Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Peintre tragique dans sa vie et son œuvre, anarchiste patenté, Munch trouve son équivalent dans l’angle pris par le metteur en scène, qui traverse ses tourments, mais aussi la créativité et l’expérience d’une vie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par Valérie Duponchelle
Ces quatre Munch forment un kaléidoscope d’émotions contradictoires, filmé avec toute la vigueur de cet admirateur de Martin Scorsese, de Paul Thomas Anderson et de Michael Haneke.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par P.V.
Un portrait osé et réussi d'un génie.
Culturopoing.com
par Noëlle Gires
Le film est inégal, parfois agaçant (certaines scènes du début m’ont fait craindre le pire), mais il a cette grande qualité de tenter, sans académisme, de nous faire entrer en résonance avec la richesse d’une œuvre plus que d’exposer les petites ou grandes misères de l’existence d’un artiste déchiré au tournant du vingtième siècle.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Parisien
par Renaud Baronian
Mélangeant les styles, classique, noir et blanc, modernisme selon ces périodes, le film prend tout de même des partis pris radicaux qui pourront troubler les non-spécialistes du peintre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Henrik Martin Dahlsbakken peine à nous intéresser avec ce portrait trop éclaté d’Edvard Munch, qui se concentre sur la personnalité du peintre au détriment de sa peinture. Mais le cinéaste norvégien parvient aussi à transcender son sujet dans des séquences sublimes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Mais en cherchant à refléter l’obscurité de sa psyché, sur fond de propos eux-mêmes souvent abscons, en changeant d’acteurs et en multipliant les sauts dans le temps, le premier biopic sur le peintre norvégien compose un portrait hermétique.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Du pionnier de l’expressionnisme dans la peinture moderne, dont les œuvres originales sont exposées dans les plus grands musées du monde, le réalisateur norvégien Henrik Martin Dahlsbakken semble ne vouloir retenir que l’âme triste et torturée. Il met en miroir les thèmes de la mortalité, de la solitude, de l’anxiété et de la dépression qui traversent sa peinture.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
En dépit de sa beauté formelle, le film ne rend pas justice à Edvard Munch, en refusant toute pédagogie et multipliant les ellipses au point de priver le public d’émotion (un comble quand on connaît le destin tragique du peintre) et de le perdre en cours de route dans un exercice de style assez vain et superficiel.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par V. Cau.
La juxtaposition et l’alternance chaotique des époques, des visages et des styles présentent néanmoins un danger que le film ne parvient, hélas, pas à contourner : celui d’une surenchère esthétique qui prend le pas, envahit l’espace, au point d’écraser le sujet auquel le film s’attache.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Censé incarner la versatilité complexe de son personnage, le regard non-linéaire et transidentitaire, véhiculé par ce portait en mosaïque, ne transcende hélas jamais l’académisme du film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Les couleurs sont là, mais le tableau ne prend jamais forme, la faute à une mise en scène peu inspirée même dans ses effets les plus criards.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Adrien Gombeaud
Le réalisateur Henrik Martin Dahlsbakken s’inspire maladroitement de "I’m Not There" (2007), le portrait de Bob Dylan par Todd Haynes, sans jamais parvenir à expliquer le sens de sa démarche ou pourquoi la vie d’Edvard Munch nécessite une narration aussi confuse et alambiquée.
Télérama
par Frédéric Strauss
Le réalisateur a voulu faire le malin, comme s’il devait et pouvait rivaliser avec la force pure de l’auteur du fameux Cri. Sa complexité, suggérée par des visites assez inattendues chez un psy, semble ici un prétexte pour ne rien raconter clairement. Et sa palette si colorée se fait soudain bien terne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Thierry Cheze
Mais l’exercice de style prend hélas le pas sur le reste et tient à distance le spectateur non connaisseur. Le tout avec quelques gestes pas très heureux comme ces plans avec en arrière- fond un ciel semblable à ses tableaux qui apparaissent gadget.
