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Sous ses airs de chronique amusante et amusée, sociale et fantastique, Reine mère tape juste et fort sur le traumatisme migratoire et la manipulation des perceptions.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Même si le trait est parfois un peu appuyé, ce conte moderne éclaire d'une lumière inédite le sentiment singulier de l'exil, et les combats qu'il faut parfois mener avec soi-même, avec les autres, et avec les institutions, pour se sentir à sa place.
Comme ses personnages, "Reine mère" ne s’interdit rien, navigue gracieusement entre les genres (musical, screwball comedy, romcom), exorcise le monde d’hier pour réenchanter le présent et produit un sentiment très réjouissant : la pertinence d’un regard neuf.
Alors qu’elle avait exploré dans Un divan à Tunis la question du retour au pays, Manele Labidi traite cette fois de l’exil et de l’intégration dans ce film coloré, fantasque, utilisant le conte et la chronique familiale pour traiter de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Diverto
Ici, le récit se révèle un peu moins limpide, grignoté par ses différents sujets (l’intégration, la maternité, le retour aux origines, voire au pays), eux-mêmes parfois relégués par cette formidable et décapante déconstruction autour de celui « qui a arrêté les Arabes à Poitiers en 732 ». Mais on aurait tort de bouder cette proposition qui interroge l’identité autant que les stéréotypes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
C’est dans le glissement vers la fable, quand Charles Martel se transforme en ami imaginaire, qui a la bienveillance amicale de l’acteur Damien Bonnard, que le film s’épanouit. Alors, le récit s’allège, s’enchante.
A travers Amel, c’est tout l’orgueil des mères qui est représenté, cette manière d’arracher le meilleur de la vie sans pourtant en avoir les moyens, ce matriarcat flamboyant des familles immigrées – très loin du fantasme patriarcal auquel on les réduit si souvent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Manèle Labidi mêle comédie sociale et réflexion historique dans une reconstitution des années 1990 haute en couleur. Porté par Camélia Jordana, charismatique, le film séduit par son humour mais peine à clôturer son récit.
Cette chronique familiale souvent très drôle fait briller Camélia Jordana : face à Sofiane Zermani, version algérienne de Vittorio Gassman, elle irradie de fougue et d’humour. Une reine de comédie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Camelia Jordana rayonne dans cette comédie dramatique où subtilement et sans pathos la réalisatrice du délicieux UN DIVAN A TUNIS témoigne sans fard de la difficulté pour les populations issues de l’immigration tunisienne à trouver leur place dans la société française d’accueil.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bien que le récit se situe à la fin des années 1980, la reconstitution se limite à des détails […] pour conserver des résonances actuelles. Toutefois, ce versant politique plein de colère peine à s’articuler à la volonté de fantaisie.
Si les intentions sont louables, on est un peu désarçonné par cet ovni qui oscille constamment entre drame social et comédie fantaisiste, avec des ruptures de ton créant un déséquilibre, pour parler d’identité, d’intégration, de racisme.
Manele Labidi montre un vrai talent d'écriture avec ses personnages baroques et souvent inattendus. C'est ce qui fait le charme doux-amer de ce film qui souffre parfois d'une mise en scène inutilement surlignée, mais au casting impeccable [...].
Reine mère aborde donc les questions de l’immigration et de l’identité sous un angle ludique. Mais tout se révèle un peu trop démonstratif pour maintenir cet équilibre entre profondeur et légèreté. De bonnes intentions mal récompensées.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ouest France
Un joli conte, iconoclaste et touchant.
CinemaTeaser
Sous ses airs de chronique amusante et amusée, sociale et fantastique, Reine mère tape juste et fort sur le traumatisme migratoire et la manipulation des perceptions.
Ecran Large
Après "Un divan à Tunis", Manele Labidi frappe fort avec ce regard tendre sur une famille en quête d’intégration dans un pays qui ne le permet pas.
Femme Actuelle
L'histoire peut sembler improbable, mais à l'écran, elle fonctionne et donne même un résultat très séduisant.
Franceinfo Culture
Même si le trait est parfois un peu appuyé, ce conte moderne éclaire d'une lumière inédite le sentiment singulier de l'exil, et les combats qu'il faut parfois mener avec soi-même, avec les autres, et avec les institutions, pour se sentir à sa place.
Le Parisien
Un drôle de film, bourré de charme et d’humour.
