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jamesluctor
139 abonnés
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1,5
Publiée le 5 septembre 2010
Bon, cette comédie ne brille pas par son originalité ou sa légèreté. Mais aimant bien les pyramides aztèques, je lui ai accordé un peu de mon attention.
Bon les gens qui mettent des notes médiocres s'attendaient peut-être à voir un chef-d'oeuvre?! Alors qu'il est évident qu'un film de Gérard Oury c'est avant tout du divertissement, des comédies légères, toujours tirées par les cheveux mais toujours tendres et bien rythmées. Ici on a droit à l'immense Coluche, bien entouré, avec une musique signée Polnareff, bien sympa, un scénario simple et une bonne mise en scène.
Voir ce film quarante ans après sa sortie, et se dire qu'on n'avait pas raté grand-chose. Le scénario est presque crédible avec son exotisme qui fleure bon les films d'aventure. Cependant les gags sont poussifs et le script aurait mérité une dose d'impertinence, comme lorsque Loulou (Coluche) dit : "Déjà que je vis pas avec les filles que je baise, alors c'est pas pour habiter avec celles que je baise pas !" On a quand même le droit à une réplique qu'il aurait pu glisser dans ses sketchs : "Tu me vois me battre pour l'Algérie française alors que maintenant c'est la France qu'est devenue algérienne ?!" En revanche le passage par Chichén Itzá est de toute beauté et on se demande comment Gérard Oury a obtenu l'autorisation de filmer cette merveille. De même, on n'imagine pas en 2024 un film avec des images de chefs d'états (François Mitterrand, Ronald Reagan et Margaret Thatcher apparaissent ici, doublés par un imitateur comme dans une émission comique). J'ai été surpris de voir plusieurs scènes en italien sans sous-titres. Heureusement que j'ai appris cette magnifique langue ! Finalement la principale émotion est liée au moment où Coluche est à moto, ce qui n'est pas sans faire remonter à la surface de mauvais souvenirs. Quant à l'explosion atomique finale, elle manque cruellement de réalisme. À réserver aux nostalgiques du célèbre humoriste.
L’un des derniers et le pire sans doute des films de Gérard Oury. Cette vengeance n’a d’intérêt que pour la plastique agréable de Marushka Detmers, qui arrive à peine à faire oublier la prestation accessoire des autres acteurs, bridés par un scrip sans intérêt et des dialogues vulgaires.
Un des pires film de Gérard oury, pas drôle , lourd , sexiste , dialogue nuls, gags affligent ce qui prouve que ce film est probablement un des pire navet du cinéma français c'est dire sa faible qualité ! Un coluche chiant , énervant , pas drôle et même d'une lourdeur affolante , déjà je ne trouve pas terrible dans ce rôle qui ne lui va pas du tout . Un film qui traîne, pénible à regarder , la fin aussi ne se termine pas au moment où il aurait fallu quelque seconde plutôt c'était bien meilleur malheureusement c'est récurent avec Oury . c'est san queue ni tête voir débile et pourtant certians films débile on bien marcher ou même ils était drôle la c'est pas le cas . Car même les trucages sont loupés, notamment pour les scènes d'hélicoptère qui ont du faire pleurer Belmondo d'un rire compatissant sinon complaisant !Ca semble interminable et c'est rarement drôle... On se demande dans quelle galère Coluche s'est laissé embarquer car il n'y avait que lui pour jouer un "con" pareil, aussi peu crédible, et pas très drôle au final. voici le pitch du film ; À son arrivée à Paris, Paco, terroriste international, est arrêté, tandis que sa maîtresse Laura rejoint ses complices : ils appartiennent tous au groupuscule terroriste et anarchiste, Ravachol-Kropotkine, dirigé par Paco. Pendant ce temps, Loulou Dupin, préposé au tire-fesse dans une station alpine, beauf dragueur, apprend que sa grand-mère est morte et qu'il est l'unique héritier de son appartement parisien. Il rejoint lui aussi la capitale. À son arrivée, il a la désagréable surprise de trouver deux jeunes femmes dans son appartement : Valérie et Laura. Bien qu'il ait au départ l'intention de les faire partir, Laura le charme et le fait changer d'avis.
