AlloCiné
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Votre avis sur Quelques jours pas plus ?
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Un petit bijou de vérité, des acteurs formidables. Il va falloir commencer à sérieusement se rendre compte que Mr Biolay est un grand acteur, qui joue juste, qui joue vrai. Son ami(grant) touche au cœur à chaque regard, Camille est sur la retenue et pétille quand il le faut. C’est beau et engagé, c’est un coup de cœur vous l’aurez compris. Chapeau bas.
On m'avait conseillé de voir ce film 'les yeux fermés', et franchement, c'était probablement le meilleur conseil que j'aurais pu recevoir. Non seulement cela m'a permis d'éviter de voir les effets spéciaux douteux et les expressions faciales embarrassantes des acteurs (Léonardo, tu me déçois !!!!), mais en plus, j'ai pu faire une petite sieste bien méritée. À mi-chemin, même mes oreilles ont tenté de se fermer pour échapper aux dialogues. Si vous cherchez une bonne raison de rattraper votre manque de sommeil, ce film est fait pour vous.
La finesse du film est remarquable étant donné la grandeur du sujet. Le cast est très intelligent. Là encore, finesse et subtilité. Aucune complaisance, au contraire. Et on est surpris de rire autant au milieu de nos larmes. Biolay est formidable et Amrullah Safi est extraordinaire. Un film que je recommande d’autant plus qu’il est attaqué par la fachosphère puisque les valeurs humanistes qui sont au cœur du film leurs sont étrangères.
j'en sors,et je trouve que cette histoire et ce sujet sont admirablement abordés par Julie Navarro .les acteurs sont justes,le casting top.Je recommande vivement
Film ennuyeux et sans véritable scénario,surtout moralisateur.Bref j'ai perdu du temp et de l'argent.
Un film qui donne un élan vital, mêle rires et larmes aux yeux comme on aime au cinéma et fait sortir de la salle en avec un sentiment de fraternité.
Au delà de la romance extrêmement bien jouée par Benjamin Biolay et Camille Cottin, la vie de l'association d'aide aux migrants est très bien sentie et interprétée par des seconds rôles tous formidables.
Enfin, le réel est très présent, pas d'angelisme, les difficultés d'accueil d'un etranger chez soi comme de l'engagement pour une cause, quelles que soient les bonnes intentions, ne sont pas passées sous silence mais elles sont habilement contrebalancées par toutes les joies procurées quand on va vers l'autre.
Merci et bravo
Au delà de la romance extrêmement bien jouée par Benjamin Biolay et Camille Cottin, la vie de l'association d'aide aux migrants est très bien sentie et interprétée par des seconds rôles tous formidables.
Enfin, le réel est très présent, pas d'angelisme, les difficultés d'accueil d'un etranger chez soi comme de l'engagement pour une cause, quelles que soient les bonnes intentions, ne sont pas passées sous silence mais elles sont habilement contrebalancées par toutes les joies procurées quand on va vers l'autre.
Merci et bravo
Le ton est fin, juste, enlevé et tout est de grande qualité dans ce film : casting, dialogues, mise en scène, image, bande originale. Le sujet des migrants et de l'engagement auprès d'eux est traité de manière très documentée et sans aucune mièvrerie. Bravo !
Bon film sensible, ni voyeur, ni manichéen, ni larmoyant. Il y a de la grâce dans cette histoire simple ef cruelle . Tous les acteurs sont formidables.
"Quelques jours pas plus", c'est ce que semble vouloir dire notre pays aux personnes qui fuient guerres, dictatures et autres atrocités pour se réfugier en Europe, souvent avec le désir de rejoindre la Grande Bretagne.
Seulement, il faut passer par la France, "terre d'accueil" mais à l'administration à la solde de gouvernements hypocrites.
C'est aussi le temps court qu'un journaliste bourru accepte, un peu forcé par un concours de circonstances, d'héberger un jeune Afghan.