Les Echos
Un portrait attachant de la France de la fin du siècle dernier porté par une composition explosive de Camélia Jordana.
Les Inrockuptibles
Comme ses personnages, "Reine mère" ne s’interdit rien, navigue gracieusement entre les genres (musical, screwball comedy, romcom), exorcise le monde d’hier pour réenchanter le présent et produit un sentiment très réjouissant : la pertinence d’un regard neuf.
Marie Claire
Avec une Camélia Jordana renversante, une fable qui traite avec fantaisie de l'intégration en France.
Nice-Matin
Le fil rouge du film est subtil, intéressant.
Télé 2 semaines
Pari réussi : on rit volontiers sans que la gravité du sujet soit atténuée.
Abus de Ciné
Le duo Camélia Jordana / Sofiane Zermani permet de donner à "Reine Mère" un côté explosif, mettant face à face deux caractères forts.
Diverto
Alors qu’elle avait exploré dans Un divan à Tunis la question du retour au pays, Manele Labidi traite cette fois de l’exil et de l’intégration dans ce film coloré, fantasque, utilisant le conte et la chronique familiale pour traiter de son sujet.
La Croix
Camélia Jordana et Sofiane Zermani composent un couple charismatique et séduisant, explosif et complice.
La Voix du Nord
Ici, le récit se révèle un peu moins limpide, grignoté par ses différents sujets (l’intégration, la maternité, le retour aux origines, voire au pays), eux-mêmes parfois relégués par cette formidable et décapante déconstruction autour de celui « qui a arrêté les Arabes à Poitiers en 732 ». Mais on aurait tort de bouder cette proposition qui interroge l’identité autant que les stéréotypes.
Le Dauphiné Libéré
C’est dans le glissement vers la fable, quand Charles Martel se transforme en ami imaginaire, qui a la bienveillance amicale de l’acteur Damien Bonnard, que le film s’épanouit. Alors, le récit s’allège, s’enchante.
Le Monde
A travers Amel, c’est tout l’orgueil des mères qui est représenté, cette manière d’arracher le meilleur de la vie sans pourtant en avoir les moyens, ce matriarcat flamboyant des familles immigrées – très loin du fantasme patriarcal auquel on les réduit si souvent.
Les Fiches du Cinéma
Manèle Labidi mêle comédie sociale et réflexion historique dans une reconstitution des années 1990 haute en couleur. Porté par Camélia Jordana, charismatique, le film séduit par son humour mais peine à clôturer son récit.
Sud Ouest
Une comédie douce-amère, qui tâtonne entre plusieurs pistes narratives, que sauvent un humour certain et un goût assumé pour le fantasque.
Télé 7 Jours
Une comédie sur le racisme et l'intégration, à laquelle Camélia Jordana apporte son énergie et son extravagance.
Télérama
Cette chronique familiale souvent très drôle fait briller Camélia Jordana : face à Sofiane Zermani, version algérienne de Vittorio Gassman, elle irradie de fougue et d’humour. Une reine de comédie.
aVoir-aLire.com
Camelia Jordana rayonne dans cette comédie dramatique où subtilement et sans pathos la réalisatrice du délicieux UN DIVAN A TUNIS témoigne sans fard de la difficulté pour les populations issues de l’immigration tunisienne à trouver leur place dans la société française d’accueil.
Cahiers du Cinéma
Bien que le récit se situe à la fin des années 1980, la reconstitution se limite à des détails […] pour conserver des résonances actuelles. Toutefois, ce versant politique plein de colère peine à s’articuler à la volonté de fantaisie.
Le Journal du Dimanche
Si les intentions sont louables, on est un peu désarçonné par cet ovni qui oscille constamment entre drame social et comédie fantaisiste, avec des ruptures de ton créant un déséquilibre, pour parler d’identité, d’intégration, de racisme.
Libération
"Reine mère" ressemble in fine à une sorte de téléfilm Disney, parfois sympathique mais surtout inoffensif.
Paris Match
Manele Labidi montre un vrai talent d'écriture avec ses personnages baroques et souvent inattendus. C'est ce qui fait le charme doux-amer de ce film qui souffre parfois d'une mise en scène inutilement surlignée, mais au casting impeccable [...].
Première
Reine mère aborde donc les questions de l’immigration et de l’identité sous un angle ludique. Mais tout se révèle un peu trop démonstratif pour maintenir cet équilibre entre profondeur et légèreté. De bonnes intentions mal récompensées.