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Scénarisé par Ichirō Ōkouchi et produit par les studios CloverWorks et Wit Studio, Spy x Family Code : White apporte une dimension nouvelle et rafraichissante aux récits d’espionnage.
En moins de deux heures, le film raconte une intrigue complètement délirante (à base de concours de cuisine, de la recette d’un dessert mythique et de guerre entre deux nations) avec des passages très drôles et spectaculaires, d’autres moins inspirés, et ça finit sur un tunnel scato assez surprenant. C’est difficile à résumer, tout ça, mais plutôt très sympathique à regarder.
La critique complète est disponible sur le site Première
D’une insouciance épatante, le film trouve de fait la juste mesure entre un humour bon enfant, destiné aux plus jeunes, et des questionnements passionnants sur l’adultère et la parentalité. Dommage que sa dernière partie, truffée d’explosions à gogo et de combats survitaminés, vienne alourdir un peu l’ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
IGN France
Un divertissement sans conséquences pour les fans de la licence, avec une ou deux séquences épiques, et beaucoup d'Anya faces inédites.
Le Journal du Geek
Scénarisé par Ichirō Ōkouchi et produit par les studios CloverWorks et Wit Studio, Spy x Family Code : White apporte une dimension nouvelle et rafraichissante aux récits d’espionnage.
Première
En moins de deux heures, le film raconte une intrigue complètement délirante (à base de concours de cuisine, de la recette d’un dessert mythique et de guerre entre deux nations) avec des passages très drôles et spectaculaires, d’autres moins inspirés, et ça finit sur un tunnel scato assez surprenant. C’est difficile à résumer, tout ça, mais plutôt très sympathique à regarder.
Télé Loisirs
Ces aventures délirantes mêlant espionnage, rétrofuturisme et humour potache filent à un rythme qui ne laisse pas le temps de s'ennuyer.
Télérama
D’une insouciance épatante, le film trouve de fait la juste mesure entre un humour bon enfant, destiné aux plus jeunes, et des questionnements passionnants sur l’adultère et la parentalité. Dommage que sa dernière partie, truffée d’explosions à gogo et de combats survitaminés, vienne alourdir un peu l’ensemble.