dresser pour ce documentaire des portraits tout en humanité.
Le Dauphiné Libéré
Gaza, lointaine mais omniprésente, devient une évocation troublante. Mais ce film, apolitique, loin des conflits amers, transcende le contexte, le présent.
Le Monde
La cinéaste, qui tient la caméra et filme à distance, éclaire la nuit, faisant jaillir de l’obscurité, comme des flashs, ces corps dénudés, héroïques, exposés au danger.
Le Parisien
Un film fort au cours duquel la réalisatrice parvient, malgré les conditions difficiles de tournage, à faire du vrai et beau cinéma.
Les Echos
Un film brutal et percutant enrobé d'images étrangement douces.
Les Fiches du Cinéma
Un film qui va vers le politique, mais avec pour guides l’instinct, l’attirance, l’affinité, le goût du beau, l’attrait pour la lumière, le sens du rêve.
Libération
Une enquête prétexte à une galerie de portraits nocturnes et sensibles, éclairant les existences transgenres en Israël et Palestine.
Marie Claire
Un film hypnotique et politique.
Ouest France
Un long-métrage d’une profondeur et d’une beauté stupéfiantes.
Positif
Une fois de plus chez Yolande Zauberman, du corps découlent des révélations profondément politiques, voire révolutionnaires.
Première
Yolande Zauberman avec sa caméra n’est pas une intruse qui viendrait puiser le temps d’une immersion quelques sensations. Tout fait corps à l’image. L’échange se matérialise par la grâce d’une mise en scène proche des êtres d’où émerge une beauté tragique. Puissant.
Sud Ouest
Le montage est vivace, voire brutal, comme si ces moments de partage, arrachés à un quotidien marqué par la solitude, étaient fragiles, fugaces. Un récit incandescent et délicat, au cœur des marges.
Télérama
Ce partage d’intimité fait la beauté et la force d’un documentaire d’une fulgurante humanité. Un film flamboyant, réalisé avant le 7 octobre 2023, mais qui, à sa manière, traite de bout en bout de passages de frontières.
aVoir-aLire.com
C’est un vrai film de cinéma avec des personnes qui rayonnent sur l’écran. C’est un film conçu pour s’ouvrir aux humanités contrariées et à produire du beau, là où l’actualité ne nous ramène que des horreurs.
Cahiers du Cinéma
Israël serait le meilleur refuge pour les personnes trans de cette région du monde, affirme l’une d’elles, qui a eu la chance de pouvoir quitter la rue, mais la réalisatrice ne creuse pas vraiment cette piste complexe et ambigüe, préférant maintenir le film dans un flottement politique accordé à la texture de ses images.
Critikat.com
La trajectoire symbolique vers l’émancipation sexuelle – qui se redouble d’un déplacement géographique de Gaza à Tel-Aviv – conduit surtout la cinéaste à sonder la distance qui se creuse entre ces femmes et leur milieu d’origine.
Ecran Large
Entre son déluge de péripéties et ses scènes de comédie gore, ce film de casse vampirique se traîne pas mal de défauts, mais parvient à donner le sourire (pointu).
L'Obs
On rêverait de n’avoir aucune réserve devant ce bel objet cinématographique. Mais on peut regretter que ce film ne s’aventure pas plus loin sur le terrain politique.
Le Journal du Dimanche
Une balade nocturne et édifiante à travers les destins d’êtres aussi attachants que résilients, à qui l’on donne enfin la parole et qui la prennent avec courage.
Le Point
Au bout du compte, Nathalie, La Belle de Gaza du titre, garde son mystère… et le voile qui lui couvre le visage. Est-elle vraiment venue de Gaza à pied ? Peut-être pas de façon littérale, mais métaphoriquement, elle a assurément accompli un chemin considérable.
Marianne
Dans La belle de Gaza, Yolande Zauberman s’intéresse, dans son style fiévreux habituel, au sort « réservé » aux femmes trans en Israël.