Ce nouveau film sur les migrants est le premier d'une jeune réalisatrice, Julie Navarro qui était jusqu'à présent principalement directrice de casting.
Il est l'adaptation du roman de Marc Salbert : De l'Influence du Lancer de minibar sur l'Engagement Humanitaire.
C'est plutôt une réussite d'avoir fait se rencontrer Camille Cottin, soit Mathilde, une bénévole à temps plein et même plus que plein dans une association d'aide aux migrants, et Benjamin Biolay, soit Arthur, un critique rock désabusé, un peu en fin de course.
La rencontre de la belle et de la bête va recréer l'élan vital qui manquait à l'un et à l'autre par l'amour, bien sûr, mais aussi par les histoires de liens humains et d'amitié.
Daoud, jeune Afghan, est joué par Amrullah Safi. Ce n'est pas un acteur professionnel et il joue son propre rôle dans la vie. Il est formidable, lui aussi.
Amrullah Safi ne parle pas couramment français et c'est l'équipe du tournage, réalisatrice, acteurs ... qui lui expliquait chaque jour ses interventions.
Le film mêle d'ailleurs beaucoup de professionnels et de figurants principalement membres d'associations humanitaires. Le résultat est très convaincant et laisse la part à un degré d'improvisation qui donne une belle impression de réalisme et de vérité.
On rit aussi et la scène de la pharmacienne (une vraie pharmacienne lilloise) qui, après avoir conseillé une batterie de médicaments contre la gale, indique que ça ne suffit pas et qu'il faut aussi "traiter l'environnement", c'est à dire tout l'appartement, est jubilatoire.
C'est une comédie qui peut être appréciée par un large public et qui, il faut le souhaiter, changera le regard des spectateurs, même les plus hostiles à l'immigration.
le film sort le 3 avril
Seulement, il faut passer par la France, "terre d'accueil" mais à l'administration à la solde de gouvernements hypocrites.
C'est aussi le temps court qu'un journaliste bourru accepte, un peu forcé par un concours de circonstances, d'héberger un jeune Afghan.
Ce nouveau film sur les migrants est le premier d'une jeune réalisatrice, Julie Navarro qui était jusqu'à présent principalement directrice de casting.
Il est l'adaptation du roman de Marc Salbert : De l'Influence du Lancer de minibar sur l'Engagement Humanitaire.
C'est plutôt une réussite d'avoir fait se rencontrer Camille Cottin, soit Mathilde, une bénévole à temps plein et même plus que plein dans une association d'aide aux migrants, et Benjamin Biolay, soit Arthur, un critique rock désabusé, un peu en fin de course.
La rencontre de la belle et de la bête va recréer l'élan vital qui manquait à l'un et à l'autre par l'amour, bien sûr, mais aussi par les histoires de liens humains et d'amitié.
Daoud, jeune Afghan, est joué par Amrullah Safi. Ce n'est pas un acteur professionnel et il joue son propre rôle dans la vie. Il est formidable, lui aussi.
Amrullah Safi ne parle pas couramment français et c'est l'équipe du tournage, réalisatrice, acteurs ... qui lui expliquait chaque jour ses interventions.
Le film mêle d'ailleurs beaucoup de professionnels et de figurants principalement membres d'associations humanitaires. Le résultat est très convaincant et laisse la part à un degré d'improvisation qui donne une belle impression de réalisme et de vérité.
On rit aussi et la scène de la pharmacienne (une vraie pharmacienne lilloise) qui, après avoir conseillé une batterie de médicaments contre la gale, indique que ça ne suffit pas et qu'il faut aussi "traiter l'environnement", c'est à dire tout l'appartement, est jubilatoire.