La critique complète est disponible sur le site Première
Franceinfo Culture
Peintre tragique dans sa vie et son œuvre, anarchiste patenté, Munch trouve son équivalent dans l’angle pris par le metteur en scène, qui traverse ses tourments, mais aussi la créativité et l’expérience d’une vie.
Le Figaro
Ces quatre Munch forment un kaléidoscope d’émotions contradictoires, filmé avec toute la vigueur de cet admirateur de Martin Scorsese, de Paul Thomas Anderson et de Michael Haneke.
Ouest France
Un portrait osé et réussi d'un génie.
Culturopoing.com
Le film est inégal, parfois agaçant (certaines scènes du début m’ont fait craindre le pire), mais il a cette grande qualité de tenter, sans académisme, de nous faire entrer en résonance avec la richesse d’une œuvre plus que d’exposer les petites ou grandes misères de l’existence d’un artiste déchiré au tournant du vingtième siècle.
Le Parisien
Mélangeant les styles, classique, noir et blanc, modernisme selon ces périodes, le film prend tout de même des partis pris radicaux qui pourront troubler les non-spécialistes du peintre.
Les Fiches du Cinéma
Henrik Martin Dahlsbakken peine à nous intéresser avec ce portrait trop éclaté d’Edvard Munch, qui se concentre sur la personnalité du peintre au détriment de sa peinture. Mais le cinéaste norvégien parvient aussi à transcender son sujet dans des séquences sublimes.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Mais en cherchant à refléter l’obscurité de sa psyché, sur fond de propos eux-mêmes souvent abscons, en changeant d’acteurs et en multipliant les sauts dans le temps, le premier biopic sur le peintre norvégien compose un portrait hermétique.
Le Dauphiné Libéré
Du pionnier de l’expressionnisme dans la peinture moderne, dont les œuvres originales sont exposées dans les plus grands musées du monde, le réalisateur norvégien Henrik Martin Dahlsbakken semble ne vouloir retenir que l’âme triste et torturée. Il met en miroir les thèmes de la mortalité, de la solitude, de l’anxiété et de la dépression qui traversent sa peinture.
Le Journal du Dimanche
En dépit de sa beauté formelle, le film ne rend pas justice à Edvard Munch, en refusant toute pédagogie et multipliant les ellipses au point de priver le public d’émotion (un comble quand on connaît le destin tragique du peintre) et de le perdre en cours de route dans un exercice de style assez vain et superficiel.
Le Monde
La juxtaposition et l’alternance chaotique des époques, des visages et des styles présentent néanmoins un danger que le film ne parvient, hélas, pas à contourner : celui d’une surenchère esthétique qui prend le pas, envahit l’espace, au point d’écraser le sujet auquel le film s’attache.
Les Inrockuptibles
Censé incarner la versatilité complexe de son personnage, le regard non-linéaire et transidentitaire, véhiculé par ce portait en mosaïque, ne transcende hélas jamais l’académisme du film.
Paris Match
Les couleurs sont là, mais le tableau ne prend jamais forme, la faute à une mise en scène peu inspirée même dans ses effets les plus criards.
Positif
Le réalisateur Henrik Martin Dahlsbakken s’inspire maladroitement de "I’m Not There" (2007), le portrait de Bob Dylan par Todd Haynes, sans jamais parvenir à expliquer le sens de sa démarche ou pourquoi la vie d’Edvard Munch nécessite une narration aussi confuse et alambiquée.
Télérama
Le réalisateur a voulu faire le malin, comme s’il devait et pouvait rivaliser avec la force pure de l’auteur du fameux Cri. Sa complexité, suggérée par des visites assez inattendues chez un psy, semble ici un prétexte pour ne rien raconter clairement. Et sa palette si colorée se fait soudain bien terne.
Première
Mais l’exercice de style prend hélas le pas sur le reste et tient à distance le spectateur non connaisseur. Le tout avec quelques gestes pas très heureux comme ces plans avec en arrière- fond un ciel semblable à ses tableaux qui apparaissent gadget.