La rencontre entre Gérard Oury et Coluche n'a pas tenu, loin de là, ses promesses. Toujours prodigue en gags grossiers, le cinéaste ne convainc pas du tout avec son histoire de terroristes kidnappeurs et poseurs de bombes. Car, si Oury, fidèle à son style, propose au-delà de la comédie une intrigue mouvementée, et à l'occasion exotique, les situations qu'il imagine ne sont jamais amusantes. D'autant moins que la personnalité comique de Coluche ne trouve pas dans ce film à s'exprimer. L'acteur débite quelques aphorismes de son cru, plus ou moins subtils, mais parait complètement égaré, ne montrant pas beaucoup de conviction et d'inspiration dans son rôle de français moyen. Coluche ne joue pas véritablement la comédie. Il fait du Coluche et son personnage reste assez mal défini, approximatif et, consécutivement, inabouti. spoiler: Entiché d'une terroriste gauchiste qu'il prend pour une paisible étudiante, Coluche-Loulou est entrainé dans une abracadabrante aventure qui dépasse à la fois le personnage...et l'acteur. Il est vrai que les seconds rôles ne sont guère brillants et que Coluche, à l'inverse de Bourvil et de Louis de Funès chez Oury, qui se faisaient valoir l'un l'autre, est insuffisamment entouré.
La Vengeance du serpent à plumes constitue certainement le plus mauvais film de Gérard Oury, la faute à un scénario qui s’éparpille sans réussir à proposer une vision en kaléidoscope de l’engagement politique au sein d’une rébellion, engagement d’abord subi qui conduit Loulou à partir à la recherche de celle qui s’est jouée de lui pour enfin prendre parti. La multiplicité des registres, alliant le polémique d’enjeux géopolitiques propres à la France du début des années 80 à l’épique guignolesque, lors d’une séquence de course-poursuite tout droit sortie des westerns spaghetti, en passant par l’éloge d’une contre-culture faite de marginaux, s’incarne à l’écran par une défilade de vignettes qui jamais ne se complètent. En résultent une confusion générale, une impression de fourre-tout qui rend aussitôt suspecte la finalité morale, peu claire et perturbée par une écriture comique aussi légère qu’un éléphant dans un magasin de porcelaines.
Soucieux de tirer profit du succès populaire des comédies de dépaysement telles que La Chèvre (Francis Veber, 1981) et de la série Les Mystérieuses cités d’or, diffusées en France à partir de 1982, le long métrage gâche le potentiel de son cadre géographique et de la culture associée – l’Amérique de Sud – pour un n’importe quoi ni drôle ni récréatif, encore moins pertinent sur les groupuscules radicaux de son temps. Seule la musique de Michel Polnareff reste en mémoire et justifierait l’écoute – mais non le visionnage ! – de ce film raté.
Mouais, bôf... Pour moi, ce film ne vaut pas vraiment le détour, à part peut-être pour la présence de Coluche, qui arrive à nous décrocher quelques rires... Du reste, une histoire sans queue ni tête, dont il serait exagéré de dire qu'elle laissera un souvenir impérissable.
Rencontre entre Gerard OURY et Coluche Loulou,hérite de l'appartement de sa grand mère à Paris, il compte s'y installé mais l'appartement est déjà occupé par des terroristes, qui vont vouloir rester et tout faire pour qu'il ne s'aperçoive pas de leurs activités.
Sur le papier le film semble bien, mais sur la pellicule c'est autre chose. Gérard OURY, comme Coluche ont déjà fait nettement mieux . Pas de franche rigolade, juste quelques sourires, un scénario sans consistance ( qu'est t il arrivé à Gérard OURY et Daniele TOMPSON lors de son écriture) qui se contente d'enchainer les scènes sans forcément chercher la moindre cohérence, une fin complétement bâclée , à croire qu'elle a été écrite après une nuit fortement alcoolisée et à peine 5 mn avant de la tourner.
Coluche se démaine comme il peut, mais face à un tel scénario difficile de faire des miracles, les seuls point positifs du film sont les paysages mexicains de la seconde partie du film, la plastique de Marouchka DETMERS et la BO de Michael POLNAREFF. La vengeance du serpent à plumes est un des plus mauvais film de Gérard OURY .
Faire une comédie sur le terrorisme c'est pas la chose la plus simple à faire pourtant Gérard oury y arrive par l'intermédiaire d un coluche génial dans le rôle d un loulou bien beauf qu'on adore
Quelquefois il vaut mieux rester sur ses souvenirs, surtout lorsqu'ils sont bons plutôt que de vouloir revivre ses vieux moments. J'avais adoré ce film. Il a terriblement vieilli. Même la plastique de Marushka Detmers en a pris un coup. J'exagère peut-être un peu. En tout cas c'est plus ça ce film!