C'est une comédie qui peut être appréciée par un large public et qui, il faut le souhaiter, changera le regard des spectateurs, même les plus hostiles à l'immigration.
le film sort le 3 avril
Même si le scénario est teinté de fable – tout n’est pas réaliste mais après tout la comédie permet cela – Quelques jours pas plus tire son épingle du jeu grâce à ses 3 acteurs principaux, remarquables, qui donnent de la chair à ce film.
La première moitié donne un sentiment un peu confus ; peut-être le décalage entre la personnalité cynique et nonchalante d’Arthur et le fond du sujet – cela va se résoudre progressivement. La caméra est de style journalistique, volubile et souvent très proche. Ce choix contribue sans doute à la présence des acteurs et à l’authenticité du film.
Trois caractères intéressants : Arthur, journaliste désabusé qui va se laisser aller à accueillir d’abord pour des beaux yeux, et dont le fonds humain va ressortir petit à petit. Mathilde, ancienne avocate pleinement investie dans l’associatif, trop peut être au point de ne pas se laisser aller à vivre, de ne jamais s’offrir de répit, d’éprouver le découragement. Et Daoud, jeune Afghan attachant. La scène finale est magnifique, la plus belle du film.
La gestion des demandes d’asile, le manque de places d’hébergement, la dureté des autorités, sont bien vus dans l’ensemble. Le tableau d’une vie associative où l’on dévoue, s’invective et se décourage est également intéressant.
Au final c’est bien fait et pas inintéressant du tout.
La première moitié donne un sentiment un peu confus ; peut-être le décalage entre la personnalité cynique et nonchalante d’Arthur et le fond du sujet – cela va se résoudre progressivement. La caméra est de style journalistique, volubile et souvent très proche. Ce choix contribue sans doute à la présence des acteurs et à l’authenticité du film.
Trois caractères intéressants : Arthur, journaliste désabusé qui va se laisser aller à accueillir d’abord pour des beaux yeux, et dont le fonds humain va ressortir petit à petit. Mathilde, ancienne avocate pleinement investie dans l’associatif, trop peut être au point de ne pas se laisser aller à vivre, de ne jamais s’offrir de répit, d’éprouver le découragement. Et Daoud, jeune Afghan attachant. La scène finale est magnifique, la plus belle du film.
La gestion des demandes d’asile, le manque de places d’hébergement, la dureté des autorités, sont bien vus dans l’ensemble. Le tableau d’une vie associative où l’on dévoue, s’invective et se décourage est également intéressant.
Au final c’est bien fait et pas inintéressant du tout.
Film gorgé d'humanité qui fait chaud au cœur ! Mention excellence pour Camille Cottin (dans le rôle de Mathilde). Aussi, j'ai trouvé la prestation du réfugié afghan Amrullah Safi (personnage de Daoud) particulièrement admirable.
"Quelques Jours Pas Plus" est une comédie rafraîchissante qui mêle humour et réflexion sur la vie moderne. Porté par des dialogues pétillants et des performances d'acteurs irrésistibles, le film nous entraîne dans les péripéties d'un homme confronté à des circonstances inattendues. L'intrigue, qui prend place sur une période intense de quelques jours, offre un regard subtil sur les relations humaines, l'amitié et l'amour. Les rebondissements inattendus maintiennent l'intérêt du spectateur tout au long du récit, tandis que la mise en scène dynamique ajoute une touche de fraîcheur à l'ensemble. Bien que certaines situations puissent sembler exagérées, elles contribuent à l'aspect comique et décalé du film. En fin de compte, "Quelques Jours Pas Plus" est une joyeuse escapade cinématographique qui charme par son humour et sa sincérité.
Excellent film, non pas rempli de "bons sentiments" attendus mais au contraire plein de subtilité et d'humour.
Un film juste, drôle et touchant … courez-y, il met tout le monde à l'honneur ( des jeunes, moins-jeunes, personnes déplacées par force…) !
Un film porté par Benjamin Biolay. Sans doute son meilleur rôle. Belle présence !!
Humanité et solidarité.
Humanité et solidarité.
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